Refusez l’aluminium dans les produits de santé. Tel est le titre du dernier livre du Professeur Henri Joyeux paru aux éditions du rocher qui présente ainsi le livre :
Cancers du sein, des os, maladies du système nerveux central, infertilité. Les nombreux dangers de l’exposition à l’aluminium sont aujourd’hui reconnus. Ce métal n’a rien à faire dans le corps humain où il peut longuement persister et s’accumuler. Alors que des efforts réglementaires commencent à être faits dans les secteurs de l’alimentation ou de la cosmétique, sous la pression de l’opinion publique, sa présence dans la composition de nombreux vaccins, médicaments et aliments perdure.
L’aluminium a disparu des vaccins vétérinaires, mais persiste dans 8 sur les 11 vaccins imposés aux nourrissons, dès l’âge de 2 mois, à des doses excessives. Au point de mettre en péril le fameux bénéfice/risque…
Dans cet ouvrage, le professeur Joyeux prend position pour l’interdiction de l’aluminium dans tous les produits de santé. Il revient sur les polémiques existantes et en présente les enjeux. Tout d’abord, il précise les effets toxiques sur l’organisme de la surexposition à l’aluminium. Il souligne l’importance des vaccins pour la santé publique et raconte comment l’aluminium est entré dans leur composition dans les années 1920 et de manière intense dès 1984, ainsi que dans celle des pansements gastriques.
Il démontre que l’on peut parfaitement s’en passer, et forcer l’industrie pharmaceutique à changer ses formules et à investir dans la recherche d’adjuvants sans aluminium. En effet, on sait aujourd’hui remplacer l’aluminium par le phosphate de calcium ou des adjuvants végétaux. De 1822 — sa découverte aux Baux-de-Provence — à 1922 — son incorporation dans les produits de santé —, puis à 2022, l’épopée de l’aluminium dans les produits de santé touche à sa fin.
Pour l’évoquer, mais aussi parler de l’actualité sanitaire et des persécutions dont a été victime Henri Joyeux, nous l’avons interviewé.
Breizh-info.com : Tout d’abord, que devenez-vous, après les nombreuses persécutions, médiatiques et professionnelles, dont vous avez fait l’objet ?
Professeur Henri Joyeux : Tout va bien. N’étant pas admis dans la réserve sanitaire pour lutter contre le coronavirus, car trop » vieux », alors que volontaire et en pleine forme, au lieu d’être au bloc opératoire, j’ai veillé quotidiennement sur cette pseudo-pandémie, dès son début, plusieurs heures par jour.
J’ai donc informé des dizaines de milliers de personnes qui me font confiance, par l’intermédiaire de lettres ou de plus de 10 webinaires d’accès gratuits.
Dès le début, mon leit motiv fut, « n’ayez pas peur », faites-vous soigner. On a terrorisé la population d’une façon calculée et peut être programmée. J’ai multiplié les ordonnances au plus près de chez moi et donné des conseils de santé de prévention et traité selon les prescriptions de mes collègues Didier Raoult et Christian Perronne et l’avis de médecins généralistes (que je ne peux citer) que je connaissait pour leur sérieux et leurs compétences. Ils prescrivaient en cachette, contre l’avis du conseil de l’ordre national, relayé au niveau départemental.
Nous avons sauvé des vies et on nous a traité de complotistes : quel honneur et quelle horreur !
J’ai vacciné plus de 300 personnes, les uns en parvenant à les convaincre qu’ils en avaient vraiment besoin, du fait de leurs comorbidités, associant des conseils homéopathiques, les autres bien que je ne fus pas d’accord, parce qu’is en avaient besoin uniquement pour leur travail et la vie sociale. Suivant de très près toute cette crise sanitaire manipulée de A à Z par les politiques internationaux et nationaux aux ordres, je peux conclure à propos des près de 140 000 morts de la covid en France qui se termine curieusement à moins d’un mois de la présidentielle.
