Influence et pandémies, Le christianisme en histoire(s), Impasses climatiques, Les chroniques qui Keelan, Sécession ; voici la sélection littéraire hebdomadaire.
Influence et pandémies
Partout dans le monde, la prévalence de l’intérêt public sur celui de quelques-uns est remise en question, au point que nous ne parvenons plus à traiter nos problèmes vitaux fondamentaux de façon efficiente. La gestion de la pandémie de covid n’a pas échappé à cette malédiction, avec des avis, des recommandations et des décisions étranges de la part des autorités publiques qui n’étaient cohérents ni avec l’intérêt général, ni avec l’état de la connaissance scientifique. A quelle cohérence, à quelles influences cette série de décisions pouvait-elle correspondre ? Pour ouvrir cette question au débat et tenter de préserver l’intégrité de la décision publique, nous avons moins besoin de trouver des coupables que de cerner de quelle manière ces influences parviennent à s’immiscer dans les institutions et conduire à une décision dégradée.
Les faits et événements traités dans cet ouvrage s’inscrivent dans la période des trente à quarante dernières années marquées par la financiarisation de l’économie et par l’implication croissante des services de défense et de sécurité dans le champ de la décision sanitaire publique. Dans une première partie, nous identifions deux influenceurs principaux, l’industrie du médicament et le complexe militaro-industriel, les multinationales du conseil et le philanthrocapitalisme étasunien apparaissant comme les vecteurs de leurs influences mêlées. Dans une seconde partie, nous nous attachons à leurs modes d’influence, de la corruption des organisations professionnelles à la manipulation de l’autorité scientifique, qui conduisent à une capture efficace de la décision publique. La troisième partie s’attache à décrire de quelle manière les influenceurs sont parvenus à cette capture dans le champ le plus important de la santé mondiale, celui de la lutte contre les pandémies.
Devant les difficultés considérables qui s’annoncent, nous avons d’abord besoin d’institutions opérationnelles. Restaurer leur intégrité et celle de la décision publique est une condition préalable au succès de toutes les politiques et stratégies publiques que nous pourrons imaginer.
Michel Cucchi est docteur en médecine, docteur en sociologie et cadre de la fonction publique hospitalière. Sa carrière se partage entre l’administration sanitaire régionale et la gestion des établissements de santé. Il est engagé dans le monde des associations et des collectifs en transition pour une bifurcation écologique, solidaire et démocratique des institutions, et plus largement dans les champs du risque collectif et de la santé environnement climat. L’auteur n’a pas de conflit ni de lien d’intérêt à déclarer avec les parties citées dans cet ouvrage.
A commander chez les éditions Marco Pietteur
Le christianisme en histoire(s)
Avec deux mille ans d’histoire, l’Eglise apparaît aujourd’hui encore comme un continent largement inexploré. Plutôt que de l’aborder de front, Philippe Roy-Lysencourt a choisi de l’explorer à travers des événements ciblés, mêlant faits majeurs et anecdotes
A commander aux éditions de l’Homme Nouveau
Impasses climatiques
Sous l’impulsion du GIEC, suivi par les ONG et les médias, les responsables politiques ont décidé que les pays développés, Europe et France en tête, devaient renoncer aux énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon) d’ici 2050. Il s’agit de ne plus émettre un gramme de dioxyde de carbone (CO ) car ce gaz serait responsable d’un « dérèglement » du climat qui entraînerait un réchauffement catastrophique de la température mondiale. Le coût de ce « great reset » est estimé aux environs de cent mille milliards d’euros, soit l’équivalent d’un triplement de la dette souveraine mondiale. Accrédité par le GIEC comme expert reviewer de ses deux derniers rapports AR5 et AR6, le physicien François Gervais montre dans ce livre que cette « remise à zéro » est scientifiquement infondée, catastrophique pour l’Homme et en particulier pour les plus pauvres, et enfin nocive pour la planète. Désaccords de la Chine et de l’Inde, fragilités des modèles de simulation sur le climat, nécessité démontrée du CO pour nourrir une population qui augmente, il expose les très nombreuses et très graves contradictions que véhicule ce discours alarmiste sur le climat. Pour éviter le retour à la précarité énergétique et la hausse dramatique de la pauvreté, il est temps pour l’Occident de reprendre ses esprits, ceux de l’analyse factuelle et scientifique.
Les chroniques de Keelan
« Vous portez la marque ».
Ainsi commence la grande aventure de Keelan Williams.
Après un terrible accident dans le Triangle des Bermudes, elle découvre qu’Aerandir, une île qu’elle pensait imaginaire, existe bel et bien ! Son roi n’est pas une légende, la grande forêt des pirates et la traîtrise régnant dans le royaume ne sont plus de simples histoires. C’est donc un nouveau monde, bercé par la magie et remplis de danger, qui s’offre à elle. Étant choisie par Teithio, la déesse du voyage et de la connaissance, son destin sera lourd à porter. Ses choix changeront l’avenir de ce monde.
