La commune de Lampaul-Plouaerl, dans le Finistère, 2100 habitants, vient de voter le versement de 5% des subventions de l’année (1000€) à l’association cent pour un toit, qui aide les migrants, via le réseau Digemer. Une curieuse dépense de l’argent public lorsque l’on sait que l’OGEC par exemple, Organisme de Gestion de l’Enseignement Catholique, touche seulement 400€ de plus alors qu’elle assure la bonne vie de l’école privée de la commune.
Il s’agit de la cinquième association la plus subventionnée en 2022 pour cette commune, sur la trentaine qui bénéficie de la distribution d’argent public (18 551€ au total). C’est donc chaque habitant de la commune, dirigée par un maire carté au Parti Socialiste, qui verse environ 50 centimes pour financer l’accueil de migrants sur le territoire.
A noter que Cent pour un toit bénéficie aussi de soutiens d’autres collectivités, comme ces 2000€ reçus du fond de soutien à la vie associative (Etat).
L’impôt local (Taxe foncière) a augmenté de près de 5 % dans les 200 plus grandes villes françaises entre 2021 et 2022, selon l’Observatoire des taxes foncières de l’Union nationale des propriétaires immobiliers. En 2023, cette hausse devrait se généraliser à toutes les communes. Une hausse due en partie à l’inflation, mais également à des choix politiques locaux. Vous en avez ici un modeste exemple.
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[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
5 réponses à “Lampaul-Plouarzel (29). La commune verse 5% des subventions de l’année (1000€) à l’association cent pour un toit, qui aide les migrants”
Juste une question, à quoi pensent les maires, les conseils generaux quand ils lancent ce genre de subventions !! est ce qu’ils pensent à leur famille, enfants petits enfants ! ils diminuent les suventions de leur associations pour recevoir des migrants ! avec la position nationale qu’ils ont, pour moi c’est de la haute trahison !!! peuple breton reveillez vous !!!!!!!!!!!!!!!!!
En haut on trouve la volonté de l’UE de favoriser au max l’entrée de migrants ( légaux ou pas ) sur notre France…..ensuite notre président suit bien ce mouvement sans s’y opposer ( bien au contraire ) vient après la gauche de la gauche « mais l’an chon niste » suivi par des dizaines d’associations très généreuses( avec votre argent ) bardées d’humanitaire démagogique et enfin les maires ou conseillers communautaires, Présidents d’ agglo etc…rarement de droite qui pensent surtout aux élections à venir…
Si l’un d’entre vous imagine une solution efficace, je suis preneur !
Juste une réflexion en fait… une association pro-migrants arrive à obtenir une subvention d’une commune rurale Bretonne dont le maire est affiché PS ! (comme si celle déjà existante ne suffisait pas) rien d’anormal alors… Pas besoin de référendum, un vote entre coquins suffit… Les natios laissent généralement les clefs des maries Bretonnes à ce genre d’individu et oui et c’est triste, mais entre les motivations des pro-migrants, trotskystes et gauchistes de toutes sortes, les droitards sont à la traîne et en particulier sur nos terres bretonnes… L’individualisme nous tue à petit feu et la honte, la gêne, la peur de mettre en avant nos idées enterre toutes velléités d’émancipation…
Quant à l’augmentation généralisée de la taxe foncière, c’est quand même triste d’avoir mis à bas l’ancien régime pour être de nouveau injustement ponctionné ! Cracher au bassinet pour avoir le droit de posséder son pen-ty ! Sur la terre de nos ancêtres ! Cela, je pense, est la traduction d’un projet plus global visant à déposséder les citoyens pour les remplacer plus facilement ! Le choix du gouvernement de supprimer la taxe d’habitation n’est pas innocent ! Ce qui a été perçu comme un cadeau, une fleur faite aux résidents Français cachait en réalité un funeste projet ! Les masques tombent et les propriétaires ne tirent toujours aucune conclusion de cette trahison !
