Covid-19. « On peut débattre de tout sauf des chiffres ». Point de situation au 4 juillet 2022

Avant propos : « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr) Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre 2021 par la « meute » des médias mainstream français… et abandonnée depuis…

Il convient donc de faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.

Observations :

1. Avec le variant Omicron (et ses sous-variants BA) très contagieux mais très peu létal, surtout et y compris dans les pays très peu vaccinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas déclarés (pour la plupart Omicron) a été multiplié par 6 entre le 1er décembre 2021 et le 25 janvier 2022 (3,4 millions de cas/j). Il a ensuite été divisé par plus de 4 pour s’établir aujourd’hui à 751 000 tests positifs/jour, (moyenne sur 7 jours.)

Avec l’entrée en été septentrionnal, le nombre de décès hebdomadaire a fortement baissé entre la 2ème semaine de février 2022 (74 000 décès/sem) et le 21 juin 2022 pour s’établir à 9500 décès/semaine, un « plus bas » depuis plus de 2 ans Il a très légèrement remonté depuis à 9744 décès/semaine aujourd’hui. En clair, la mortalité planétaire attribuée à la Covid-19 est à peu près la même aujourd’hui que ce qu’elle était en tout début d’épidémie au début de mars 2020. Les tendances observées dans les deux hémisphères laissent espérer une fin naturelle et prochaine de la pandémie et son évolution vers une maladie respiratoire saisonnière moins létale que la grippe.

2. Malgré une vaccination de masse menée tambours battants depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vaccination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021 et pour les 6 premiers mois de 2022, les chiffres n’ont pas été bien meilleurs qu’en 2020, sans vaccin. Les pays en développement les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie s’en sont, d’ailleurs, beaucoup mieux sortis, et se remettent plus vite que les pays développés les plus vaccinés: c’est un fait.

3. Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 12,11 milliards d’injections vaccinales pour une population de 7,96 milliards d’habitants ; injections vaccinales « vendues » par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ca n’a manifestement pas été le cas  au cours de l’année 2021 et sur les 6 premiers mois de 2022.

4. Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et leurs relais médiatiques, promoteurs du vaccin, celui ci n’a encore rendu à personne « sa vie d’avant ». Jamais les contraintes n’ont été aussi nombreuses et fortes, sur une durée de deux ans et demi, pour un résultat aussi nul.

5. Et pourtant, comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie Covid-19 finit enfin par régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :

• La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron et de ses derniers sous-variants.

• Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la Covid s’est progressivement « vidé » par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois …

• Dans de nombreux pays, une meilleure prise en charge des patients et l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la Covid ont réduit considérablement la mortalité liée à ce virus.

• L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, devrait également contribuer à la baisse de la létalité. À cet égard, le variant Omicron et ses sous-variants, très contagieux mais très peu létaux, ont joué le rôle d’un véritable vaccin naturel pour ceux qui ont contracté la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.

Notons qu’avec la guerre en Ukraine qui impacte la planète entière, les médias ont un nouvel os à ronger. Les grands titres de l’actualité s’en trouvent considérablement changés mais les médias et les politiques continuent  à surfer sur la peur et à manipuler l’opinion sur ce nouveau sujet. C’est d’ailleurs le rôle qui leur est attribué, dans tous les pays du monde, dans le cadre de leur participation à « la guerre de l’information ». En France, la campagne présidentielle a été largement occultée, elle aussi, par la crise ukrainienne, dont les conséquences risquent fort d’impacter nos vies beaucoup plus que la Covid-19, surtout si la gestion de cette crise est aussi maladroite et contre-productive que celle de la Covid-19, tant au niveau national qu’européen ou otanien. Vouloir régler les problèmes qui vont se poser en empruntant toujours plus d’argent, en « sanctionnant » toujours plus, n’est pas une stratégie durable, tant pour la crise sanitaire que pour la crise ukrainienne. L’explosion de la dette aura forcément une limite … et ne pourra qu’accélérer le déclassement de certains pays, déjà en cours.

Pour en revenir à la Covid-19, les données présentées par différents pays (UK, France, Israël, Italie) montrent que seulement 12% environ des décès attribués à la Covid peuvent être attribués uniquement à la Covid et de manière certaine. 88% des décès auraient donc pu être attribués à l’une ou l’autre des multiples comorbidités dont souffraient les patients décédés. Autrement dit, le nombre de 6,36 millions de décès sur deux ans est certainement surévalué, et pas qu’un peu. Il pourrait fort bien être de l’ordre de 1 millions qui, répartis sur deux ans, deviendrait un  nombre dérisoire au niveau planétaire. De là à dire que cette « pandémie » a été plus médiatique et politique que réelle, il n’y a qu’un pas que je n’hésite plus à franchir.

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Vidéos et documents « alternatifs » et intéressants sur la vaccination et la gestion de la crise sanitaire
1. Sur Didier Raoult et la chloroquine

Le professeur Marescaux l’un des plus grands chirurgiens du monde

1. Sur la « Pandémie »

2 vidéos de Didier Raoult qui poursuit inlassablement son combat pour la vérité. Elles ont connu une grosse audience malgré la concurrence informationnelle de la guerre en Ukraine.

• vidéo 7 juin : Monkeypox & Harcèlement
• vidéo 21 Juin : La Fin de l’hégémonie ?

2. Sur le vaccin

1 vidéo très courte Pujadas sur LCI reprend une déclaration de Didier Raoult sur les vaccins

Effets secondaires des vaccins Covid-19

2 vidéos très très courtes

• Évolution graphique des péricardites sur Eudravigilance depuis 2003 à aujourd’hui par le Dr Seligman. Mettre la vidéo en plein écran pour voir l’évolution plus clairement. C’est impressionnant !

• Nombre d’effets secondaires des vaccins Covid selon les données de l’OMS :

 

Quels sont, jusqu’à présent, les résultats planétaires de l’expérimentation vaccinale de masse ?

• Our World in Data : https://ourworldindata.org/covid-vaccinations

66,6% de la population mondiale aurait reçu au moins une dose d’un vaccin COVID-19 et 61% seulement seraient complètement vaccinés, représentant près de 4,85 milliards d’h.

12,11 milliards de doses auraient été administrées dans le monde et 5 millions seraient encore injectées chaque jour, en utilisant trop souvent des mesures coercitives, dans certains pays occidentaux notamment, qui voudraient se poser en modèle pour le reste du monde en multipliant les doses, alors qu’ils on failli, depuis le début, dans la gestion de l’épidémie, en multipliant les erreurs d’appréciation.

17,4% seulement des habitants des pays à faible revenu auraient reçu au moins une dose. Ils ont, il est vrai, et parce qu’ils sont plus jeunes, une mortalité Covid encore très inférieure à celle des pays les plus vaccinés…

Extrait d’un point de situation vaccinal planétaire au 30 juin 2022.

À l’échelle planétaire, il y aura eu deux fois plus de décès Covid en 2021 avec le vaccin qu’en 2020 sans vaccin, alors même qu’il y a consensus scientifique pour admettre que le variant delta a été moins létal que ses prédécesseurs. Sur le premier semestre 2022, le nombre de décès de la Covid a d’abord explosé pour dépasser le 8 février 2022 le niveau du pic d’août 2021. Puis ce nombre a diminué progressivement pendant 19 semaines consécutives. Il semble aujourd’hui à un étiage. Toutefois, une très légère hausse de la mortalité est observée depuis une semaine, bien que la Covid-19 soit désormais plutôt en extinction naturelle un peu partout, sans qu’on puisse attribuer cette amélioration au vaccin puisque les pays les plus vaccinés sont ceux où l’épidémie a reculé le moins vite (Allemagne, Royaume Uni, Australie, Singapour, Israël….etc) et que, sur un semestre, la mortalité moyenne de 2022 avec vaccin a été identique à celle de 2020 sans vaccins.