Beaucoup ne sont pas morts de la Covid, mais ont été comptabilisés Covid, car il fallait absolument préparer le peuple aux vaccins. La moitié des décès soit près de 70 000 sont dus à l’âge très avancé (moyenne 82-85 ans) et au fait qu’ils n’ont pas été traités correctement dans les Ehpad ou à domicile au moins de manière préventive, avec le minimum nécessaire. Il fallait leur offrir du zinc, des vitamine D et C avec des fruits de qualité. On a préféré leur donner des biscottes ce qui est un non-sens nutritionnel.
L’autre moitié, ce sont des personnes qui sont parties, car non traitées ou traitées trop tard, envoyées en réanimation où nous n’avions pas assez de lits et connaissions mal de fonctionnement délétère du virus, créant une maladie des micro-vaisseaux pas seulement pulmonaires. Le taux de décès en réanimation a été considérable tellement que certains ont préféré refuser la réanimation, comme Frédéric Mitterand qui l’a affirmé publiquement et s’en est bien sorti.
Pour tout conseil, le grand public recevait un conseil en boucle : prenez le paracétamol et appelez le 15, si cela s’aggrave. Le bilan pour l’État et les responsables de santé est catastrophique contrairement à ce que répètent les autorités et les médias financés par l’État et Big Pharma indirectement. Quant aux vaccins contre la covid, ils sont expérimentaux, ne sont pas longtemps efficaces puisqu’il faut les refaire tous les 3 à 4 mois (on parle de rappel, mais c’est le même vaccin x fois renouvelé). Ils ont beaucoup d’effets secondaires graves, que la pharmacovigilance ne comptabilise pas ou ne reçoit pas, car il faut remplir un dossier complexe. Bref échec sur toute la ligne de l’Etat et des conseillères autorités de santé. Il faut lire le livre qui vient de paraître en Français de l’avocat américain Robert Kennedy Jr : « Anthony FAUCI, Bill GATES, Big Pharma » préfacé par mon collègue Christian Perronne aux éditions Résurgence de Marco Pietteur. Perronne parle d’une « gigantesque manipulation mondiale… » et « des plus grands journaux médicaux complices… ils publient des études truquées » et affirme « s’être toujours opposé aux vaccinations obligatoires ». Avec la Covid 19, « les fraudes ont éclaté au grand jour, mais les médias en ont à peine parlé »… « des vaccins expérimentaux inefficaces », « on a utilisé les populations comme cobayes, de façon illégale, sans consentement éclairé ».
Breizh-info.com : Vous publiez un livre intitulé « Refusez l’aluminium dans les produits de santé », qui est un plaidoyer pour des vaccins sûrs et sans danger. Est-ce que cela signifie que les vaccins actuels ne sont pas sans danger ?
Professeur Henri Joyeux : Oui, je cible d’abord tous les vaccins qui contiennent de l’aluminium lequel n’a rien à faire de bon dans notre corps, pas plus que dans celui de nos animaux de compagnie. Les vaccins vétérinaires essentiels ne contiennent plus d’aluminium, du fait des cancers (sarcomes) observés dans la zone de vaccination ou ailleurs. Vous remarquerez que les 4 vaccins contre la Covid ne contiennent pas d’aluminium comme l’a clamé le ministre de la Santé devant les députés. Il doit se douter que l’aluminium n’est pas utile, comme le pensait l’ancienne ministre Marisol Touraine en avril 2012, alors députée travaillant pour Hollande. En passant de député à ministre, elle a changé radicalement d’avis sans rien connaître au sujet et à elle a passé le BB à Agnès Buzyn qui n’a pas fait mieux. Qui les a convaincus d’après vous ? Affirmer sans rien savoir « La vaccination ne se discute pas » c’est ne rien savoir sur le sujet, on l’a vérifié avec les vaccins expérimentaux contre la Covid : la vaccination se discute, les Français l’ont compris. Beaucoup se sont fait avoir, vacciner contre leur gré, pour poursuivre leur travail, mener une vie sociale et certains l’ont payé cher. Mais on leur a sorti la carte maîtresse : le fameux rapport bénéfices/risques. Quelques morts et des complications graves ne comptent pas sur des millions qui sont sauvés ce qui est parfaitement faux. Rien ne démontre que les vaccins nous ont sauvé, c’est de la propagande pharmaceutique. Un bon système immunitaire fait aussi bien sinon mieux, c’est notre premier vaccin. Car sans des défenses immunitaires correctes la vaccin ne peut pas fonctionner et peut faire plus de mal que de bien. Donc il ne protège pas toujours. C’est au médecin prescripteur et au vaccinateur à le savoir, à l’apprécier avec finesse. Ce ne peut en aucun cas être de la responsabilité du pharmacien ou de l’infirmière, car vacciner est un acte médical, jamais sans danger, immédiat ou futur.
