Quatre jours après Pontanezen, c’est au tour des quartiers de Keranroux et Bellevue d’être le théâtre de violences urbaines. Mardi soir, un tramway et un bus ont été visés par des tirs de mortier d’artifice.
En réaction et sur demande des syndicats, la direction de Bibus a fait le choix d’interrompre la circulation des bus à partir de 20h chaque soir, dans toute la métropole, et ce au moins jusqu’à nouvel ordre.
Les autorités – qui ne font rien pour assurer, y compris pourquoi pas avec des policiers en armes, la sécurité des travailleurs – capitulent donc officiellement face aux dealers et à la racaille. Cela devient une tradition : la République française, forte avec les faibles, faible avec les forts.
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7 réponses à “Capitulation des autorités à Brest : face aux violences urbaines, les bus et tram ne circulent plus après 20h”
« faible avec les forts »
Leur force est quand même relative.
Les immigrationnistes comme le repris de justice ZERIBI brâment que l’immigration (arabo musulmane) n’y est pour rien et qu’il suffit de traiter les 20 à 30 voyous pour se débarrasser de ces nuisances
En réalité si les 20 à 30 sont emprisonnés ils vont être immédiatement remplacés grâce au réservoir créé par l’immigration, donc, en l’état, comme pour les shadocks c’est une histoire sans fin
François Blanc a parfaitement raison car il y a, à l’évidence, chez ZERIBI un déni volontaire des réalités liées à l’immigration musulmane d’origine maghrébine et africaine. CNews ne le conserve comme consultant que parce qu’il faut bien apporter la contradiction à certains autres chroniqueurs qui ont une position radicalement opposée. Personellement, j’ai du mal à supporter ce Zeribi car je sais qu’il ment systématiquement lorsqu’il s’exprime au sujet des problèmes liés à l’immigration.
Les trafiquants de drogue sont les maitres de plusieurs quartiers de Brest habités en majorité (mais pas exclusivement) par des familles de confession musulmane issues de l’immigration maghrébine et africaine.
Le quartier de Pontanezen est un exemple typique de ce qui se passe dans ces quartiers de Brest. A Pontanezen, les trafiquants de drogue exercent leur commerce librement et menacent les pouvoirs publics de représailles insupportables comme incendier le tram, par exemple, si on essaye d’y imposer l’ordre républicain et par suite de contrarier leurs activités. Les incivilités quasi journalières, essentiellement liées au trafic des stupéfiants, pourrissent la vie des habitants du quartier qui le quittent lorsqu’ils en ont les moyens. Il n’y a pas si longtemps, la mosquée associée à ce quartier de Pontanezen avait un imam (désigné par la presse nationale comme l’imam de Brest !) qui avait fait parler de lui dans toute la France en raison de ses positions extrémistes. Pourtant on ne peut pas dire que la mairie de Brest n’a pas mesuré ses efforts et ses moyens financiers pour rénover le quartier et ses abords mais on peut s’interroger sur l’intérêt de cette politique municipale car la médiathèque a déjà été incendiée. Pour le moment, les autorités semblent impuissantes à restaurer la sécurité des personnes et des biens à Pontanezen. Le rétablissement de l’ordre dans ce quartier, devenu une enclave étrangère, nécessiterait sans doute l’utilisation de méthodes plus radicales que celles qui ont été utilisées jusqu’à présent et ont, à l’évidence, prouvé leur inefficacité, encore faudrait-il avoir le courage de définir ces nouvelles méthodes et de les appliquer résolument en espérant qu’il n’est pas déjà trop tard.
Je suis né à Brest, j’habitais autrefois au Dourjacq à proximité immédiate de ce quartier de Pontanezen, c’était à l’époque un quartier agréable habité en grande majorité par des habitants originaires de la région. On a laissé des populations étrangères au Pays de Brest islamiser et ghettoïser des quartiers entiers de la ville. Je ne reconnais plus la ville de mon enfance qui était à cette époque reconnue, en matière de criminalité, comme l’une des villes les plus sures de France.
A la télévision, on parle surtout de Nantes, voire de Rennes devenues des coupe gorges selon certains journalistes. Je connais bien Nantes et j’ai aimé cette ville pour y avoir passé une partie de ma vie professionnelle mais si on laisse l’insécurité continuer à s’installer à Brest, « Brest risque de devenir Nantes en pire ».
Et s’il n’y avait que Brest, s’il n’y avait que Pontanezen !
les « autorités » …..vous leur faites trop d’honneur à les appeler ainsi ; les « couards » serait plus approprié …..ces « élites » sensées oeuvrer pour le bien commun sont plus enclines à la soumission qu’a la résistance ….voila ce que nous fabrique notre fameuse « république »….
Une fois de plus une poignée de racailles pourrit la vie de milliers d’habitants…..et les autorités trouvent ça normal…….!!!! Les bretons, VOTEZ BIEN la prochaine fois!
interdire aux policiers d’utiliser leurs armes… alors pourquoi les équiper ?les racailles ne vont pas en prison, ils ne peuvent que continuer, le simple citoyen est lui brimé mais ça ils s’en contrefichent.
une seule solution, s’en souvenir et aller voter, dire son opinion dans les urnes!