Il semble bien que le dernier variant Omicron, très contagieux mais très peu létal a été, en cette première moitié de 2022, le vaccin naturel attendu.

On me rétorquera que la situation serait bien pire si l’on avait adopté d’autres stratégies de lutte contre la pandémie. C’est une affirmation commode et gratuite qui est, malheureusement, démentie par les faits (« On peut débattre de tout sauf des chiffres » nous répètent inlassablement les médias, relayant le discours du gouvernement français.) Eh bien re-parlons chiffres !

Observations :

1. Au fil des années, l’augmentation de la mortalité Covid a été générale sur la planète. Il n’y a aucune corrélation entre le taux de vaccination et le taux de mortalité des différents continents. 3 à 4 fois moins vaccinée que l’Amérique latine, ou que l’Europe, l’Afrique déclare un taux de mortalité 14 fois moindre.

2. Alors que les habitants de la planète sont de plus en plus vaccinés, la mortalité déclarée Covid des 6 premiers mois de 2022 est restée forte. Exemples ? L’Océanie, vaccinée à 67%, a déjà dépassé en six mois 2022 la mortalité cumulée des deux années 2020 et 2021 et compte 9 fois plus de décès en 6 mois que durant toute l’année 2020, sans vaccin. L’Europe, vaccinée à 68% est restée, au premier semestre 2022, sur la moyenne de mortalité de l’année 2020 (sans vaccin).

2. En Suède, aucune des prédictions apocalyptiques des experts autoproclamés ne s’est réalisée. 96 000 décès en un seul mois prévus par les « experts » en mars 2020 ? Dans la vraie vie : 19 091 décès en deux ans et quatre mois, bilan réalisé sans aucune des mesures folles que la France a connues. La Suède, plus contaminée, plus âgée et moins vaccinée que la France, a un taux de mortalité de 30% inférieur à celui de la France et de la moyenne européenne…

3. En Islande, en Israël, au Royaume Uni, aux États-Unis, à Singapour, (… etc) pays supposés être parmi les plus immunisés ou protégés au monde par le vaccin (entre 75% et 95%) ou par la guérison de la maladie, la contamination et/ou la mortalité a été plus élevée en moyenne sur 6 mois de 2022 que dans les années précédentes, y compris parmi les doubles vaccinés (voire, en Israël, parmi les vaccinés à trois ou quatre doses).

Ainsi, à Singapour (6 millions d’habitants vaccinés à 92%), la mortalité a augmenté très fortement sur les sept dernier mois montrant la totale inefficacité vaccinale.

Situation de la mortalité Covid à Singapour aujourd’hui vaccinée à 92% : « On peut débattre de tout sauf des chiffres » « tous vaccinés, tous protégés » qu’ils disaient sur toutes les télés françaises.

En Israël, la contamination et les décès ont explosé en janvier. Entre le 14 décembre 2021 et le 26 janvier 2022, le nombre de nouveaux cas est passé de 595 à 72 014/jour (Moyenne sur 7 jours) soit une multiplication par 121 en 6 semaines.

Entre le 30 décembre 2021 et le 4 février 2022, le nombre de décès en Israël est passé de 1 à 73 décès/jour (Moyenne sur 7 j). Le record absolu du nombre de décès a été battu dans un pays vacciné à 72% (et bien davantage pour les personnes fragiles) et dans lequel 44,2% des habitants ont déjà été testés positifs et devraient donc avoir une immunité naturelle.

Avec le nombre de cas critiques actuels (310), Israël aura encore des pertes dans les jours à venir. Une forte majorité des hospitalisations concerne aujourd’hui des personnes âgées, double, triple vaccinées, voire quadruple vaccinées…

Au Royaume Uni, après un taux le plus bas à 59 décès/jour le 2 mars 2022, la mortalité est repartie à la hausse, a été multipliée par 4 et a atteint les 273 décès/j (moyenne sur 7 jours) le 25 avril 2022 malgré la multiplication des injections vaccinales ….????. Elle est redescendue très lentement depuis pour s’établir à 46 décès/J le 17 juin. Il est remonté depuis à 70 décès/J. La proportion de vaccinés et de non vaccinés dans les hospitalisations est la même que dans la population générale. Constatant que la stratégie du tout vaccinal et des mesures contraignantes et liberticides ne porte pas le moindre fruit, le gouvernement britannique y a renoncé en abandonnant toutes les mesures qu’il avait prise et en adoptant  la stratégie du « vivre avec ».

4. Curieusement, et c’était une autre exception française, il n’y avait, selon les déclarations officielles, que des non vaccinés dans les réanimations et dans les décès enregistrés en France (80% selon la propagande officielle…). Ces proportions ont été revues fortement à la baisse puis ont disparu du narratif médical, politique et médiatique. Curieusement aussi, aucun des nombreux effets secondaires recensés dans d’autres pays  ne semble apparaître en France et leur nombre, largement sous évalué, n’est plus vraiment porté à la connaissance  du public par les médias depuis juillet 2021.

Les chiffres de mortalité Covid et l’omerta sur les effets secondaires étant ce qu’ils sont, il devient légitime de s’interroger sur l’absence d’efficacité et de miracle vaccinal. « Le vaccin ne favorise-t-il pas la contamination et ne tue-t-il pas, in fine, plus qu’il ne protège ? »

En clair, le spot TV français « On peut débattre de tout sauf des chiffres » relève de la manipulation et de la farce grossière dans la mesure où le chiffre annoncé (80% de non vaccinés dans les réanimations) était faux. Et ce pourcentage était faux parce qu’il était très loin d’être cohérent avec ceux qui nous venaient du monde entier en provenance de pays qui connaissaient la même situation que nous.

En clair aussi, le slogan répété inlassablement par les politiques et leurs relais médiatiques : « Tous vaccinés, tous protégés » apparaît chaque jour un peu plus mensonger et contre productif.

Mensonger parce que ça n’est manifestement pas vrai à l’échelle mondiale, si l’on en croit  l’évolution actuelle de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés. Les vaccins actuels, élaborés à la hâte, et toujours en expérimentation, ont été conçus pour contrer le virus souche de Wuhan. Ils ne semblent pas adaptés ni très efficaces pour contrer les nouveaux variants et peut être ceux qui pourraient encore apparaître.

Contre-productif parce que les plus crédules des vaccinés se croient « immunisés » par une 3ème ou 4ème dose, voire un QR code, et ne respectent plus les précautions élémentaires nécessaires en cas d’épidémie. Ces gens là deviennent, avec la bénédiction des autorités politiques et de santé, de véritables dangers publics pour la santé de la population, vaccinée ou non.

Observations factuelles : En cette première moitié d’année 2022, à l’échelle planétaire, la contamination Covid (variant O-micron) a d’abord explosé et la mortalité Covid (variant delta) a fortement augmenté pour culminer à 11 014 décès/jour le 8 février. Cette mortalité diminue désormais progressivement pour s’établir à 1392 décès/jour (moyenne sur 7j) au 1er juillet  2022. Le premier semestre de 2022 aura donc été parmi les pires de l’épidémie en terme de mortalité déclarée : 906 000 décès en 6 mois après 12,1 milliards de doses de vaccins injectées (???). La moyenne hebdomadaire de 34 850 décès en 2022 (sur 6 mois) reste proche de la moyenne hebdomadaire des décès de 2020 sans vaccination, qui n’était que de 35 250. On réalise toute « l’efficacité » (???) des campagnes vaccinales qui auraient dû faire reculer le virus et combattre les formes graves de la maladie… On peut débattre de tout, sauf des chiffres.

