Jean-Marie Le Pen : « Le Grand Remplacement a lieu sous nos yeux, quand bien même cette idée donne à beaucoup une impression d’extrémisme » [Interview exclusive]

Fin 2021, l’hebdomadaire conservateur hongrois Demokrata a interrogé le fondateur du Front national, Jean-Marie Le Pen. L’entretien a été publié fin janvier 2022, en langue hongroise.

En exclusivité, Breizh-info.com vous propose de lire cet entretien en français :

Pendant un demi-siècle, il a été la figure dominante du camp national français, mais son influence politique a dépassé de loin les frontières de son pays. Il y a quarante ans, déjà, il dénonçait les dangers qui découlent de l’immigration de masse – même s’il est vrai qu’à l’époque, rares étaient encore ceux qui l’écoutaient. Comment voit-il l’Europe d’aujourd’hui ? Que pense-t-il de la Hongrie ? Pense-t-il que les nations ont une chance de survie ? Demokrata a rendu visite au fondateur du Front National, Jean-Marie Le Pen, âgé de 93 ans, dans son logement parisien.

Demokrata : Il y a un point commun entre vous et les Hongrois : pour votre carrière comme pour leur destin national, 1956 a été l’année d’un virage décisif.

Jean-Marie Le Pen : C’est exact. C’est justement pendant l’année du soulèvement hongrois que j’ai pour la première fois été élu à l’Assemblée. Je me souviens très bien de l’écrasement du soulèvement et des nouvelles qui nous parvenaient sur la terreur communiste, lesquelles m’ont non seulement confirmé, moi, dans mes convictions antisoviétiques, mais ont un peu ouvert les yeux à l’Occident tout entier.

Demokrata : Pendant les années de la Guerre froide, comment voyiez-vous les relations de la France et du bloc de l’Est ?

Jean-Marie Le Pen : Comme je n’ai pas occupé de positions de pouvoir, ce n’est pas en tant que protagoniste, mais plutôt en qualité d’observateur que je suivais les événements. À l’époque, nous considérions comme un danger réel la possibilité que l’Armée rouge déferle sur l’Europe de l’Ouest. C’est d’ailleurs ce qui donnait sa légitimité à l’alliance militaire passée avec les Américains. Du coup, nous accordions une attention toute particulière à tout signe pointant vers la propension à la violence de la dictature soviétique. Mais aujourd’hui, tout cela semble déjà si lointain…

Demokrata : Il est vrai que beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis lors. Surtout depuis l’effondrement de l’URSS…

Jean-Marie Le Pen : Pour nous, la chute de l’Union soviétique a été comme l’effondrement d’un immeuble. On arrive à peu près à s’imaginer comment une maison de bois s’écroule ou brûle, mais s’imaginer comment un colosse de béton retourne de lui-même au néant, c’est déjà plus difficile. Ce à quoi on a assisté sous la direction de Gorbatchev, c’est un véritable suicide historique. Sur le coup, on a éprouvé du soulagement : la menace de l’occupation avait enfin disparu ; aujourd’hui, en revanche, nous vivons à notre tour cette expérience de l’implosion à la fois politique, morale et religieuse. L’effondrement de la charpente de notre civilisation est désormais inévitable, tant il est vrai qu’il est plus difficile de combattre contre une déchéance intime que contre l’attaque d’un ennemi extérieur. À l’époque, la peur de l’Union soviétique exacerbait notre vigilance ; depuis sa disparition, en revanche, nous nous reposons sur nos lauriers, nous enfonçons dans le confort, et le déclin a commencé.

Demokrata : Quelle est la cause de cette implosion ?

Jean-Marie Le Pen : Je pense que les racines du problème remontent à l’évidement du sentiment religieux. Jadis, c’était la religion qui dictait les valeurs morales et les règles de vie, même à ceux qui ne pratiquaient pas, ou qui, à titre personnel, n’étaient même pas croyants. C’est ainsi que l’affaiblissement de la religion a entraîné le déclin de tout le reste, de tout ce qui, spirituellement, psychologiquement ou mentalement, en dépendait. C’est comme un phare qui tombe en panne en plein milieu de la nuit.

