Depuis des mois, des parents tentent d’alerter les autorités sanitaires, les pouvoirs publics, élus locaux, maires, conseilleurs départementaux, députés, sénateurs. Ils manifestent pacifiquement devant des mairies, sur des marchés, devant des préfectures, au pied des académies. Ils sont parents, mais aussi, médecins ayant perdu leur emploi, infirmières, enseignants, psychologues. Depuis des mois, dans un silence assourdissant, des collectifs s’organisent comme les mamans louves qui se sont constituées autour d’une association. Objectif ? Interpeller les autorités publiques sur le drame que vivent depuis 2 ans déjà, les jeunes enfants mais aussi les adolescents à l’école.
Au début de la crise sanitaire qui a frappé le monde, ni la vaccination ni le masque n’étaient obligatoire pour les enfants dont on disait qu’ils n’étaient « pas porteurs du virus ». Les choses ont changé. Le discours aussi. Aujourd’hui, les témoignages pleuvent; les témoignages d’institutrices et d’enseignants qui disent refuser que l’on impose, au travers des règles sanitaires, des contraintes quotidiennes aux plus jeunes, contraintes qui, selon certaines voix, ont déjà des conséquences dramatiques sur l’état de santé des enfants. Dans ce reportage, la jeune Alicia, 17 ans témoigne devant la caméra. Elle sort tout juste de 3 semaines passées dans le service pédiatrie du grand hôpital e Saint Brieuc dans les Côtes d’Armor en Bretagne. Alicia qui est devenue, à la faveur de la crise sanitaire, anorexique nous dit son désespoir et ses espoirs perdus.
Un reportage signé Armel Joubert des Ouches à découvrir sur le site de Citizen Light
« Maîtresse, son masque est mal mis ». Les nouveaux enfants soldats de la Ripoublique [L’Agora]
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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