Les pays les plus pauvres, dont 17,5% seulement de la population seraient vaccinés, sont ceux qui affichent les taux de mortalités Covid les plus faibles (inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille). « On peut débattre de tout sauf des chiffres »…

Les pays les plus riches, les plus « avancés », les plus vaccinés (de 75% à 98%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 2 et jusqu’à 5 pour mille). « On peut débattre de tout, sauf des chiffres »…

Après 2 ans et demi d’épidémie, le taux de mortalité Covid planétaire reste dérisoire (0,82 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout « famines »…). La population terrestre et même l’espérance de vie continuent donc d’augmenter, malgré la Covid au rythme élevé de 80 millions d’habitants  par an. « On peut débattre de tout, sauf des chiffres ».

En 2 ans et demi d’épidémie, 6,36 millions d’individus, très âgés, fragiles et souvent déjà malades sont décédés « avec la Covid » alors que près de 150 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes… On notera que 88% des décès l’ont été avec comorbidité et que 12% peuvent être attribués à la seule Covid-19. En clair 1 million de décès environ, en deux ans et demi, peuvent être attribués de manière certaine à la Covid-19 … (nombre inférieur à celui de la grippe saisonnière, en temps normal, sur deux ans et demi , au niveau planétaire).

Principales causes de décès en 2022 sur la planète (source : Worldometer).

On notera avec intérêt le comportement paradoxal des gouvernances qui acceptent, en 2022, de réaliser 42,5 millions d’avortements sur la planète, et qui, « en même temps » et « quoiqu’il en coûte » à l’économie et à la vie sociale, prennent mesures sur mesures draconiennes pour tenter, trop souvent en vain, de prolonger de quelques mois l’espérance de vie de quelques millions de vieillards (dont je fais partie), vieillards qui ont, pour la plupart, dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et dont certains ont usé et abusé des bonnes choses de la vie. Ainsi, 1,7 milliards de terriens seraient en surpoids et 800 millions seraient classés obèses en 2021 (plus à l’Ouest qu’à l’Est et plus au Nord qu’au Sud… (source : Worldometer)

Il faut donc RE…LA…TI…VI…SER, apprendre à « vivre avec », ce que fait désormais un grand nombre de pays dont le Royaume Uni, l’Espagne, le Danemark, la Suède, la Biélorussie, la Russie, la République Tchèque et même Israël ; et « traiter précocement » pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation, en pleine épidémie, au nom de la « rentabilité », alors que notre population vieillit et donc se fragilise, et faire semblant de s’étonner (pour nos politiques et leurs « conseils scientifiques » sponsorisés par « Big Pharma »), que nos structures hospitalières soient saturées, ce qu’elles sont, chaque hiver, depuis bien longtemps.

En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné, depuis le début, des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait désormais être prise en exemple, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissements hospitaliers.

Le dernier pic épidémique planétaire du « variant delta » ayant été franchi le 9 février 2022, avec 10 941 décès/jour en moyenne sur 7 jours. La situation s’est donc améliorée progressivement depuis cette date jusqu’au 20 juin (1277 décès/J, moyenne sur 7 jours) arrivée de l’été dans l’hémisphère Nord ? + vaccin naturel « Omicron » ?). Elle s’est ensuite très légèrement détériorée depuis le 20 juin (1347 décès jours moyenne sur les 7 derniers jours). Ce nombre de décès quotidien reste donc très bas, comparé à celui des accidents de la route sur la planète (3670 décès/jours) ou à celui des décès du SIDA (4560 décès/J).

Cette évolution est à peu près la même dans la quasi totalité des pays des deux hémisphères. La situation reste très bonne en Afrique (très peu vaccinée). L’épicentre reste encore l’Europe qui compte encore, à elle seule, près de 50% des décès Covid encore déclarés sur la planète.

En Europe, l’Est s’est remis très vite du pic qu’il a connu en décembre. L’Ouest où la contamination Omicron existe toujours, semble atteindre, peu à peu, une immunité naturelle plus solide et durable que la très hypothétique « immunité vaccinale » qui est très loin d’avoir fait ses preuves.

Présentation des courbes de contamination et de décès planétaires

Courbe de contamination planétaire au 1er juillet 2022 (en bleu, moyenne quotidienne sur 7 jours) :

Courbe du nombre de décès planétaire au 1er juillet 2022 (en marron, moyenne quotidienne sur 7 jours) :

À noter que l’arrivée de la vaccination n’a pas changé grand-chose, à ce  jour.  Aujourd’hui, 12,1 milliards de doses de vaccin auraient été injectées, 66,5% des habitants de la planète « auraient » reçu au moins une dose de vaccin. 170 millions de doses de vaccin seraient encore injectées chaque mois pour un résultat toujours aussi peu probant sur l’évolution de la contamination et de la mortalité.

Les taux de guérison sont très rassurants, sur 554 millions de personnes déclarées positives à la Covid depuis le début de l’épidémie, 528,5 millions auraient été déclarés guéris, soit plus de 95%. 19 millions seraient encore en cours de soins, dont 37 000 (en baisse) en situation critique, 6,36 millions seraient décédés « avec la Covid » en 2 ans et, pour l’énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, atteintes de comorbidités et ayant dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine.

Ces taux de guérison varient d’un continent à l’autre en fonction de l’âge des populations concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l’épidémie. Mais il est aujourd’hui presque partout supérieur à 95% à l’exception des pays les plus affectés du moment.

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Point de situation du Samedi 2 juillet 2022 0h00 GMT
Depuis le début de l’épidémie

228 pays ou territoires ont été affectés par le virus.

29 pays ont déclaré plus de 32 000 décès en deux ans et demi d’épidémie et comptent 88% des décès avec, dans l’ordre des pertes : (USA, Brésil, Inde, Russie, Mexique, Pérou, Royaume Uni, Italie, Indonésie, France,  Iran, Allemagne, Colombie, Argentine, Pologne, Ukraine, Espagne, Afrique du Sud,  Turquie, Roumanie, Philippines, Chili, Hongrie, Vietnam, Canada, République tchèque, Bulgarie, Malaisie, Équateur,

À l’échelle de la planète, la mortalité liée à la pandémie a baissé sans discontinuer du 9 février au 21 juin 2022, il a très légèrement remonté depuis et atteint désormais les 1392 décès/jour (moyenne sur 7 j), un plus bas jamais atteint depuis plus de deux ans.

À la lecture du tableau qui suit, on réalise à quel point la mortalité reste faible et en baisse en Afrique, en Asie, en Amérique septentrionale et en Europe. Elle est stable en Océanie. Elle n’est en légère hausse qu’en Amérique latine (Brésil) qui marchent vers l’hiver austral et en Europe. La stratégie « atlantiste » (UE-OTAN) et mondialiste de gestion de la crise sanitaire a été prise en défaut. Elle (l’OTAN) cumule désormais plus de 38% des pertes Covid mondiales pour 12% de la population.

Les 30 pays de l’OTAN, parmi les plus vaccinés au monde, cumulent 2,434 millions de décès et ont un taux de mortalité de 2,55/1000 h. Le reste de la planète cumule 3,926 millions de décès et a un taux de mortalité de 0,56/1000h. (voir tableau détaillé en fin de rapport)

C’est un échec cinglant de la stratégie du tout vaccinal prônée … par les USA et Big Pharma (via McKinsey).