Demokrata : À votre avis, peut-on espérer voir cette tendance se renverser ?

Jean-Marie Le Pen : L’espoir est une vertu cardinale. L’espoir clignote au fond du tunnel, même pour ceux qui manquent de foi, ou n’en ont carrément pas. Nous vivons tous dans l’espoir de l’arrivée d’une sorte de salut, qu’il soit de nature terrestre ou céleste. Mais le temps s’écoule de façon irréversible. Je pense que l’opinion publique n’accepte toujours pas de voir certains faits, ni les inévitables conséquences de ces derniers. Par exemple, le fait que, en l’espace de cinquante ans, la population de la Terre est passée de deux milliards à près de huit – au gré d’une croissance qui est toujours en cours. Cela aura des conséquences dramatiques, qui peuvent aller jusqu’à l’explosion de notre monde. Les moyens de réguler la population qu’assurait la nature – comme les grandes maladies, la peste ou le choléra ont désormais disparu, grâce aux vaccins, mais l’explosion démographique n’est pas accompagnée d’une expansion comparable des ressources disponibles. Le précipice qui s’agrandit entre les besoins et les ressources disponibles mène à des conflits et à des phénomènes migratoires mondiaux. Je salue la lucidité de pays comme la Hongrie et la Pologne, qui ont compris ces processus et se préparent à se défendre. Si l’Europe de l’Ouest suivait leur exemple, elle aurait peut-être une chance d’échapper à la tempête qui s’approche. Mais comme ce n’est pas le cas, elle va nous emporter.

Demokrata : Vous avez été parmi les premiers à attirer l’attention sur les dangers liés à l’immigration frappant l’Europe de l’Ouest. Votre prédiction d’il y a 40 ans semble aujourd’hui se réaliser…

Jean-Marie Le Pen : Et depuis lors, je m’entends souvent reprocher de ramener ce problème sur la table, quel que soit le sujet de la discussion. Aujourd’hui, on adresse des reproches semblables à Éric Zemmour, qui cherche à se porter candidat à la présidence : lui aussi, on le dit obsédé par la question de l’immigration. Mais que puis-je y faire, du moment que ce phénomène occupe réellement une place centrale ? Les conséquences de la croissance de la population mondiale sont faciles à calculer. Quand la dimension du gâteau reste inchangée, tandis que le nombre des convives passe de 12 à 48, et finalement à 96, en fin de compte, le gâteau ne suffira plus à tout le monde, non seulement pour être rassasié, mais même pour survivre. Dans l’espace qui s’étend de Vladivostok à Gibraltar, et que j’ai appelé « continent boréal », la croissance de la population est plus ou moins normale. Il est donc hors de doute que ce territoire sera la destination choisie par une partie des habitants des régions souffrant de surpopulation. Quant à nous, nous avons non seulement le droit, mais carrément le devoir de nous y opposer, même si cela contredit les principes chrétiens d’ouverture et de fraternité. L’Europe va être soumise à une rude épreuve. J’ai un ami qui est directeur d’école en Provence. Dans sa ville, il y a six écoles en tout, et la proportion d’enfants issus de l’immigration est déjà de 90%. J’ai l’impression que le Grand Remplacement a lieu sous nos yeux, quand bien même cette idée donne à beaucoup une impression d’extrémisme. Ils vont nous subjuguer par la puissance du nombre.

Demokrata : Vous avez mentionné le nom d’Éric Zemmour. Que pensez-vous de cet homme jusqu’ici célèbre pour son activité de publiciste, et récemment entré en politique sous les couleurs du radicalisme ? Le soutenez-vous ?

