Sécession ou Reconquête ? Le deuxième colloque d’Academia Christiana se tiendra le 5 novembre à Paris, dans le 9ème arrondissement (au 8 rue d’Athènes). Au programme, des interventions de Jean-Eudes Gannat (Pourquoi l’Alvarium ?), Julien Langella, l’Abbé de Nedde, Romain Petitjean (Institut Iliade), de Thibaud Gibelin (auteur d’un livre sur Victor Orban), de Xavier Eman (Paris Vox, Livr’Arbitres, Eléments), de David Engels ou encore d’Alexandre Pesey.
Le colloque sera introduit par Victor Aubert
Quelques conférences au programme du deuxième colloque d’Academia Christiana
Xavier Eman : Les sécessions dans l’histoire – quelles leçons en tirer ?
Thibaud Gibelin : La réponse du faible au fort : leçons des contre-attaques hongroises
Jean-Eudes Gannat – Des héros et des saints : bâtir la chrétienté du XXIème siècle
Romain Petitjean – Rester ce que nous sommes : de la sécession intérieure à la reconquête
David Engels : reconquérir les âmes et le territoire par la sécession
A noter que Yann Vallerie, rédacteur en chef de Breizh-info.com, auteur de Sécession, et qui n’a volontairement pas souhaité se déplacer à Paris pour le colloque, expliquera en vidéo les raisons de ce choix, radical et assumé.
Inscriptions ici (obligatoire) : https://my.weezevent.com/colloque-academia-christiana
La question de la Sécession, c’est à dire de la séparation d’une partie de la population d’avec une autre (séparation médiatique, politique, culturelle, éducative, géographique, politique…) prend tout son sens depuis quelques années, alors que la République française (et notamment les institutions de la 5ème République) montrent quotidiennement leur échec à assurer la sécurité des habitants de l’hexagone, mais aussi leur niveau de vie, et l’instruction des générations à venir, le tout dans un espace religieusement, ethniquement et culturellement homogène.
Plusieurs livres récents évoquent cette grande séparation, tandis que la presse mainstream elle aussi s’est largement intéressée à cette vague, qui progresse, petit à petit, notamment dans ce que l’on peut nommer « la France périphérique », dont les habitants comprennent petit à petit qu’ils ne sont plus dans les petits papiers des institutions, des collectivités, des politiques qui dirigent le pays.
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