Il y a, en Occident, un véritable problème, lié à la corruption des élites par des lobbies transnationaux. Il faudra, tôt ou tard, résoudre ce problème.

Ci après, un tableau rappelant l’évolution de l’épidémie sur les 5 derniers mois (en vert l’amélioration hebdomadaire, en rouge la détérioration) :

Bilan au 2 juillet 2022 0h00 GMT du nombre de cas et de décès par grande région du monde classées par taux de mortalité :

Les bilans les plus lourds de la journée d’hier ont été, dans l’ordre, ceux  du Brésil, des USA, de Taïwan et de l’Allemagne. Ces quatre pays ont déclaré, à eux seuls, près de 54% des nouveaux décès de la planète.

L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent une part des pertes mondiales de 26,9% alors qu’elles regroupent 77,5% de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) enregistrent 73,1% des pertes pour 22,5% de la population mondiale. Notons que la part de l’Afrique pourtant six fois moins vaccinée, continue d’être infime.

Pour relativiser, encore et toujours cette crise sanitaire, voici la comparaison avec les épidémies du siècle dernier : On est encore très très loin de la grippe espagnole…

Au delà des nombres évoqués ci dessus, il faut aussi souligner qu’une très forte majorité (88%) des décédés de cette épidémie avait déjà dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et/ou souffrait de multiples comorbidités … ce qui n’était pas le cas lors des grandes épidémies précédentes où les jeunes mourraient par millions.

À noter aussi que les statistiques dites « officielles » des gouvernements sont toutes sujettes à caution, chacun pouvant les manipuler à sa guise pour des objectifs politiques (entre autres).

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Situation par continents, sous continents, et pays les plus affectés
L’Europe

Toujours épicentre de l’épidémie depuis la mi-octobre 2021, l’Europe a vu sa situation s’améliorer très lentement, mais considérablement entre début février et le 20 juin 2022. Depuis cette date, le nombre de décès déclarés Covid, seul indicateur pertinent, pour peu que les nombres déclarés soient justes, est désormais en légère hausse presque partout alors même que  l’Europe est au cœur de l’été. Ce sont l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Italie,  qui totalisent, à eux seuls, près de 50% des décès européens de la semaine écoulée. À noter que la crise ukrainienne et les élections françaises ont fait baisser les pressions politiques et médiatiques sur la crise sanitaire.

Seuls trois pays européens déclarent plus de 400 décès en 7 jours.

1. La Russie

Courbe du nombre de cas déclarés par la Russie au 2 juillet 2022 0h00 GMT :

La Russie déclare désormais moins de 13% des décès européens pour 19% de la population. Le nombre des décès quotidien y poursuit sa baisse (voir courbe ci-dessous).

2. Le Royaume-Uni

La situation s’y est détériorée sensiblement en Janvier 2022 avec un quasi triplement du nombre des décès quotidiens entre le 16 décembre (111 décès/j) et le 20 janvier 2022 (286 décès/J (moyenne sur 7 jours) dont une forte majorité de double ou triple vaccinés.

Avec l’arrivée du Omicron, jugé peu létal, le Royaume Uni a abandonné toutes les mesures coercitives et décidé de reprendre sa vie d’avant et de « vivre avec ». Tenant compte des faits observés, le Royaume Uni n’a jamais tenté d’ostraciser les non vaccinés en tentant de les rendre responsables de l’échec planétaire de l’expérimentation vaccinale. Du 20 janvier au 2 mars 2022, la mortalité a baissé jusqu’au point bas de 59 décès/j. Mais le nombre de décès est remonté fortement pendant 5 semaines pour s’établir à 324 décès/jour le 26 avril. Du 26 avril au 6 juin, nouvelle baisse jusqu’à 40 décès/jours. Depuis le 6 juin, c’est reparti à la hausse (70 décès/jour moyenne sur 7 jours).

Le bilan total des pertes Covid du Royaume-Uni (180 417 décès « déclarés ») suit désormais celui de la Russie (381 165) mais pour une population plus de deux fois moins nombreuse. La vaccination de masse a débuté au début de décembre 2020 et 78,5% de la population auraient reçu une première injection ; 73,5% auraient reçu la 2ème, la 3ème ou la 4ème … et 33,2%, ayant été déclarés positifs, seraient immunisés naturellement. Le bilan continue d’être étrangement lourd pour une population présumée très protégée des formes graves par un vaccin déclaré par Big pharma efficace à plus de 95% (????), d’autant que la proportion des personnes fragiles (ou à risque) vaccinées est bien supérieure aux données moyennes présentées ci dessus…

3. L’Italie

La situation n’y est pas mauvaise. Le nombre de décès fait le yoyo entre 40 et 60 décès/Jours (moyenne sur 7 jours). L’Italie restera probablement à la troisième place pour le nombre des décès en Europe.

4. La France

La situation y est meilleure qu’en Italie. Le nombre des décès quotidien a été divisé par quatre depuis le 25 avril passant de 150 décès/jour à 38 décès/j – moyenne sur 7 j.

À ce jour, 80,8% des français, sous la pression de mesures coercitives pour une large part, « auraient » reçu une dose de vaccin, 78,5% auraient un schéma vaccinal complet (en 18 mois de campagne), il faut réaliser que ce schéma vaccinal complet peut l’être par un simple test positif suivi d’une guérison, qui a valeur de « booster » et que 47,6% des français ayant contracté le virus (dont plus de la moitié, o-micron, au premier semestre 2022), seraient, en large part, immunisés naturellement. Ces contaminations Omicron ont largement contribué à accroître le nombre de schéma vaccinal complet.

Comme partout ailleurs dans le monde, les résultats attendus de la vaccination expérimentale n’ont pas été au rendez-vous. Une forte majorité des vaccinés admet s’être fait vaccinée sous les pressions des mesures prises par le gouvernement pour interdire aux non vaccinés de vivre et de travailler normalement. Un nombre important d’électeurs ont fait payer au président, lors des législatives, une gestion perçue comme dictatoriale de la crise sanitaire. Il a perdu sa majorité parlementaire, tout comme Benjamin Netanyahu en Israël quelques mois avant lui, et pour les mêmes raisons.

Mais beaucoup de français renoncent aujourd’hui à la 3ème ou à la 4ème doses de rappel, comprenant qu’ils entrent dans un cycle sans fin de vaccinations quadrimestrielles sans aucun bénéfice pour leur santé, d’autant que le nombre et la gravité des effets secondaires des vaccins commencent à être connus et documentés et que les nouveaux variants se jouent des vaccins proposés sur le marché et sont de moins en moins létaux.

On est très loin, en France, du consentement « libre et éclairé » requis dans ce genre d’acte médical « expérimental », surtout lorsque l’expérimentation n’est pas une réussite.

Les chiffres français sont d’ailleurs peu fiables car ils émanent des autorités sanitaires et politiques françaises qui ont déjà beaucoup, beaucoup trop menti depuis le début de cette épidémie.

Peut être devraient-elles regretter de ne pas avoir utilisé toute la palette des traitements précoces existant sur le marché et d’avoir interdit aux médecins de ville de soigner et de prescrire des molécules jugées efficaces presque partout ailleurs dans le monde… Bien sûr, elles rendront toujours les nouveaux variants, plus malins qu’elles, et les non vaccinés responsables de l’échec de leur stratégie, sans jamais se poser la question qui tue : Les vaccins expérimentaux anti Covid, élaborés à la va-vite, ont-ils eu, ou non, un  jour ou quelque part, l’efficacité qu’on leur prête ?