Jean-Marie Le Pen : Zemmour est l’un des candidats du camp national. Au cours de la campagne, les candidats se présentent, puis s’affrontent au premier tour, pour que finalement, à l’issue du second tour, un seul d’entre eux reste en lice. En ce qui me concerne, je me contenterai de dire qu’au second tour, quoi qu’il arrive, je voterai pour le candidat du camp national. Si cela devait être Éric Zemmour, je voterai pour lui ; si c’est Marine Le Pen, je voterai naturellement pour elle – sans tenir compte de la nature de nos rapports antérieurs.

Demokrata : Mais pour le premier tour, n’envisagez-vous pas d’appeler à voter pour l’un ou l’autre des candidats ?

Jean-Marie Le Pen : Non, je ne veux pas avoir à choisir [fin janvier 2022, Jean-Marie Le Pen s’est finalement prononcé en faveur de Marine Le Pen, NDLR]. Derrière Marine, il y a le parti que j’ai fondé, et dont j’ai été exclu. Je vois Zemmour – avec toutes ses faiblesses – comme la seule personnalité authentique de la compétition. Quoi qu’il arrive, Zemmour aura mérité notre reconnaissance, pour avoir frappé du poing sur la table et osé dire quelques vérités que, même dans les milieux dits nationaux, on n’entend plus guère que chuchotées, en raison de la discrétion, de la peur et du confort. En revanche, il est très important de prendre aussi connaissance des programmes des candidats. Zemmour promet certaines choses qui contredisent tout ce qu’implique le statut de président. Mais finalement, c’est un combat que l’affrontement des deux masses de partisans tranchera le moment venu.

Demokrata : À la différence de Zemmour, Marine Le Pen a derrière elle un parti ancien, fort de plusieurs décennies d’expérience, mais qui n’a jamais été au pouvoir.

Jean-Marie Le Pen : Le Front national – ou, comme ils l’appellent aujourd’hui : le Rassemblement National est aujourd’hui affaibli. Comme dans le cas des autres vieux partis et vieilles structures croulantes en Europe, la cause en est, là aussi, à chercher dans la perte des valeurs spirituelles. Mais tout affaibli qu’il est, le parti offre tout de même un certain soutien à Marine, qui n’est pas aussi bien insérée que ses rivaux mainstream dans les médias et autres structures du même genre.

Demokrata : Éric Zemmour, au contraire, joue cavalier seul.

Jean-Marie Le Pen : Oui, il s’est lancé seul dans la course, avec tous les inconvénients et toutes les difficultés que cela implique. Car un parti, même faible, assure à son candidat un soutien considérable et un hinterland précieux. Zemmour, au contraire, est à la merci des fluctuations des sondages et des changements d’avis des électeurs. Ses chances dépendent de la presse, des commentateurs, de déclarations tantôt loyales, tantôt traitresses.

Demokrata : Si l’un ou l’autre des candidats du camp national devait gagner les élections, quelles seraient ses chances de pouvoir gouverner efficacement ?

Jean-Marie Le Pen : Il m’étonnerait qu’on se mette à manquer d’opportunistes en politique : autour du vainqueur, les offres de services spontanées joueront des coudes. En revanche, ce qui serait un véritable défi pour un éventuel président issu du camp national, ce serait la consolidation de son autorité, la réforme de structures de gouvernement aujourd’hui affaiblies et le limogeage des personnalités impropres aux fonctions dont elles sont investies. Sans compter que tout cela ne dépendrait pas que de nous.

Demokrata : Parlons un peu de la Hongrie, que vous avez visitée pour la dernière fois il y a à peu près vingt ans, répondant à l’invitation d’István Csurka. Comment voyez-vous notre pays ?

