Dominique Venner (1935-2013) s’est donné la mort le 13 mai 2013 dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Soldat, activiste politique, « historien méditatif », sa vie, sa mort, son œuvre ont considérablement marqué des générations de militants, certes, mais aussi de lecteurs soucieux de l’histoire de leur patrie européenne.
A l’occasion de la parution du premier volume de ses « Carnets rebelles » publié par La Nouvelle Librairie, Rémi Soulié réunit pour son émission « Les idées à l’endroit » ses amis, parmi les plus proches, Alain de Benoist, Philippe Milliau, Jean-Yves Le Gallou, et son éditeur, François Bousquet, retracent son parcours politique et intellectuel. Un hommage, une espérance.
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Une réponse à “Dominique Venner un samouraï d’Occident”
… samouraï ?
sauf qu’en « s’immolant » à l’entrée de l’autel principal de Notre-Dame de Paris, il a commis un acte sacrilège.
Il serait bon de s’en rappeler.