Courbe du nombre de cas déclarés en France au 2 juillet 2022 (en bleu, moyenne sur les 7 derniers jours) :

Pour le nombre des décès, la France aura franchi la barre des 150 000 décès déclarés le 14 juillet 2022.

France : courbe des décès quotidiens (en barre grise) et moyenne quotidienne sur 7 jours (en orange) :

Chacun notera avec intérêt que le pic de mortalité (variant delta) de février 2022 a été bien plus sévère que celui d’août 2021. Autrement dit, plus on vaccine en France et moins la population fragile, pourtant plus vaccinée que les autres, semble protégée des formes graves.

Ce constat devrait interroger sérieusement le conseil dit « scientifique » et les politiques qui devraient se rendre à l’évidence. Plus que le virus Covid, c’est l’hiver et les comorbidités qui ont tué au premier trimestre 2022. Et il n’existe pas de vaccin contre l’hiver et contre toutes les comorbidités…

Le taux de mortalité Covid français reste, à ce jour, 2,7 fois supérieur à la moyenne mondiale avec 2,3 décès pour mille habitants en 2 ans, pour une moyenne mondiale de 0,82 pour mille.

Pour le nombre des décès, la France reste à la quatrième place  européenne (sur 48 pays ou territoires) derrière la Russie, le Royaume Uni et l’Italie. Merci aux autorités de santé et à l’exécutif qui ont interdit aux médecins de prescrire les traitements précoces efficaces, avec le consentement éclairé de leurs patients…

5. L’Espagne

La situation de l’Espagne, pays latin vacciné à 88%, ressemble à celle de la France. Le nombre des décès s’inscrit en forte baisse sur les 7 derniers jours (-19%). Le gouvernement espagnol a renoncé à toutes les mesures liberticides, jugées inefficaces et le pays s’en porte bien.

Courbe du nombre de décès en Espagne :

6. L’Allemagne

La situation s’y détériore à nouveau. Le nombre de cas hebdomadaires déclarés augmente (+28% en 1 sem), celui des décès augmente très sensiblement (+79% en 1 sem). L’Allemagne aurait vacciné à ce jour, 77,1% de sa population (dont 75,5% avec schéma vaccinal complet) 33,7% ayant été testés positifs et guéris de la maladie seraient immunisés naturellement. À la lecture des courbes ci-après, chacun peut réaliser qu’en 2021 et 2022, la vaccination n’aura servi strictement à rien en Allemagne. L’évolution au 1er trimestre 2022 nous répète que, comme partout ailleurs, c’est l’hiver qui tue. Et il n’existe pas de vaccin contre l’hiver.

Courbe du nombre de cas déclarés en Allemagne au 2 juillet 2022 0h00 GMT :

Courbe des décès en Allemagne (moyenne sur 7 derniers jours) :

7. La Belgique

Avec un taux de mortalité de 2,73 décès par millier d’habitant, la Belgique, siège des institutions européennes, pays de brassage et de passage, restera un pays « cluster ».

L’Amérique septentrionale

Le nombre hebdomadaire de cas déclarés et de décès a explosé en Janvier aux USA, champions du monde de la malbouffe et de l’obésité, et dans le peloton de tête de la gestion calamiteuse du « tout vaccinal ».

78% des citoyens US auraient reçu une première dose de vaccin, 66,9% auraient reçu les deux. Si l’on en croit l’évolution de la vaccination sur les 5 dernières semaines, 11% des américains ayant reçu la première dose ne veulent pas se faire injecter la seconde. Les citoyens US seraient donc plus vaccino-sceptiques que les français, ou peut être plus fermes dans leurs convictions. Il est vrai que toute la panoplie des mesures contraignantes appliquées en France n’a pas pu l’être aux USA pour des raisons constitutionnelles… et dans ce pays, la Constitution est respectée…

Courbe des tests positifs US déclarés au cours de l’épidémie :

L’épidémie est loin d’être éradiquée aux USA. Bien pire que prévu avec le vaccin en 2021, le nombre des décès a passé le cap du million en mars 2022…

En 2020, année Covid gérée par l’administration Trump, le nombre des décès US avait été de 370 000 pour 20,5 millions de cas déclarés (sans les vaccins). Trump avait été lynché par la meute médiatique occidentale, contrôlée par l’État profond US et ses relais en UE, pour sa gestion jugée calamiteuse de l’épidémie. En 2021-2022, années Covid gérées par l’administration Biden, le nombre des décès US a très largement dépassé celui de 2020 pour s’établir à 1,043 million de décès le 2 juillet 2022, donc +182% de décès pour la gestion Biden en 2021-22. Ce triste bilan est obtenu alors que près de 600 millions de doses de vaccin ont déjà été injectées à la population US (334 Millions d’h) en 2021-22 par l’administration Biden…

Le lecteur aurait-il entendu les médias critiquer Biden pour les résultats de sa gestion de l’épidémie bien plus désastreux que ceux de Trump ? Aurait il entendu dire que l’efficacité du vaccin n’est pas du tout celle annoncée par Big Pharma ?

« On peut débattre de tout sauf des chiffres » : de tels résultats  d’une campagne de vaccination de masse avec un vaccin vendu pour une efficacité de plus de 95% devrait interroger les responsables politiques du monde entier d’autant que les pays les moins vaccinés d’Asie et d’Afrique sont très loin d’afficher des résultats aussi calamiteux … et que les personnes à risque sont beaucoup plus vaccinées que les autres … ce qui devrait entraîner une baisse rapide (et non une augmentation) des décès, si les vaccins étaient efficaces.

Au Canada, la situation s’est plutôt améliorée du 13 mai (72 décès/J) au 1er juillet avec 20 décès/j (moyenne sur 7 jours). Le taux de mortalité Covid déclaré par les canadiens (1,094/1000h) reste inférieur de plus de moitié à celui de l’Europe (2,47/1000h) et des deux tiers à celui de son voisin US (3,115/1000 h).

L’Asie

Rapportée à la population, la mortalité y reste dérisoire, très inférieure à la moyenne mondiale. La situation s’est détériorée sensiblement en janvier 2022. mais s’améliore progressivement depuis la 3ème semaine de février 2022 (division par 10 du nombre des décès hebdomadaires).

L’Asie de l’Est et du Sud-Est (Chine, Japon, Vietnam, les deux Corées, Taïwan, Philippines, Indonésie, Laos, Cambodge, Malaisie, Birmanie…) reste donc toujours très peu touchée par la pandémie comparée au reste de l’Asie et du monde. La situation s’y améliore partout, y compris à Taïwan qui compte à elle seule la moitié de tous les décès du continent asiatique. La situation se détériore légèrement au Japon et en Inde, mais rien d’alarmant.

L’Indonésie, actuellement pays le plus touché d’Asie de l’Est, enregistre un taux de mortalité encore dérisoire de 0,561 décès/1000 h (inférieur à la moyenne mondiale de 0,816). Taïwan, pays qui souffre le plus en ce moment sur le continent asiatique et qui n’a jamais adopté de confinement national, déclare un taux de mortalité de 0,283 décès pour mille h (6 772 décès de la Covid en 2 ans et demi pour 24 millions d’h). Le Japon, quant à lui, déclare 31 281 décès pour 126 millions d’h soit 0,25 décès /mille h en deux ans et demi.

C’est donc l’Asie de l’Ouest (Inde, Iran et pays voisins du Moyen-Orient), qui a enregistré l’essentiel des pertes en Asie. Ces pertes restent très limitées si on les rapporte au nombre d’habitants. Le taux de mortalité Covid déclaré par l’Inde (0,373 décès pour 1000 h) reste dérisoire comparé à la moyenne mondiale (0,816 /1000h) ou à celle de l’Europe (2,47 pour 1000h).