Mais sera-t-elle prête à en payer le prix ?
Enora WYCKAERT nous vient de Bretagne, et plus précisément de Brocéliande. Passionnée par la magie et l’imaginaire depuis son enfance, elle commence à écrire ses premières histoires vers l’âge de dix ans. De 2009 à 2012, elle appartient à une troupe de théâtre pour laquelle elle écrira les pièces de fin d’année. Et en 2012, la Mairie de Saint-Thurial lui décerne un diplôme d’honneur d’auteure de pièces de théâtre. Diplômée d’un BTS Assistant Manager et d’un titre certifié en communication visuelle, elle cherche sa voie pendant des années, avant de se mettre à son compte en 2019 en tant que graphiste. C’est en 2021, qu’elle auto-publie son premier roman « Les Chroniques de Keelan », premier tome de sa série « Élus par les dieux ».
Nous vous conseillons vivement, pour les amateurs de Fantasy et d’Aventures, ces romans, bien écrits, bourrés de références qui combleront les amateurs du genre mais aussi d’histoire et de mythologie.
Vous pouvez suivre son activité sur sa page facebook ici, interview à venir.
Tous les ouvrages sont en auto édition, à commander ici
Sécession, manuel d’auto-défense contre la caste
Depuis de nombreuses années, la question de la sécession se pose à tous ceux qui ont un doute sur la capacité de notre modèle de développement économique à durer. Encore plus depuis la crise du Covid-19 et l’avènement du Great Reset, c’est-à-dire la reprise en main des sociétés occidentales par la caste mondialisée grâce à une surveillance généralisée et, enfin, la menace du Grand Collapse, qui sera le retournement brutal du cycle séculaire haussier vers une sorte de nouveau Moyen-âge, introduit par une brève séquence brutale.
Ce Grand Collapse est bien la crainte majeure de la caste mondialisée, qui s’organise pour ne pas perdre le contrôle de la situation lorsqu’il surviendra. Au vu de ce constat et dans une perspective de survivalisme social, la sécession s’avère nécessaire mais, nous concernant, on ne peut plus, comme dans la Rome antique penser la sécession comme une concentration du peuple sur une colline, défiant l’aristocratie. Géographiquement, cette séparation n’aurait pas de sens, ni aucune possibilité de réussir. En revanche, il est possible d’entamer une sécession sociétale, en refusant d’adopter les codes, les usages, les principes et les valeurs, véhiculés par la caste mondialisée, ou instrumentalisés par elle, et en adoptant des codes et des valeurs alternatives.
Pourquoi faire sécession ? Jusqu’où doit-elle aller ? Des aspects politiques, sociaux, financiers et jusqu’aux enjeux éducatifs et spirituels, c’est ce processus global qu’Éric Verhaeghe – bien connu pour son combat contre la tyrannie sanitaire – entreprend de décrire ici, non de façon exhaustive, mais en donnant des pistes que chacun pourra approfondir et adapter selon ses besoins
Éric Verhaeghe, 53 ans, est ancien élève de l’ENA. Il a quitté l’administration en 2007 pour exercer diverses fonctions patronales. Il a créé plusieurs entreprises, dont Tripalio, spécialisée dans le droit des conventions collectives et Cosmico qui s’occupe de médecine naturelle et de mutuelle santé. Il assume ses prises de position libertariennes et anime « Le Courrier des Stratèges » ainsi que l’association « Rester Libre ! ».
Il s’est notamment fait connaître en 2021 pour son combat contre la tyrannie sanitaire et ses dérives liberticides suite à la crise de la pandémie de COVID-19.
A commander chez Culture et Racines
Crédit photo : DR
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4 réponses à “Influence et pandémies, Le christianisme en histoire(s), Impasses climatiques, Les chroniques de Keelan, Sécession ; la sélection littéraire hebdo”
Bravo B I de faire une chronique littéraire.
Bravo B I poir cette chronique littéraire.
La théorie conspirationniste du dérèglement d’un climat jadis réglé sur thermostat a :
-été lancée par l’empire mondialiste USA, plus précisément par la CIA comme une arme contre l’europe
-été propagée en Europe par les services dits secrets « Allemands », qui de notoriété publique sont une annexe de la CIA, formés et organisés par la CIA depuis 65 ans.
A tel point que ces services et hauts fonctionnaires à la solde de la CIA sont devenus un gros souci pour les politiciens Allemands.
