Voici donc le constat délivré par Christophe Guilluy résumé en une vidéo : plus de 500 livreurs Uber Eats ont manifesté ce lundi matin dans les rues de Paris pour dénoncer la « désactivation de comptes abusives et pour leur régularisation et leurs droits ». Les images sont éloquentes : la quasi totalité de ces livreurs sont d’origine africaine. Il aurait été intéressant de voir le profil de leurs clients par contre.
Le phénomène Uber ne concernant que les grandes agglomérations (ailleurs, les « ploucs » vont chercher leurs sushis à Leclerc, en bagnole Diesel), la finalité du capitalisme cool apparaît ici de façon claire : les villes ne sont plus habitées quasiment que par des bobos cools (de gauche ou non) alors que les banlieues sont habitées majoritairement par des étrangers extra-européens. Les uns servant d’esclaves aux autres. Les uns amenant les sushis « bios » et « équitables » commandés par les autres. Les uns n’ayant aucun droit sociaux pendant que les autres s’en branlent. Les uns bossent en vélo en en métro pendant que les autres se félicitent de les avoir comme livreurs ou comme nounous à bas coût pour leurs gosses infects.
Pendant ce temps-là, les indigènes, les De Souche, les Blancs, les cons qui bossent et qui votent Le Pen ou Zemmour, vivotent un peu partout ailleurs. Un peu partout ailleurs mais loin des grands agglomérations où les uns et les autres finiront par s’entre-égorger avec style et empressement quand les uns en auront marre des autres.
Je me suis toujours demandé ce que pouvait penser un immigré Uber Easts à vélo lorsqu’il allait livrer chez Leslie D., grande blonde vulgaire avec un air étrange et masculin, et que le chèque pour les tacos bio portait la mention « Jean-Philippe Durand ». Désormais, l’immigré en question sait que Jean-Philippe n’en a rien à foutre de ses droits sociaux qui feraient monter le prix de sa box « cheese ha spice » mais qu’il fera tout pour qu’il reste en France. Et surtout sur son vélo. Pas trop prêt mais pas trop loin. Toujours prêt à recevoir la commande !
« Que voulez-vous, les Français ne veulent plus travailler le dimanche et les jours fériés, il faut bien faire venir des immigrés ! »
Plus de 500 livreurs #UberEatsEnColere manifestent à Paris contre les désactivation de comptes abusives et pour leur régularisation et leurs droits pic.twitter.com/cVuVItj0q8
— CLAP (@_CLAP75) September 12, 2022
A-S Hamon.
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7 réponses à “Livreurs Uber Eats en colère : quand les esclaves des « Autres » manifestent [Vidéo]”
Cette caricature de l’homme blanc, nouveau colonialiste citadin marié à une » grande blonde vulgaire » est d’une nullité et d’une méchanceté affligeante !
Pour autant, je reconnais l’exploitation honteuse de ces livreurs, souvent sympas et courageux mais pourquoi cher C. Guilluy vous en prendre aux clients alors que c’est notre système qui tolère scandaleusement ce statut de travailleur sans droits ni défense ? Lorsque vous achetez votre télé ou vos tennis vous participez aussi à l’exploitation d’une main d’oeuvre esclave mais là c’est plus loin de vos yeux !
les employeurs et les clients peuvent se partager cette responsabilité sans pour autant caricaturer. Personnels mieux rémunérés impliquent peut-être un tarif plus élevé qui ne serait pas accepté ?
La formule classique, « il nous faut des immigrés pour faire le travail que les Français ne veulent plus faire » m’a toujours paru d’un racisme incroyable, massif et sans pudeur !
En outre, c’est une mécanique infernale, puisque, devenus français au bout d’un moment, ces ex-étrangers à leur tour ne voudront plus faire le travail que les Français n’ont pas à faire. Autrefois, la voie royale de la naturalisation était la Légion étrangère : devenir Français « par le sang versé ». A présent, on devient Français par la poubelle vidée…
Uber est une de ces entreprises américaines qui mettent le monde entier en carte. C’est le young global leader que l’oligarchie mondialiste a placé au sommet de l’Etat, qui a implanté Uber en France. Ubereats est l’outil des entreprises mondiales de la mal-bouffe.
Uber fut implanté en France par le young global leader que l’oligarchie mondialiste a placé au sommet de l’Etat.
Avec Uber les entreprises mondiales de la mal-bouffe prennent le marché de la restauration en France. Et Uber est un moyen supplémentaire du grand remplacement.
les nouveaux esclavagistes que les progressistes soutiennent.
les lois ne sont faites que pour protéger les délinquants , dura lex uniquement pour les petites gens
Caricature de la grande blonde totalement ridicule et pleine d’hostilité. Comme si les trans représentaient 40% des citadins. Sortez un peu de votre champ de choux-fleurs. En dehors de la méchanceté, ce papier colle peu avec la réalité têtue : ce sont les 0,01% de transexuels de la population qui se font lyncher par vos petits protégés à la peau sombre, et non l’inverse !… Eh oui. A méditer.