En 2040, la mode actuelle du transgenrisme devrait avoir pris fin.
Les jeunes hommes de 20-30 ans qui se sont fait raboter le moineau et pousser des seins commenceront à avoir les cheveux qui tombent. Et l’atroce vérité éclatera alors autour d’eux. Au départ, les voisins diront « tu ne trouves pas qu’elle ressemble à un…. ». Et puis l’évidence…
Le problèmes des jeunes contaminés par le transgenrisme est le faux miroir tendu par les réseaux sociaux. Ces personnes en quête d’identité, mal dans leur peau et dévorés par l’envie d’appartenir à un groupe ne voient, du transgenrisme, que des photos. Ou de courtes vidéos. Où l’illusion est parfois parfaite. Or les gestes, la voix, les mimiques trahissent toujours le sexe d’origine. Mais ça les jeunes post-ados, drogués aux réseaux sociaux, ne les voient pas ces « expressions de genre » qu’il est impossible de cacher. On peut se faire pousser des seins payés par la Sécu et se faire ravaler la gueule à coup de FFS (Chirurgie de Féminisation Faciale), aucun homme n’arrivera jamais à se mouvoir, à parler, à regarder, à sourire comme une femme.
J’ai d’ailleurs vécu l’expérience il y a quelques temps de cela. « Une » photographe bien connue sur la scène nantaise, était « présente » sur une scène de reportage. Belle plante, magnifique « femme » au corps divinement proportionné ! Nous étions quelques journalistes assis à écouter un compte-rendu d’audience. Celui-ci prend fin, la journaliste se lève et là… l’évidence est apparue aux yeux de tous ! Affublée d’un masque anti-COVID sur le visage, elle se voit contrainte de l’enlever pour poser une question et…. Aiou ! La tronche ! La mâchoire ! Les gestes ! Le façon de se mouvoir ! La voix faussement femme ! Gêne dans la salle, tout le monde avait compris. Lui aussi. Personne n’écoute plus la réponse du procureur. Tout le monde ne regarde que « lui ». Effarés. Le proc’ y compris. Nous nous étions tous fait prendre !
L’illusion était parfaite mais il n’aurait pas fallu que ça bouge et que ça cause, en fait.
Donc en 2040, une bonne partie des transgenres hommes vers femme actuellement dans la magnificence de leur jeunesse, auront déjà une partie du ravalement à refaire. Et puis la mode aura changé 15 fois d’ici là. Ce qui est sur c’est que le féminisme casse-couille et l’androgynisme seront vraiment le signe des années 20, les années bien craignos. On en parlera en se rappelant la dinguerie de cette période et en se foutant de la gueule de ceux qui sont restés scotchés à cette époque. Un peu comme on se marre aujourd’hui en voyant un vieux en santiag et banane avec la tronche à la Dick Rivers. On rigolera bien fort du vocabulaire employé durant les « années dingues » également. Parce que si l’on se souvient des années 1920 comme des « années folles », on se souviendra des années 2020 comme des « années dingues » ! Hélas !
Les femmes devenues hommes auront elles des poils partout. Leur horloge biologique de femme leur aura rappelé qu’il est grand temps de faire des enfants. Parce que ces dames ont beau être de solides et zélées gauchistes, leur horloge biologique sonnera elle aussi. Hélas, elles se seront tellement abîmé la tuyauterie à coups d’hormones virilisantes et de testostérone puissance poney qu’elles découvriront leur stérilité sur le tard. Et puis, comme les vieux rockeurs à rouflaquettes, personne ne voudra grimper dessus pour leur faire un môme. Le côté guenon poilu croisé avec un camionneur de chez Norbert Dentressangle, il faudra vraiment avoir faim… Sachant que la GPA et la PMA auront été abolies depuis fort longtemps, ces dames à barbes n’auront que leur psy pour pleurer. Et leur chat.