Breizh-info.com : Il y a pourtant tout de même assez peu d’effets secondaires par rapport à une population aussi vaccinée que la population française, non ? Quelles sont les conséquences réelles de l’injection de petites traces d’aluminium dans nos corps ?
Professeur Henri Joyeux : Ce ne sont pas des traces d’aluminium, vous avez tous les chiffres dans le livre. Elles dépassent largement les doses admissibles pour les agences internationales et nationales qui se copient. Elles sont injectées dès l’âge de 2 mois à des nourrissons dont le système immunitaire n’est pas suffisamment développé, mature. Elles vont s’accumuler (bioaccumulation) et persister (biopersistance) dans l’organisme toute la vie au niveau des organes les plus importants : les os, le cerveau, les reins, le système immunitaire. Le livre développe toutes les maladies liées à l’aluminium, des insuffisances rénales, des fractures des os sans traumatisme, des maladies auto-immunes (pulmonaires, digestives, pancréatiques, neurologiques) aux allergies et aux cancers des poumons, des os… Les effets secondaires à long terme ne sont pas reconnus, parce que d’autres facteurs peuvent s’associer et être en cause. On parle d’un cocktail causal dans le lequel l’aluminium est présent.
Breizh-info.com : Vous expliquez que la vaccinologie n’est pas une science exacte. Ce n’est pourtant pas ce qu’indiquent les autorités gouvernementales ?
Professeur Henri Joyeux : L’efficacité d’un vaccin dépend de sa composition que la plupart des médecins ne connaissent pas, y compris pédiatres les premiers concernés. Ils font une confiance aveugle aux fabricants et aux collègues qui en font la promotion, eux-mêmes ayant des liens d’intérêts notoires plus ou moins connus. Je précise dans le livre ce que j’appelle le BA BA de la vaccination, qui donne toutes les réponses aux questions que les familles se posent : savoir la composition intégrale du vaccin, quand vacciner selon l’état de l’enfant ou de l’adulte, à quoi sert ce vaccin, dans combien de temps il sera efficace, puis à renouveler, quels sont les effets indésirables à court, moyen et long terme.
Le vaccin contient, le ou les antigènes, l’adjuvant (le plus souvent l’aluminium pour stimuler le système de défense), les excipients (stabilisateur, antibiotique, stérilisateur). Cela est largement méconnu du grand public qui a pourtant soif de savoir, de comprendre et a tous les neurones pour cela, (pas moins que ceux d’un prix Nobel), si on lui explique honnêtement les choses.
Ce qui rend la vaccinologie une science non exacte, c’est que son efficacité dépend du récepteur qu’est le patient. Donc de l’état de ses défenses immunitaires. Est-il ou non capable de fabriquer des antigènes robustes et à partir de quand après avoir reçu le vaccin (pour être protégé) et pour combien de temps. D’où les rappels, nombreux contre la covid, car les anticorps dits neutralisants sont fragiles, s’épuisent vite, peuvent même fabriquer des anticorps facilitants la maladie. D’où ce qu’on observe aujourd’hui, des covid post vaccinaux en particulier avec les vaccins à ARNm. Comment conseiller de tels vaccins expérimentaux ? La seule façon est de mentir sur leur efficacité et de faire peur, terroriser la population, d’où les obligations camouflées — pour que l’État ne soit pas responsable — en passe sanitaire, puis vaccinale.. Comme le dit Perronne dans sa préface du livre de Kennedy : l’utilisation d’une pandémie planifiée pour supprimer progressivement toutes les libertés et la démocratie.
