Les amateurs de rodéos urbains à Brest, que l’on situe habituellement dans les quartiers dits sensibles, ont trouvé un nouveau point de chute : le port de commerce.
Le Télégramme nous apprend que chaque vendredi, jusqu’à 200 personnes s’y réunissent pour voir ou faire vrombir les voitures et les deux-roues, au mépris des risques. Le 4 mars, la police a décidé d’une descente sur les lieux vers 22h et interpellé un clandestin sous le coup d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français), qui roulait sans assurance. Et qui n’héritera finalement que d’une composition pénale…
Huit PV ont par ailleurs été dressés pour diverses infractions commises par d’autres participants : défaut d’immatriculation ou de contrôle technique, pneus lisses, etc.
La police a prévu d’y retourner vendredi prochain. Nous souhaitons aux Brestois qu’elle réussisse à mettre un terme à ces rodéos sur le port, mais cela ne fera sans doute que déplacer le problème…
Avec notre partenaire Délinquance en Bretagne
Crédit photo : wikipedia (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
0 réponse à “Brest. Rodéo sur le port de commerce : un clandestin interpellé et huit P.V. dressés”
Le Port de commerce de Brest est un endroit encore agréable avec ses restaurants notamment de fruits de mer, ses bars qui ont une histoire, etc. et j’y vais régulièrement. Mais c’est bientôt fini si les maghrébins et autres immigrés ont décidé d’en faire leur terrain de jeux et si on ne réagit pas rapidement. Il faut empêcher ces nuisibles d’étendre sans arrêt leurs territoires. Bientôt, ils iront se pavaner avec leurs engins et sans assurance dans les ports de plaisance, dans le bas de la rue de Siam, etc. Que la Police effectue son travail et sans ménagements afin que ces parasites aillent faire leurs rodéos dans leurs quartiers islamisés et dans lesquels on ne met plus les pieds comme à Ponta, Bellevue, Keredern, Kerangoff, etc. et qu’ils nous laissent tranquilles dans ce qui est encore « chez nous ».
ronchons, aigris, il faut bien que jeunesse se passe, des clandestins qui ne peuvent pas travailler doivent bien survivre dans ce monde de brutes racistes, non?