S’agissant de l’Iran, ce pays est toujours un pays sous sanctions économiques « maximales » de la part des USA (au profit d’Israël) et enregistre le 3ème taux de mortalité le plus élevé d’Asie (1,64 décès/mille h), derrière la Géorgie, et l’Arménie qui a cumulé la guerre et la Covid. À noter que les USA qui ont un urgent besoin de pétrole pourraient lever leurs sanctions pour avoir accès au pétrole iranien.

La contamination a explosé en Janvier en Israël, l’un des meilleurs élèves de la classe « tous vaccinés-tous protégès ». En six semaines, du 14 décembre 2021 (595 cas/jour, moyenne sur 7j) au 23 janvier 2022 (72 913 cas/jour, moyenne sur 7 jours), le nombre de contaminés a été multiplié par 122. Le nombre de décès est passé de 1 décès/jour le 31 décembre 2021 à 73 décès/j moyenne sur 7 jours, le 4 février 2022. Pour le pays phare de l’expérimentation vaccinale, le résultat est tout simplement un immense fiasco, quoi que puissent en dire les médias mainstream payés pour minimiser ou occulter l’échec. La situation s’est améliorée considérablement depuis le 4 février et depuis 3 mois le nombre de décès déclarés Covid oscille entre 6 et 12 décès/J (moyenne sur 7 jours).

L’épidémie est donc loin d’avoir été éradiquée en Israël. Les hospitalisations d’aujourd’hui sont  en majorité des double, triple ou quadruple vaccinés. On y est donc très loin du retour à la vie d’avant promis il y a 18 mois par les promoteurs du vaccin… même si Israël a renoncé à toutes les mesures liberticides qu’il avait adoptées.

Israël avait déclaré 3 325 décès en 2020, sans vaccin. Elle en était à 8 243 décès le 31 décembre 2021 soit  8243 – 3325 = 4918 pour l’année 2021 avec le vaccin. L’année 2022 est bien partie pour être pire encore puisque Israël a déclaré 2715 décès pour les 6 premiers mois de l’année 2022, soit un total de 10 958 décès. Le vaccin et ses « booster ne sont donc pas aussi efficaces qu’annoncé par Big pharma, puisque la situation s’est encore détériorée au 1er semestre 2022, malgré la multiplication des injections vaccinales sur les personnes les plus fragiles.

La Palestine dont 34% seulement des habitants ont un schéma vaccinal complet déclare un taux de mortalité Covid de 1,013 pour mille habitant, inférieur de 15% à celui d’Israël (1,175 pour 1000 H)) , alors même que le taux de vaccination israélien est double de celui des palestiniens (66,14%) et que les israéliens ne vivent pas dans la même promiscuité que les palestiniens regroupés dans des zones « concentrationnaires ».

Cette mortalité asiatique, y compris celle de l’Inde et de l’Iran, reste aujourd’hui très inférieure à celle des continents américain et européen.

Tableau présentant la situation du 2 juillet 2022 des 20 pays d’Asie ayant dépassé les 10 500 décès (94% des pertes en Asie) :

L’Amérique latine

Avec près de 1,71 millions de décès déclarés, l’Amérique latine n’est plus la région du monde la plus affectée par l’épidémie à ce jour, ni pour le taux de mortalité (remplacée par l’Amérique septentrionale, ni pour le nombre des décès (remplacée par l’Europe). Sous continent le plus vacciné au monde, l’Amérique latine a vu sa situation se détériorer très fortement en Janvier 2022 (été austral) puis s’améliorer tout aussi vite à partir de la 3ème semaine de février 2022.

En Amérique latine, les pertes humaines hebdomadaires déclarées sont en hausse à 2286 décès déclarés (doublement en 6 semaines), alors qu’une bonne partie du sous continent est désormais entré en hiver austral. Il est très probable que l’Amérique latine redevienne l’épicentre de l’épidémie en juillet ou en août.

Le bilan brésilien reste le plus lourd avec 65% des pertes « latinos » de la semaine passée. Le nombre des décès s’inscrit en légère hausse (à 211 décès/jour (moyenne des 7 derniers j).

Les décès se concentrent dans huit États qui déclarent près de 95% des décès et plus de 19 000 décès chacun. Les autres pays des Caraïbes et d’Amérique du Sud restent encore relativement épargnés par l’épidémie.

Au Mexique, le nombre hebdomadaire de décès est, lui aussi, en nette hausse (+20% sur la moyenne des 7 derniers jours).

Tableau présentant la situation du 2 juillet 2022 des huit pays d’Amérique latine ayant dépassé les 19 000 décès (95% des pertes) :

L’Afrique

Continent le moins vacciné, se porte toujours très bien (comparé au reste du monde) :

La mortalité liée au Covid y est toujours restée dérisoire. Elle est d’ailleurs en baisse partout. L’Afrique du Sud, sur le podium de la vaccination africaine, compte, à elle seule, 40% des décès du continent pour 4,3% de sa population ??? Elle a, il est vrai, renoncé à l’emploi de la chloroquine, pour privilégier le « tout vaccinal » … « Tous vaccinés, peu protégés … » ???

Avec la Tunisie, l’Égypte, le Maroc, l’Éthiopie et l’Algérie, seuls autres pays d’Afrique à dépasser les 6500 décès Covid déclarés depuis janvier 2020, elle regroupe 73% des décès africains de la Covid.

Le lecteur notera que, par une très curieuse coïncidence, les deux pays africains qui ont choisi une stratégie « à l’occidentale » de gestion de la crise sanitaire (rejet du traitement précoce à la chloroquine, stratégie du tout vaccinal) : L’Afrique du Sud et la Tunisie, totalisent 51% des pertes africaines  alors qu’ils ne représentent que 5% de la population … (Sans commentaire).

L’Océanie

En Janvier 2022, la Covid-19 a explosé sur ce continent malgré un taux de vaccination de 66%. L’Australie qui ne compte que 62% de la population du continent Océanien, déclare 68% des pertes en dépit des mesures liberticides les plus draconiennes au monde et un taux de vaccination de 87%, très supérieur à celui de ses voisins ??? On y cherche, en vain, le miracle vaccinal (On peut débattre de tout, sauf des chiffres). Encore un État, proche de l’OTAN et des USA, qui a voulu les imiter, sous l’amicale pression des lobbies pharmaceutiques US, et qui doit pouvoir compter sur des hommes politiques et un « conseil scientifique » aussi corrompus que les nôtres.

Courbe de mortalité de l’Australie :

Sur 43,5 millions d’habitants, l’Océanie a déclaré, à ce jour, 9,834 millions de cas, dont 9,275 millions dans les 6 premiers mois de 2022, en plein été austral ??? alors que la population du continent est vaccinée à 67%. Curieusement, les pays les plus vaccinés du continent et qui ont été les plus confinés (Australie) sont ceux où l’on meurt le plus aujourd’hui. 9,462 millions d’habitants auraient déjà été guéris et 14 125 patients seraient décédés (dont 9592 dans les 6 premiers mois de 2022). Bien étrange cette explosion du nombre de décès de 2022 alors même que ce continent, très largement vacciné, devrait être bien protégé des formes graves … Le nombre de cas critiques est passé de 172 au 1er Janvier à 138 au 2 juillet 2022. La situation s’améliore doucement.