Jean-Marie Le Pen : J’avais de bonnes relations avec István Csurka, nous nous respections mutuellement en tant que patriotes européens, quand bien même nous n’étions pas d’accord sur tout. Je lui dois toute ma reconnaissance pour m’avoir permis de faire personnellement l’expérience de la réalité hongroise, de découvrir ce pays. À travers les livres, je n’y serais pas parvenu. Depuis lors, bien des choses ont changé. J’éprouve de la sympathie et de la compassion pour le gouvernement hongrois en raison des attaques qu’il subit en permanence. Il me semble que la Hongrie est à l’origine d’un nouveau modèle, devenant le héraut du combat mené pour la défense de la civilisation occidentale. Ce en quoi, en ce qui me concerne, je la soutiens de tout mon cœur. C’est – entre autres – de votre ténacité que dépendra la possibilité de réveiller les forces encore assoupies de l’Europe occidentale, voire de l’Europe boréale. Ma conviction profonde est qu’il faut faire des efforts en vue de se rapprocher des Russes, qui ont certes, historiquement, représenté une menace, mais dont, en dépit de leurs faiblesses, la participation au combat commun est aujourd’hui devenue indispensable. La Russie reste le plus grand pays du monde, tandis que sa population n’est que de 140 millions en tout, et elle en perd un million par an. Restent-ils capables de défendre leur territoire ? Il se pourrait que l’Occident et la Russie soient dans le même bateau. Il est hors de doute que, d’un point de vue militaire, avec leur arsenal, ils resteraient capables de se défendre. En revanche, nous manquons des capacités mentales nécessaires pour affronter des masses désarmées de femmes, d’enfants et d’hommes. Or c’est ce qui fait que notre disparition est inscrite dans notre ADN. Aujourd’hui, notre ennemi commun transforme les peuples européens en amis. Comme disent les enfants d’une autre nation européenne : Gott mit uns.

Demokrata : En visitant Budapest en 2003, vous avez mis en garde les Hongrois contre l’Union européenne. Vous leur avez dit de ne pas se faire trop d’illusions et de se méfier d’une structure qui avait de fortes chances de suivre les traces de l’Union soviétique, étant donné qu’elle est extraordinairement bureaucratique, et qu’elle cherche à priver les nations de leur souveraineté. Aujourd’hui, vingt ans plus tard, que pensez-vous de tout cela ?

Jean-Marie Le Pen : J’ai l’impression que, malheureusement, mes prédictions sont devenues réalité – au moins pour partie. Mais il ne faut pas perdre espoir : après tout, la vie commence toujours demain.

Demokrata : Que pensez-vous de la formation d’un nouveau groupe parlementaire des nationaux au sein du Parlement européen, qui rassemblerait le Fidesz hongrois, le PiS polonais et le Rassemblement National français ?

Jean-Marie Le Pen : L’idée est bonne ; moi aussi, à l’époque, j’avais essayé de créer quelque chose de ce genre. Malheureusement, ma tentative a échoué du fait de la situation de politique intérieure de certains des partis, et de rancunes et querelles nationales qu’ils traînaient derrière eux depuis des lustres. Je crois que nous devrions toujours rester capables d’identifier le plus grand danger, et de décider avec sagesse contre qui nous devons nous battre. Je crains fort, en revanche, que la nature humaine ne change guère, si bien que nous ne pouvons que nous en remettre à Dieu.

Demokrata : Dans l’ensemble, êtes-vous optimiste concernant l’avenir de la France et de l’Union européenne ?

Jean-Marie Le Pen : À moins de colmater immédiatement toutes les fuites – c’est-à-dire de mettre fin au droit d’asile, au regroupement familial, au droit du sol et à la double citoyenneté ; en d’autres termes : si nous ne revenons pas à des formes de protection nationale – nous allons couler. C’est tout. Le combat se joue dans les têtes, et j’ai bien peur que nous ne soyons déjà vaincus.

Demokrata : Beaucoup espéraient que votre petite-fille, Marion Maréchal, pourrait insuffler une nouvelle vie au camp national français. Quel avenir politique lui voyez-vous ?

