Elles sont belles (hmm.. 🤐), elles sont sportives (hmmm…?🤔) et elles sont déterminées à redorer le blason féminin lors de la lutte contre le vilain patriarcat (pas si blanc, ici). Avec leurs patins à roulettes ou rollers aux pieds, elles prennent le contrôle des skatepark au nom du féminisme, de l’égalité, et du progrès. Une conception du vivre ensemble qui va vite prendre un tournant (pas si) inattendu que ça… Inès et Roller Coven pour Konbini, sont analysées par Stéphane Edouard dans sa vidéoscopie.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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3 réponses à “Stéphane Edouard sur ces « justicières » féministes qui partent à la reconquête de leur ville… en roller |”
Effectivement dans un cours de danse la femme est toujours hypergame et jamais hypogame. Ce qui l’intéresse c’est de danser avec l’homme alpha, le meilleur des hommes. 80% des femmes voudront danser avec les 20% des hommes les meilleurs, dedaignant les 80% des hommes les moins bons. Si vous faites une bêtise la femme vous réprimandera. Après 2 cours de danse, j’ai laissé tomber, les femmes sont insupportables, hypergames… Expérience vécue…
encore un bon exemple de commentaire de texte (vidéo) dont l’éducation nationale devrait imiter plutot que de wokiser les élèves
Au moins le roller est discret, élégant, agréable à observer.
Le skate est vraiment l’instrument du connard de rebel urbain, bien à
l’aise dans son petit délire qu’ il pense original et personnel, en réalité
Imposé par un globalisme ultraconformiste, bruyant et routinier. Une
gêne supplémentaire infligée au citoyen par le grégarisme consumériste.
Ce petit morpion de skateur est un mutin de Panurge. A corriger féroce.