Le continent océanien a déclaré 411 décès la semaine dernière. Il en déclarait 62 (six fois moins) en dernière semaine de décembre. Son taux de mortalité Covid de 0,32 décès pour mille habitants a dépassé celui de l’Afrique (0,18) et de l’Asie (0,30) en 2022. Il reste toutefois dérisoire (France : 2,28), et très inférieur au nombre de décès liés à la circulation routière sur le continent océanien.

***

Nombre de décès déclarés pour 1000 habitants des 34 pays de la planète qui ont déclaré plus de 30 000 décès. La moyenne mondiale étant de 0,816 décès pour 1000 habitants, 999,184 habitants sur 1000 ont donc survécu à la Covid :

Commentaires sur le tableau ci dessus :

1. Douze pays de l’OTAN, dont les puissances majeures, se situent dans les 20 premières places de ce triste classement mondial, alors même qu’ils sont  parmi les plus vaccinés au monde. Les autres pays membres de l’OTAN ne sont d’ailleurs pas très loin : Grande fragilité des populations âgées et en surpoids ? Faillite des systèmes de santé ? inefficacité voire contreproductivité des vaccins ? Ou incompétence et corruption des gouvernances ? Quelles que soient les réponses à ces questions, elles n’augurent rien de bon en cas de conflit majeur impliquant tout ou partie de l’OTAN… contre un adversaire potentiel eurasiatique (Chine, Russie, Iran).

Rappelons que les 30 pays de l’OTAN qui ont adopté la stratégie du « tout vaccinal », en parfaite imitation de leurs suzerains états-uniens, et sur l’amicale pression de leurs laboratoires pharmaceutiques, regroupent 955 millions d’habitants, soit 12% de la population mondiale. Ils ont déclaré un total de 2,434 millions de décès soit plus de 38% des pertes totales de la pandémie et un taux de mortalité de 2,55 décès pour 1000 habitants.

Le reste du monde, qui compte 6,97 milliards d’habitants a donc déclaré 3,926 millions de décès pour 88% de la population mondiale, soit un taux de mortalité de 0,56 pour 1000 habitants, plus de 4,5 fois inférieur à celui des pays de l’OTAN.

Dans la « guerre à la Covid-19 », la stratégie otanienne et mondialiste du « tout vaccinal » a donc été un échec puisque les pertes ont été « massives », comparées au reste du monde, sans préjuger, d’ailleurs, des pertes collatérales liées aux effets secondaires des vaccins. L’avenir proche nous éclairera toujours plus sur les bilans comparés des différentes parties  du monde « multipolaire » selon les stratégies appliquées. On peut débattre de tout sauf des chiffres, surtout lorsque le rapport est de 1 à 4,5.

En raison des conséquences de l’affaiblissement économique de l’occident et des bascules de puissance en cours de réalisation, l’OTAN devra revoir sa politique d’ingérence tous azimuts et ses ambitions à la baisse, y compris en Ukraine. Les retraits occidentaux d’Afghanistan et du Mali en 2021 en ont été les premiers signes tangibles. Il y aura d’autres reculs en 2022.

2. Les donneurs de leçons anglo-saxons (USA, UK) et, à un moindre degré, l’Allemagne et la France, pays qui tiennent encore le haut du pavé dans les institutions internationales (OMS, ONU, FMI, Banque mondiale, UE, OTAN), sont désormais assez mal placés pour prodiguer leurs conseils, avec condescendance, au reste du monde, et pour ramener leur « science » à tout propos. Les pays du tiers monde ont observé avec intérêt la gestion « à l’occidentale » de la crise sanitaire, et celle de la crise ukrainienne. Ils sauront, au fil du temps, se rallier aux partenaires les plus fiables du moment… accélérant ainsi le déclin en cours de ceux qui ont failli.

3. Quant à l’Inde qui a fait  l’objet de l’hystérie des médias « covidistes » en juin 2021, force est de reconnaître que, rapporté à sa population, son taux de mortalité déclaré depuis le début de l’épidémie reste encore près de 6  fois inférieur à celui de notre pays. Les États de la fédération indienne sont des États qui ont très majoritairement fait le choix des traitement précoces efficaces et peu onéreux (ivermectine, chloroquine, azytromycine), choix que les pays occidentaux ont refusé de faire pour privilégier un vaccin qui est aujourd’hui en situation d’échec face aux nouveaux variants du virus en Israël, aux USA, au Royaume-Uni, à Singapour, aux Émirats, en Australie et ailleurs.

4. La Chine ne figure pas dans ce triste palmarès parce qu’elle n’a déclaré que 5226 décès depuis début 2020, aucun décès en 2021 – et 590 décès en 2022. On me rétorquera, bien sûr, le slogan habituel bien connu : « La Chine ment ». Si c’était le cas, la vérité aurait forcément filtré via nos représentations diplomatiques, les nombreux binationaux vivant sur place, les espions occidentaux infiltrés, l’OMS, les ONG, etc… L’économie chinoise ne tournerait pas à plein régime. Toute argumentation de mauvais perdant ne tient donc pas la route. Les occidentaux ne devraient-ils pas, pour une fois, faire preuve d’humilité et demander quelques conseils de nature sanitaire aux chinois ? Rappelons, pour la forme, que le vaccin n’est pas obligatoire en Chine, mais que les chinois confinent très vite et complètement les zones touchées par le virus.

Un tableau présente ci après les bilans du 2 juillet 2022 0h00 GMT des 60 pays ayant déclaré plus de 10 600 décès (95% des pertes) :

Tableau de données concernant l’Europe (et l’UE) face à l’épidémie le 2 Juillet 2022 0h00 GMT

Rappel : taux de mortalité Covid mondial en 2 ans : 0,82 décès /mille h et européen: 2,47 décès/mille h :

Nombre de décès Covid déclarés par millier d’habitants et depuis février 2020,  des 34 pays européens de plus de 1,5 million d’habitants affectés par l’épidémie (au 2 juillet 2022 0h00 GMT) :

Commentaires sur les deux tableaux ci dessus :

1. Les pays scandinaves ont beaucoup mieux géré cette épidémie que les autres.

2. Sans confinements, ni mesures contraignantes, voire répressives, la Suède a fait mieux que la plupart des grands (et moins grands) pays européens, et son taux de mortalité (1,87/1000h) est nettement inférieur au taux moyen européen (2,47/1000h) alors même que sa population plus âgée et moins vaccinée que la notre, n’a jamais été confinée.

Il y a eu, en Suède, une prise en charge et des traitements précoces des patients, meilleurs que dans d’autres pays … Les faits ont montré que les « experts » qui prévoyaient 96 000 décès en Suède pour la fin d’avril 2020 se trompaient très lourdement ; et que les médias et les politiques qui relayaient bêtement les délires des « experts », jusqu’à prophétiser, pour certains, 400 000 décès pour la France à l’automne 2020 se trompaient aussi… Aucun d’entre eux n’a jamais reconnu ses erreurs … ni présenté d’excuses pour avoir paniqué (délibérément pour les pousser vers la seringue ?) les populations en relayant  des « fake » prévisions.

3. La Suède, dont la stratégie et la ténacité ont payé, est sortie du groupe des 55 pays les plus touchés au monde. Si l’on en croit sa courbe de décès, la Suède est sortie d’affaire, même si elle a connu, comme les autres pays européens, un épisode hivernal Omicron, s’ajoutant au delta, en Janvier-février 2022. Elle a compté jusqu’à 54 décès/jour (moyenne sur 7j) le 10 février, mais ce nombre a très vite et très  fortement diminué (4 décès pour toute la semaine dernière). Elle s’en est donc sortie avant beaucoup d’autres pays européens (Allemagne, UK, Italie, France, etc… et avec beaucoup moins de casse. Elle n’aura connu que 2 vagues significatives et une demie « vague hivernale » en janvier-février 2022 et n’a pas déliré sur une 5ème, 6ème ou 7ème vague. Comme c’est curieux, on n’entend plus les journalistes, les professeurs de plateaux TV et les politiques français, donner des leçons à la Suède.