En parallèle :
« Dans un discours prononcé le 23 septembre lors de l’Assemblée générale de l’ONU, le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif a appelé la communauté internationale à sauver la planète menacée par le dérèglement climatique, en pointant du doigt la responsabilité des pays riches. En parallèle, une manifestation d’indigènes latino-américains protestant contre la déforestation en Amazonie s’est tenue devant le siège de l’Assemblée à New York. Une marche pour le climat a aussi eu lieu à Kinshasa (Congo) ce même jour. »
a- Donc ces shithole country pour la majorité nuls en recherches scientifiques prétendent avoir la preuve matérielle du lien direct entre le Co2 et le réchauffisme uniquement causé par l’homme. lol
(le Co2 causé par l’homme ne représente que 4% des échanges Co2 annuels, le reste est causé par les océans et les végétaux)
b- Non seulement ces shithole country éludent le point « a » mais en plus ils savent très précisément quels pays « dérèglent le robinet thermostatique de la température terrestre » .
c- Là c’est de la blague, puisque l’europe est LE continent qui rejette le moins de Co2 au monde.
Autre blague, ils éludent que les industries polluantes ont suivi les délocalisations donc ne se situent pas en europe.
d- Dernière blague, ces shithole country ne parlent pas du tout de la Chine et ses centrales à charbon (bizarre non), ni de l’Afrique et ses déforestations volontaires d’un volume bien plus grand que celles de l’Amazonie (bizarre), ni ne parlent des responsables de leur religion en premier lieu, les pays producteurs-dealers de pétrole réchauffiste (curieux non ?)
C’est là où il ne faut pas être candide.
1- ONU est un synonyme de USA tout autant que l’OTAN
2- Qui paye décide, c’est vrai pour l’OMS et pour la religion du climat thermostatiquement régulé
3- Les USA sont capables de créer des « printemps colorés » ou des « migrations » et « crises des réfugiés » n’importe où, à plus forte raison des manifs climatiques.
Conclusion : cette esbrouffe internationale est organisée pour validée la théorie conspirationniste d’un climat réglé sur robinet thermostatique.
Théorie conspirationniste double, puisque la preuve du lien direct entre Co2 et réchauffisme n’a jamais été démontrée, par contre on sait depuis la nuit des temps que quand la période est « chaude » cela entraine en second lieu une hausse du Co2. (et non l’inverse)
Je vais vous faire rire sur cette green escroquerie .
Savez-vous comment ils calculent la classe énergétique (vert et AAA+) pour les laves-linge et sèche-linge ?
Ils comptent l’eau comme énergie, déjà là c’est une hérésie défiant toutes les lois de la thermodynamique.
Pourquoi le font-ils ?
Parce que les nouveaux laves linge verts classe énergétique AAA+ sont des calamités.
Pour faire un cycle « cotton » les lave-linge mettent trois heures là où les lave-linge normaux mettent 1h15.
Forcément le bilan électrique est délirant, ça tourne plus de deux fois plus longtemps, du coup ils ont compté l’eau comme énergie et de ce fait ils réussissent à vous faire croire que le lave linge est écolo.
:-D
Ajoutez à cela le temps de fonctionnement pour un cycle, pour le même cycle « cotton » le lave linge écolo tourne deux fois plus longtemps, donc double d’électricité pour un cycle, usure double des : paliers de roulement, courroie, du moteur et des charbons moteur, du programmateur, de la résistance, du thermostat etc….
Pareil pour les sèche linge à condensation AAA+.
Pour faire sécher une machine de cotton ils mettent 3H15 à 20-25°c …là où le même sèche linge dit « non écolo » ne met qu’une heure !
Les fabricants sont ravis, la norme green AAA+ leur permettra de vous vendre des nouvelles machines deux fois plus rapidement puisqu’elles seront usées deux à trois fois plus vite.
Si on ne s’e’n tient qu’à la seule électricité consommée (sans tenir compte de l’eau) c’est calamiteux comparé à des machines classiques.
En matière d’énergie rien ne se crée, rien ne se perd tout se transforme, on ne peut pas déplacer 10 joules avec moins de 2,7 kilowattsheure, c’est pareil pour les machines à laver et à sécher !
Et comme les cycles des AAA+ sont deux à trois fois plus longs le moteur consomme forcément deux à trois fois plus.
En fait c’est la plus grande escroquerie de ces dernières années et elle crève les yeux !
Mon dieu, que les zécolos d’opérette sont crétins incultes atteints de débilité…
La religion des moulins à vent et des miroirs magiques !
PS : Si vous me trouvez un système qui fonctionne actuellement à « l’énergie eau » comme combustible, faites le moi savoir et donnez-moi les tableaux de correspondance 1gramme d’eau = x-joules, x-watts, x-Cv etc…
Parce que là les escrocs se foutent bien de nos goules !