Dopesick, Voilà une série qui mérite notre attention, bien que je vous accorde qu’il soit désormais difficile de trouver une série de qualité, celle-ci est particulièrement instructive.
En effet, si nous y retrouvons des personnages issus des idées progressistes de la bien-pensance américaine et de la propagande LGBT à tous les étages comme désormais trop souvent (ou même systématiquement devrais-je dire) dans les films et les séries, votre serviteur vous invite à regarder tout de même cette série. (8 épisodes)
Pour plusieurs raisons, la première est le sujet traité, en l’occurrence les manipulations de l’industrie pharmaceutique, et son pouvoir d’influence dans de nombreux milieux. Certains argueront que les producteurs ne vont pas assez loin, elle a cependant le mérite d’exister.
La série traite également des conséquences et des drames que vivent les familles à la suite de la consommation de médicaments…dont on a sciemment atténué la dangerosité…
Il faut aussi signaler la qualité du casting, Mickaël Keaton, Rosario Dawson, et la prestation notoire de Mickael Stulhbarg (vu dans « your honor « ou encore » Boardwalk empire »).
Cette série qui est tirée d’une histoire vraie, traite d’un sujet qui a été à l’origine d’un scandale sanitaire retentissant aux états unis (la famille Sackler) devrait faire réfléchir nos compatriotes les plus sceptiques sur la capacité de nuisance de l’industrie pharmaceutique. Les principaux laboratoires qui ont fourni les vaccins contre le covid sont loin d’être étrangers aux dérives aperçues dans la série. (Il n’y a qu’à regarder la litanie des condamnations de Pfeizer ces dernières années)
Pour revenir à la série, Le scénario proposé est particulièrement intéressant, en traitant 3 axes d’une manière subtile et coordonnée, nous retrouvons la souffrance quotidienne des familles face aux dégâts engendrés par la consommation d’un médicament qui s’avère addictif. Les nombreuses difficultés rencontrées par les enquêteurs pour faire la lumière sur un phénomène qui implique la santé publique, et enfin les coulisses du pouvoir d’une entreprise qui agit avec avidité, cynisme et arrogance.
A voir sans tarder…
Koba
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Une réponse à “Cinéma. Dopesick, une série à voir sans tarder”
j’ai noté que dans la plupart des films américains, et de pubs française, il y a un africain, qui vit avec une blanche, donc pas raciste, mais jamais d’asiatique, la diversité selon le wokisme !