Courbe des décès Covid déclarés en Suède :

4. Quant à la Biélorussie, non confinée, moins vaccinée (64% seulement ont reçu deux doses), objet de sanctions occidentales visant à déstabiliser sa gouvernance pour « emmerder » la Russie ; pays qui recevait des exhortations de l’OMS, des pressions du FMI, des conseils de confinement du président français, grand spécialiste de la chose, et des torrents de critiques des politiques et des médias mainstream occidentaux qui voulaient « ramener leur science » et voir ce pays singer les décisions débiles de leurs gouvernances dans la gestion de la crise sanitaire, elle s’en sort avec un taux de mortalité de 3 à 5 fois inférieur à celui des donneurs de leçons : l’un des meilleurs d’Europe (0,739 pour mille habitants). Elle a fait mieux que le Danemark et la Finlande. Il est vrai que ce pays n’a pas été une destination touristique très prisée des occidentaux et des « otaniens », principaux porteurs et vecteurs d’infection et surtout de provocations, de désordres, de chaos et de guerre sur la planète, aujourd’hui comme hier.

***

Enfin, pour ceux qui s’intéressent aux résultats de la vaccination en Europe, voici un tableau non exhaustif d’évolution de la mortalité entre les années 2020 (sans vaccin) et 2021 (avec vaccin). Chacun pourra l’interpréter à sa manière… en n’oubliant pas que, les personnes à risque ayant été vaccinées en priorité, les résultats sur la baisse de la mortalité auraient dû se percevoir très vite au cours de l’année 2021… ce qui n’a pas été le cas, bien au contraire.

Les quelques pays qui ont enregistré moins de décès en 2021 qu’en 2020 sont parfois les pays qui avaient tellement mal démarré la gestion de la crise en 2020, qu’ils pouvaient difficilement faire pire en 2021 (C’est incontestablement le cas de la France et de l’Italie).

Les pays sont classés par taux de mortalité du plus élevé au moins élevé :

30 pays de l’OTAN : Résultats de la « Guerre à la Covid » par taux de mortalité avec stratégie du « tout vaccinal » :

Commentaires sur le tableau ci dessus :

1. Comme ils le font en toutes occasions et dans tous les domaines, les pays de l’OTAN ont imité leur chef de meute US et se sont lancés dans une politique d’expérimentation vaccinale de masse. Agissant « au nom » du principe de précaution mais sans respecter les principes de précaution élémentaires dans l’élaboration et l’administration d’un vaccin, et refusant d’assumer leurs responsabilités en cas d’échec et d’effets secondaires graves., ils ont utilisé  des mesures de coercition et construit des narratifs mensongers pour « vendre » leur produit expérimental à des populations trop crédules.

2. Après avoir pris le recul nécessaire pour apprécier les résultats, on ne peut que constater que cette expérimentation est un échec. En effet, elle n’a permis nulle part de contrôler l’épidémie et même de limiter la mortalité des plus âgés et des plus fragiles. Les exemples abondent de pays hyper-vaccinés qui ont vu leur mortalité exploser en début de 2022.

3. Au cours du premier semestre 2022, alors que les otaniens continuent d’essayer de vendre leurs « boosters » à des populations de plus en plus sceptiques er réluctantes à enchaîner les doses, tous les 4 mois, jusqu’à la fin des temps, sans aucun résultat probant, les pays de l’OTAN (12% de la population mondiale, plus vaccinés que les autres, ont enregistré, à eux seuls, presqu’autant de pertes (441 497 décès) que le reste du monde (88% de la population mondiale) qui en a compté 465 800. Il y a là un constat sur lequel il faut s’interroger. Les déco(nn)eurs du Monde ou de Libération vont nous expliquer que c’est parce que nous sommes plus âgés et plus en surpoids que les autres, que nous mourrons 4 fois plus de la Covid que les autres. Nous le savions déjà. Mais où est donc le miracle vaccinal annoncé ?

4. Jamais dans l’histoire de la vaccination, l’injection d’un produit expérimental n’a donné des résultats aussi peu probants. Il est stupéfiant de voir certains pays, occidentaux pour la plupart, mais pas tous heureusement, persister dans l’erreur et refuser d’admettre qu’ils ont été trop vite en besogne.

La simple comparaison des chiffres devrait éclairer les élites otaniennes. Comme elles nous l’ont répété quotidiennement pendant des mois : On peut débattre de tout, sauf des chiffres.

5. Il faudra bien un jour se pencher sur les effets secondaires avec précision et exhaustivité : leur nombre et leur gravité. Cela viendra encore alourdir le bilan des laboratoires pharmaceutiques et des politiques qui les ont suivi aveuglément.

Dominique Delawarde

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3 réponses à “Covid-19. « On peut débattre de tout sauf des chiffres ». Point de situation au 4 juillet 2022”

  1. Souvenir Chouan de Bretagne dit :

    Je suis depuis leur début les analyses éclairées de Dominique Delawarde ; je n’ai jamais constaté d’erreur par rapport à la réalité. Il n’a pas assez souligné une étrangeté, un fait jamais vu dans l’Histoire du médicament : Le virus en janvier et le vaccin en décembre ; il y en a forcément un qui était déjà prêt, c’est logique.
    Mais j’ai surtout été scandalisé par l’attitude de l’épiscopat et du clergé catholique dont certains ont eu des attitudes scandaleuses en privant les personnes du secours de leur religion jusqu’au dernier souffle de la vie ou en fermant les églises ! Du jamais vu !
    Sans compter ces corniauds de gendarmes qui ont verbalisé à tout va comme cette pauvre femme aux très faibles revenus à Le Croisic : elle avait coché la case « boulangerie » mais revenait sans pain ; par contre elle avait son chien en laisse et n’avait pas « coché ». Bing !
    Sans oublier ceux qui sont morts seuls, sans famille, sans prêtre et souvent incinérés sans cérémonie religieuse et dont les affaires personnelles ont été aussi incinérées. Au Fou !

  2. Pschitt dit :

    On peut débattre de tout sauf des chiffres ? Comme chacun sait, on peut faire dire beaucoup de choses aux chiffres ! « Je ne crois qu’aux statistiques que j’ai trafiquées moi-même », disait à peu près Churchill. En l’occurrence, il me paraît trop rapide de « constater » qu’il y a eu moins de morts en 2020 sans vaccin qu’en 2021 avec vaccin. En 2020, il y a eu tout simplement beaucoup moins de malades, car (1) l’épidémie commençait à peine, (2) elle a été combattue par des mesures de confinement plus fortes. Moins de malades, donc moins de morts, indépendamment de l’effet éventuel des vaccins.
    Cet effet « nombre de malades » devrait être pris en compte année par année. S’il y a eu autant de malades au premier semestre 2022 qu’au premier semestre 2021, par exemple, on aura tendance à dire que les vaccins sont inutiles. Mais s’il y a eu beaucoup moins de morts (ce qui est le cas), il faudra sans doute dire qu’ils servent quand même à quelque chose.
    Enfin, le nombre des décès doit sans doute être pris avec précaution. Un malade du covid-19, c’est une personne qu’un test a détectée positive. Un mort du covid-19, c’est un défunt dont la personne qui déclare le décès dit qu’il est mort du covid-19. Allez donc savoir…

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