Cela fait 2 ans que la crise du coronavirus a démarré. Nous avons montré sur cette chaîne de différentes manières que la mortalité depuis 2020 en France et en Europe est finalement dans la norme de la décennie, et que les hôpitaux sont finalement loin d’avoir été saturés en 2020, services de réanimation compris. La psychose depuis 2 ans n’est donc pas maintenue à cause d’une surmortalité, ou d’un surnombre d’arrivées à l’hôpital, mais uniquement en faisant le compte de “cas Covid”.
Ces “cas Covid” sont des personnes déclarées porteuses du virus de la Covid, dans l’ensemble de la population, dans l’ensemble des hospitalisations et dans l’ensemble des décès. Ce n’est qu’une fraction de l’ensemble des habitants, de l’ensemble des hospitalisations et de l’ensemble des décès. Nous avons d’ailleurs montré que l’ensemble des hausses de mortalité que nous observons depuis 2 ans ont lieu soit pendant les périodes de hausse de mortalité habituelles, soit après la mise en place de mesures qui ont eu pour impact d’arrêter de soigner correctement les français.
Nous avons grâce aux différents rapports de Santé Publique France ou de l’ATIH, de plus en plus de données officielles donnant le nombre de décès à imputer à ces mesures. La Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES), les statisticiens du ministère de la Santé a d’ailleurs publié un nouveau tableau de données distinguant les patients arrivés à l’hôpital pour Covid, et ceux arrivés à l’hôpital pour complètement autre chose, mais déclarés Covid à la faveur d’un test positif ou d’une simple déclaration. Nous apprenons qu’un patient sur 3 déclaré en soin critique Covid ou décédé du Covid était en fait sur-déclaré. Toute la psychose tient donc du simple fait de fixer le regard sur un virus au lieu de s’occuper de la mortalité en général ou des hospitalisations en général. Cela permet de ne pas du tout remettre en question la qualité de vie des français, ou le système de santé en général, mais de tout focaliser sur un seul produit censé résoudre le problème : le vaccin. Pour conserver le regard fixé sur le virus, plusieurs éléments sont essentiels :
- Les tests RT-PCR qui permettent de continuer à déclarer “malade” toute personne qui a un test positif et donc maintiennent les statistiques
- La campagne vaccinale qui permet au gouvernement de dire qu’il a une solution au problème du virus mortel
- Le pass sanitaire, de façon à asséner à la population que les vaccins fonctionnent, puisqu’ils leur offre la sécurité en leur “permettant” d’accéder à des lieux publics
- En bonus : les masques qui permettent de rappeler en permanence de façon visible à tous les français, le danger du virus.
Ils permettent également de faire croire que les autres humains sont dangereux Dans cette vidéo, nous allons voir que si on imagine un pays au sein duquel on met en place le même schéma tests-vaccins-pass avec n’importe quelle excuse, on obtiendra exactement les mêmes résultats statistiques. Les biais statistiques introduits par le schéma tests-vaccins-pass permettent de faire croire que n’importe quel vaccin sera efficace contre n’importe quelle maladie.
Pour bien montrer l’absurdité du schéma, la chaine Decoder l’Eco va prendre un exemple absurde dans lequel l’Etat ne voudrait pas lutter contre un virus, mais contre la malchance
https://www.youtube.com/watch?v=BwAKkFAYfxQ
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Une réponse à “Tests – vaccins – pass : fabrique de la panique, braquage des comptes publics”
Le célèbre vétérinaire Albert Bourla nous gazouille :
« Quel trimestre et quelle année ! Merci à @Pfizer, nous avons atteint environ 1,4 milliard de patients avec nos médicaments et vaccins. C’est plus d’une personne sur 6 sur Terre. Jamais auparavant notre impact sur les patients n’a été d’une telle envergure. #PfizerProud $PFE »
https://twitter.com/AlbertBourla/status/1491020591884738560?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Etweet%7Ctwtr%5Etrue