Je ne comprends pas pourquoi seuls les propriétaires devraient contribuer aux financements des communes ! Beaucoup de ceux-ci et notamment en Bretagne sont devenus propriétaires au prix d’énormes sacrifices ! pas de vacances aux Seychelles pas ski en montagne l’hiver, dépenses raisonnées et maîtrisées… Des vacances et des week-ends à construire rénovés améliorés leurs habitats et pour seules récompenses le fouet fiscal ! Quel mépris adressé aux petites gens, eux pourtant si respectueux, courageux… la plupart d’entre eux, ont pourtant leurs noms de famille inscrits de manière solennelle sur nos monuments commémoratifs… tombés pour la France… ce sacrifice n’aura finalement pas servi de leçon…
Le vingtième siècle a été un siècle où les populations ont renoncé très progressivement à la sédentarité (vivre chez soi auprès des siens, auprès de sa famille) pour prendre l’habitude de se déplacer d’un bout à l’autre de la planète pour voir chez les autres si la vie est plus facile ou plus agréable. Beaucoup se déplacent pour rechercher le confort dans un pays mieux organisé que le leur (migrations économiques) mais beaucoup sans nécessité, sans réel but sauf de se divertir (migrations de vacances ou de loisirs etc..) .
Quelques siècles en arrière les explorateurs qui parcouraient le monde au 15è siècle et jusqu-au 19è avaient un réel but de découvrir le monde (les dernières régions à être explorées au prix de bien des efforts ayant été à l’aube du 20è siècle les zones des pôles, le Tibet, l’Amazonie, la Papouasie/ Nouvelle Guinée etc…
Si l’on examine les mouvements de populations à l’échelle des millénaires on peut dire que les nations primitives étaient souvent des nations migrantes , vivant de la cueillette, de la chasse, de la pêche ; elles se déplaçaient souvent selon les saisons pour rechercher essentiellement de la nourriture. Ces peuples primitifs suivaient parfois des troupeaux domestiqués (éleveurs nomades) ou non (Indiens d’Amérique suivant les migrations climatiques des bisons par exemple). Ils vivaient souvent sous la tente, qui était une habitation mobile, et passaient de longs moments sous cet abri, assis au sol, occupés à de tâches légères. Parfois des fourrures ou des tapis amovibles permettaient d’améliorer le confort. On peut dire que le nomadisme contemporain d’une part ou le camping ou le caravaning d’autre part sont des héritages du paléolithique.
Les peuples sédentarisés se sont mis à pratiquer les cultures et l’élevage du bétail dans des enclos. Ils ont installé chez eux des tables, des tabourets et se sont établis autour d’une cheminée où brûlait fréquemment sinon presque en permanence un feu familial ou collectif (four banal etc…)
Ces peuples qui il y a des millénaires déjà étaient sédentarisés dans des villages ou des bourgades menaient une existence déjà beaucoup plus proches de notre mode de vie actuel On a pu les appeler peuples néolithiques par suite de l’amélioration des techniques perfectionnées autour du domicile ou à proximité. Dans une certaine mesure nous pouvons dire que nous vivons en héritiers des peuples néolithiques , où la recherche des progrès techniques améliore sans cesse nos conditions d’existence.
De nos jours quand on voit l’agitation du monde (la mobilité des personnes) autour de soi (et nous-mêmes sommes parfois des acteurs de cette agitation), on en conclut que beaucoup d’individus ne se considèrent plus vraiment attachés à un endroit précis de la terre. Par analogie avec la préhistoire on observe comme un passage du comportement néolithique à un comportement paléolithique. N’est-ce pas une régression civilisationnelle de considérer comme normal de changer de lieu de résidence continuellement pour rechercher du travail plutôt que de rester sur place, là où nous sommes implantés, pour y créer une activité utile au groupe humain auquel nous appartenons ? Au lieu de cette solidarité des métiers certains responsables locaux, puissants financièrement, jugent plus « rentable » de faire venir d’ailleurs, un ailleurs qui peut être à des milliers de kilomètres, des immigrés, qui vont pratiquer dans nos villages et bourgades, les métiers dévalorisés (= insuffisamment rémunérés) que la population traditionnelle ne souhaite plus exercer. Nos ancêtres pratiquaient le mouvement exactement opposé, à savoir ils faisaient venir dans les villages des personnes plus expérimentées qu’eux-mêmes pour exercer des métiers qualifiés tels que instituteurs, prêtres, médecins, fromagers, couturiers, cordonniers, forgerons, mécaniciens etc…
De cette mutation des comportements on peut conclure que c’est une erreur historique de faire venir des personnes non qualifiées dans un milieu rural. Cette migration indésirable et indésirée par la majorité des habitants historiques, ne peut qu’aboutir à un déclin de la civilisation.
Ce déclin ne peut qu’être accéléré par la suppression des taxes d’habitation. Il est injuste que les impôts locaux pèsent presque exclusivement sur les propriétaires fonciers et presque pas sur les habitants (consommateurs des services publics). Cette inégalité favorise le nomadisme qui est une régression.
ben plus de migrants, n’est ce pas la directive du commissaire au plan Bayrou?