Jean-Marie Le Pen : Si la politique continuait à se jouer dans les formes connues jusqu’ici, Marion serait pour moi une solide promesse d’avenir. Je ne dis pas ça parce que c’est ma petite-fille, mais parce qu’elle a des conceptions claires, l’expérience d’un mandat de député, et qu’elle s’est toujours acquittée avec excellence des tâches qui lui étaient assignées. Le problème, c’est que, d’ici à ce que son tour arrive, la masse des gens qui risquent de mourir de faim pourrait bien avoir fait table rase du monde tel que nous le connaissons.

Demokrata : Vous n’êtes pas très optimiste.

Jean-Marie Le Pen : Pensez-vous qu’il soit bon d’informer un cancéreux de l’état d’avancement de sa maladie ?

Demokrata : Je pense que oui.

Jean-Marie Le Pen : Et en le lui disant, on ne risque pas de l’affaiblir ? Pour ma part, je suis pour dire la vérité dans tous les cas : je dis ce que je vois. C’est le rôle qui m’est revenu dans la politique française : celui de la sentinelle, qui guette du haut du mât, d’où elle voit plus loin que ses camarades restés sur le pont, voire plus loin que le capitaine. Le devoir de la sentinelle est de dire ce qu’elle voit, et non ce qu’elle souhaiterait voir. La bonne politique, la politique responsable, c’est de s’attendre au pire et de s’y préparer.

Demokrata : C’est comme dans le mythe : le rôle de Cassandre est assez ingrat…

Jean-Marie Le Pen : C’est effectivement un rôle ingrat, parfois même douloureux. Mais moi, j’ai le devoir moral de faire ce que je peux faire : de dire ce que je vois, ou ce que je prévois. Bien sûr, je peux me tromper – j’espère même me tromper. Mais la vérité doit être dite, même si elle blesse la sensibilité d’autrui. Il y a cinq ans, j’ai eu un incendie chez moi. J’ai tout de suite crié au feu ; à l’arrivée des pompiers, j’étais au premier étage de la maison, et il sortait des fenêtres des flammes d’un mètre de haut. Les pompiers ont attaqué le feu frontalement. Mes vêtements, mes costumes ont tous brûlé, mais on a réussi à sauver ma casquette de parachutiste et mes médailles. Le feu a tout balayé, mais la cendre a conservé des traces. C’était peut-être un signe, pour me faire comprendre que ma vie n’a été qu’un point microscopique dans l’histoire de l’humanité.

Demokrata : Et pourtant, tout au long de votre vie, vous vous êtes battu.

Jean-Marie Le Pen : J’ai toujours mené des combats de défense et de retraite : en Indochine, en Afrique du Nord, et au pays. J’ai souvent battu en retraite, mais je n’ai jamais capitulé, conservant toujours l’espoir de regagner le terrain perdu. J’ai fait mon devoir, car il est de notre devoir de protéger les nôtres. Aime ton prochain comme toi-même : c’est le plus important des commandements.

Propos recueillis par Ferenc Almássy pour Demokrata.

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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3 réponses à “Jean-Marie Le Pen : « Le Grand Remplacement a lieu sous nos yeux, quand bien même cette idée donne à beaucoup une impression d’extrémisme » [Interview exclusive]”

  1. piron dit :

    le grand remplacement est déjà par exemple, dans les équipes de foot « françaises » ! n’est ce pas?

  2. jojo dit :

    Juste un truc, vu que c’est l’actualité, faut arrêter avec la légende urbaine que si la mortalité baisse c’est grâce aux vaccins. Les vaccins sont un outil incroyable pour la prévention de certaines maladies et donc dans la diminution des morts associées à ces maladies, mais si la mortalité baisse de façon drastique c’est dû à l’amélioration des mesures d’hygiène (l’eau potable, la capacité de désinfection, tout ça,..) dans la société dans les pays en voie de développement, point barre.

  3. patphil dit :

    dommage que ce gars féru d’histoire ait contesté certaines évidences , les nazis étaient de grands scribouillard, leurs archives parlent aussi

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