Le grand public est intelligent et comprend de mieux en mieux les manipulations vaccinologiques ou — illogiques qui ne sont pas aussi efficaces qu’on l’affirme urbi et orbi. Dire comme l’a affirmé le pape, il faut se faire vacciner par amour, n’a aucun sens.
Personnellement j’ai accueilli la covid plusieurs fois, l’attendant avec des éléments de prévention (zinc, vitamine D et C avec une alimentation stimulant les défenses immunitaires) et j’ai dans mon sang des anticorps robustes à de très bons taux, ce qui signifie que je n’ai pas besoin d’être vacciné même à mon âge.
Breizh-info.com : Quelle est l’origine de l’aluminium ? Vous plaidez dans votre livre par son remplacement pas le phosphate de calcium, pourquoi ?
Professeur Henri Joyeux : L’aluminium est un métal léger qui a un intérêt industriel majeur, extrait de la Bauxite, découvert dans les années 1822 aux Baux-de-Provence. Il a été introduit par erreur dans les produits de santé, les vaccins et les pansements gastriques, un siècle plus tard en 1922 et en 2022 on peut faire le bilan qui est catastrophique à tous les niveaux du corps humain et animal.
Le phosphate de calcium est un excellent adjuvant vaccinal surtout utilisé par l’Institut Pasteur sans aucun danger jusqu’en 1983. C’est à partir de la fusion Pasteur-Mérieux que les Français non sans réticence se sont faits avoir par les Américains qui nous ont fait croire qu’il fallait le remplacer par l’aluminium, sous prétexte qu’il stimulait mieux les défenses immunitaires, sans faire des contrôles et comparaisons rigoureuses. Ils ont en outre répandu cette idée fausse, on le vit aujourd’hui, tout vaccin égal vie et on nous a asséné « au pays de Pasteur ». Avec l’efficacité actuelle des vaccins contre la covid, Pasteur se réveillerait dans sa tombe. Aujourd’hui la recherche internationale a compris les dangers de l’aluminium et se tourne vers des adjuvants végétaux en cours d’élaboration. Mais attention, il y a des stocks qu’il faudra écouler. Au profit de qui ?
Breizh-info.com : Finalement, loin de l’image qu’une certaine presse a voulu faire de vous, à aucun moment, vous ne remettez en cause le principe de la vaccination. Pourquoi ces persécutions dans ce cas ?
Professeur Henri Joyeux : Je n’ai jamais remis en cause le principe de la vaccination. Je connais trop en tant que cancérologue et chirurgien, passionné par la santé, les médias officiels qui ont tous des pages de santé ou des émissions sponsorisées par Big Pharma, lequel a une puissance d’achat de publicités déguisées, gigantesque. Je connais aussi leur fonctionnement comme celui du monde politique si facilement achetable. Si vous émettez des doutes scientifiques étayés, rigoureux, sur des sujets où le peuple est manipulé, il faut vous faire taire. Les systèmes officiels ou sournois utilisent des collègues, des confrères affiliés ou des personnalités choisies pour vous mettre au ban de votre propre métier, sans aucunement regarder vos travaux scientifiques et la façon dont vous exercez votre métier.
Je suis dans la même charrette du Conseil national de l’ordre des médecins que mes collègues Raoult et Perronne et quelques confrères et consœurs généralistes remarquables, parce que comme eux, j’ai soigné la covid. Je n’ai eu aucun mort et ai du même faire sortir d’un centre hospitalier contre avis médical, une personne à laquelle on imposait de l’endormir pour la mettre sous assistance respiratoire, sinon elle mourrait dans la nuit. Elle n’en avait pas besoin. Elle s’en est sortie parfaitement en rentrant chez elle tandis que je la suivais matin et soir sur quelques jours.