En 2040 la question du transgenrisme sera d’ailleurs décrétée « grande crise sanitaire nationale ». Car personne ne deviendra plus transgenre, la mode étant passée, mais les naufragés qui avaient 18-30 ans dans les années 20 commenceront à peupler les urgences psychiatriques. Vies gâchées. Erreur de jeunesse aux conséquences terrifiantes. Pire que de se faire tatouer un portrait de Raymond Barre au milieu du front à 18 berges un soir de beuverie ! Même l’arc-en-ciel LGBT sera devenu ringardissime. On verra traîner de vieilles personnes, moitié épaves, à la calvitie bien entamée de psys en cafés. D’associations d’aide en séjour à l’HP. Les femmes devenues hommes cherchant à redevenir femmes pleureront leurs seins mutilés. Elles se raseront quatre fois par jour pour cacher leur barbe et se laisseront pousser les cheveux qui tomberont également du fait des hormones.
« Ielles » seront les laissés-pour-compte de la vague transgenre des années 20.
En 2040, quelqu’un retombera sur ce texte dans les profondeurs du web vintage. Salut à toi camarade !
RD
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8 réponses à “Transgenrisme : quand on se souviendra des « années dingues »… [L’Agora]”
Un point de vue simplement réaliste, à poster sur des sites où traînent les cibles de ce « genre » de délires mortifères! Si cela pouvait faire réfléchir quelques têtes folles…
on en a un très bel exemple dans les « hautes sphères »…..
D’où la prolifération .
Aujourd’hui, chaque fois que se produit un évènement plus ou moins traumatisant, on voit rappliquer les cellules de soutien psychologiques. Mais pour les gens souffrant de tels troubles, pas utile, aucun problème. On est homme ou femme dans chaque fibre de son corps, pour croire qu’il suffit d’enlever une partie relativement petite de son corps pour changer de sexe, il faut avoir perdu tout bon sens.
En 2040, la mode actuelle du transgenrisme devrait avoir pris fin ? A moins que cela ne se soit aggravé.
Tous les adolescentes se sentent mal dans leur peau à un moment quelconque. Si à ce moment ils tombent sur un militant transgenre ou sur un commerçant du changement de sexe, le pire peut arriver. Pour le moment, ça va, l’approbation sociale peut maintenir les convertis dans l’impression qu’ils ont eu raison de se faire opérer. Mais avec le temps, l’ambiance va sûrement se dégrader. Les trans qui, dans dix ans, dans vingt ans, auront le sentiment d’avoir raté leur vie attribueront leur échec à cette conversion, et ils n’auront pas forcément tort.
On peut s’attendre à un énorme scandale médico-judiciaire, des procès en masse à côté desquels ceux dus aux ratages de la médecine esthétique passeront pour du pipi de chat. Conseil à un jeune avocat : il va bientôt y avoir une place de ténor du barreau à prendre, celle DU spécialiste des actions en responsabilité contre les auteurs et complices des changements de genre non justifiés par de vraies raisons médicales.
Depuis toujours, même sans parler trans il y a eu et il y aura des hommes beaux, d’autres plus moches, des costauds et des malingres, des intelligents et des nunuches….pareil pour les femmes.
Ado, on est jamais satisfait de son corps et puis cette dictature de l’image corporelle instaurée par les réseaux sociaux, les pubs, les photos truquées etc..peuvent pousser certains à des excès de chirurgie sans espoir de retour ( voir Cher ou M.Jackson )
C’est sur la quête identitaire qu’il faut travailler et non sur ces selfies débiles pour essayer de ressembler à Nabila ou Kardaschian.
Quand on joue avec la Nature ont le paie toujours, qui dit que ces hormones là ne sont pas cancérigènes.
Je les appelle les créatures de Frankenstein, ils coupent ici, ils rajoutent là. Pour devenir des humains tronqués. Je ne comprends pas cette mode folle.
Peut être que tout simplement ,avec un Président Musulman à la tête du Pays, cela risque fort de passer de mode ,mais de manière ,disons martiale .Quand on connais « l’ouverture d’esprit » sur ces sujets par les adeptes de la religion « d’Amour » …