Dès 2015, suites à la disparition du classique et très efficace vaccin DTP sans aluminium utilisé par toutes les familles, face à la forêt vierge vaccinale et percevant ce qui allait se passer, avec la loi de 2017, j’ai écrit un livre important pour les familles « Vaccins comment s’y retrouver ? », dans lequel il n’y a pas une ligne contre les vaccins. Les membres du conseil de l’ordre régional du Languedoc-Roussillon qui avaient pourtant le livre en main, ne l’ont pas lu. Ils ont cherché à me radier de l’ordre des médecins et bien défendu scientifiquement et légalement, ils n’y sont pas arrivés. Le conseil d’État a fait de même, mais n’y ait pas encore arrivé lui aussi puisque je suis en appel.
J’ai résisté et je résisterai encore, car je sais bien ce à quoi veut aboutir le président national du conseil de l’ordre. Il aurait besoin de lire mon livre de 2015 et l’actuel. Cela le calmerait, comme d’autres collègues qui ne font que répéter ce que chantent les médias officiels.
Breizh-info.com : Que conseillez-vous aux familles qui se retrouvent face au mur de l’État républicain qui entend dicter ce qu’ils doivent faire pour leurs enfants en matière sanitaire, avec des médecins souvent relais de ces politiques gouvernementales qui eux aussi mettent la pression ?
Professeur Henri Joyeux : Résister scientifiquement, c’est le but de ce livre, compréhensible par toutes les familles et tous les médecins s’ils veulent bien se donner la peine de le lire. Nous serons en décembre 2022, 5 ans après la loi de 2017, date à laquelle normalement un bilan doit être publié. Selon les personnes qui seront au pouvoir et leurs conseillers (que nous espérons libres de tout lien avec les fabricants) nous aurons soit les éloges de cette loi qui sera reconduite intégralement, soit des aménagements qui sont très nécessaires en laissant au médecin référent et à lui seul, la décision et la responsabilité de vacciner, à l’âge raisonnable pour l’enfant, en dialogue confiant avec la famille. C’est cela que demandent les familles.
Propos recueillis par YV
Illustrations : DR
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
0 réponse à “Pr Henri Joyeux : « Beaucoup ne sont pas morts de la Covid mais ont été comptabilisés Covid, car il fallait absolument préparer le peuple aux vaccins » [Interview]”
Et en plus ça fait marcher « le commerce » . Je me suis laissé dire que les funerailles etaient prises en charge par l’Etat ( c’est à dire nous ) en cas de deces declaré covid . De quoi influencer fortement les statistiques …..
Heureusement que nous avons encore la possibilité de nous tenir informés grâce à des grands professionnels comme le professeur Joyeux! Ils sont quelques rares à ne pas avoir été acheté par les labos………….
mon copain a ete victime a 18 mois d un vaccin antivariolique il a des crise épilepsie ‘ absence il en a 1/3 par mois quant il etait jeune il en avait tout les jours pour le vaccin beaucoup hésite de pour le vaccin finalement il la fait en décembre depuis ca vas j espère il auras pas d effets secondaire plus tard mais il vas refuser la 3 iem dose si il le peut moi aussi car et fait que les 2 premier s
ben voyons, et le mépris des médias envers les grands médecins, joyeux, peronne, le druide de marseille et autres est significatif
aujourd’hui le covid est remplacé par poutine, le grand satan d’où nous vient tout le mal, tremblEZ bonne gens, il va vous protéger !
J’aimerais bien savoir comment on peut être entouré de très près de cas covid donc cas contact et de n’être ni contaminé, ni malade et testé tous les jours négatif.
Simple :
Ne pas avoir peur de la maladie (cela diminue l’immunité)
Prendre des vitamines
Manger correctement
Bouger
Aller au soleil
Et vivre!