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Discrimination. Sans l’abolition de la loi Pleven, les Blancs d’Europe n’ont aucun avenir [L’Agora]

Eric Zemmour a-t-il commencé à rétropédaler sur les lois scélérates réprimant la liberté d’expression en France ?

C’est ce que l’on peut penser si l’on se fie à sa récente sortie chez Bourdin (RMC) à l’occasion de laquelle il ne s’est pas prononcé clairement pour l’abolition, s’il était élu, des lois Pleven, Gayssot, Taubira, et de toutes celles qui restreignent la liberté d’expression et empêchent la discrimination. Il a juste laissé entendre qu’il faudrait en débattre, alors qu’il s’était prononcé pour l’abolition de ces lois encore récemment… en jugeant même que cette question serait secondaire.

Pourtant, ces lois, notamment la loi Pleven du 1er juillet 1972, qui a fabriqué les délits spécifiques d’injure, diffamation à caractère raciste ainsi que la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, est le verrou qui empêche clairement aujourd’hui le moindre changement sociétal profond (en plus de toutes les lois qui ont complété cette dernière, et de toutes les hautes autorités ou commissions de l’Union Européenne qui ont accentué cela).

Car comme l’écrit de manière explicite et argumentée l’avocat Thibault Mercier, dans son livre « Athéna à la borne, discriminer ou disparaitre », sans la possibilité demain, de discriminer, c’est à dire de choisir, en France ou en Europe, plus rien ne sera possible, si l’on regarde notamment la progression démographique d’autres peuples qui sont également présents sur notre territoire, de plus en plus nombreux.

Thibault Mercier : « Il serait plus qu’utile de supprimer la notion d’incitation à la haine dans notre code pénal » [Interview]

En effet, comment espérer demain, relancer la natalité en berne des Autochtones et exclusivement la leur, si les textes de loi, les juridictions, empêchent tout simplement de le faire ? Il est inimaginable dans l’état actuel du code pénal en France, et plus globalement, dans l’Union Européenne, de réserver, par exemple, les allocations familiales aux seuls autochtones.

La distinction entre citoyens européens et étrangers, lorsqu’elle est encore permise (ce qui est de moins en moins le cas), ne permet en effet pas de distinguer les citoyens européens de souche, des citoyens européens d’origine extra-européenne. Là est le noeud du problème.

Et ce noeud du problème se retrouve non seulement du côté des politiques natalistes, impératives à mener pour éviter le suicide ethnique des Blancs d’Europe (il suffit de voir dans quel état se trouvent les démographies à l’Est et en Europe centrale où l’on ne fait presque plus d’enfant pour se rendre compte de l’urgence), mais aussi du côté des politiques sociales et économiques à mener pour sauver une civilisation.

Et dans l’état actuel des choses, la civilisation européenne, blanche, ne peut pas être sauvée. Tout simplement parce que si la question de l’immigration peut éventuellement être réglée (et encore) en prenant des mesures drastiques qui nécessiteraient déjà un grand coup de balai au sein des institutions européennes notamment (construction de murs, armée aux frontières européennes, expulsions systématiques, menaces militaires et économiques sur les pays exportateurs de misère humaine…), on ne peut pas régler le problème démographique de fond sans discrimination.

Aujourd’hui en France, et globalement en Europe de l’Ouest, des millions d’extra-européens possèdent des papiers d’identité, des passeports, mais aussi des attaches, parfois sur plusieurs générations, avec l’Union Européenne. Et globalement là encore, ils font plus d’enfants que les autochtones, que les « De souche ». Si les conséquences ne sont encore visibles massivement aujourd’hui que dans certaines régions françaises, notamment l’Ile de France, elles se voient de plus en plus, dans toutes les maternités des métropoles françaises.

Les chiffres de la Drépanocytose, avant leur bidonnage récent pour empêcher justement toute lecture ethnique, étaient d’ailleurs évocateurs.

Lorsque l’on sait que les Blancs non hispaniques seront minoritaires aux USA en 2045, qu’ils le seront également en Suède en 2065, au Royaume-Uni dans les mêmes eaux, on est légitimement en droit de se poser la question de comment faire pour éviter que cela n’arrive, pour éviter que les Blancs se retrouvent en minorité au sein de leur berceau civilisationnel.

Et encore une fois, se poser la question, c’est aussi se donner les moyens d’y répondre efficacement. Sans la possibilité de favoriser les naissances des autochtones par rapport aux extra européens, sans la possibilité de sélectionner les autochtones en priorité pour des emplois (et même à compétences différentes), sans la possibilité de choisir à qui l’on souhaite ou l’on ne souhaite pas louer ou vendre un logement, tout discours sur la restriction de l’immigration ou le sauvetage des Européens me semble être de la poudre aux yeux. Vous pourrez bien dissuader tous les candidats venus d’Afrique ou d’Asie à venir en Europe, si vous n’incitez pas à partir ceux qui sont déjà installés en masse ici depuis plusieurs décennies, ou si vous ne faites pas en sorte que les autochtones demeurent, par la natalité, majoritaires, alors vous ne pourrez que constater le suicide progressif d’une civilisation.

La démographie ne ment pas.

Il serait temps que les responsables politiques qui se prétendent courageux en prennent conscience. Effectivement, l’idée de discriminer, donc de choisir, est aux antipodes des « Lumières françaises» ou de « l’esprit républicain ».

C’est bien pour cela que la loi Pleven a été votée. C’est bien pour cela que depuis nos dirigeants n’ont eu de cesse de mener avec acharnement la bataille pour une société multiculturelle, multiraciale, qui chaque jour s’avère être un cauchemar pour ceux qui la vivent comme la disparition de leur propre civilisation (tandis que d’autres, y compris de notre peuple, s’en félicitent ou s’en moquent).

Mais les lois sont faites pour être abrogées, tout comme les régimes qui les portent sont faits pour être changés, y compris radicalement. A défaut, ce sont bien les hommes et les femmes qui composent ethniquement nos pays, nos terres, notre civilisation depuis plusieurs milliers d’années, qui pourraient être remplacés, définitivement.

Discriminer demain…pour ne pas disparaitre ? Alors abolissons les lois Pleven-Gayssot-Taubira !

Julien Dir

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

Photo : DR
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3 réponses à “Discrimination. Sans l’abolition de la loi Pleven, les Blancs d’Europe n’ont aucun avenir [L’Agora]”

  1. patphil dit :

    le male blanc doit être déconstruit c »est à dire éliminé, la femelle blanche peut servir de bétail reproducteur

    • Régine dit :

      Le mâle blanc doit être déconstruit certes, mais surtout, ce sont les nations occidentales qui doivent l’être le plus rapidement possible. Pour cela, quoi de plus efficace que le métissage : la femme blanche avec l’homme extra-européen, et l’homme blanc avec la femme extra-européenne : exactement ce que montrent les pubs dans les medias et notamment la télé, par exemple Cnews, si vous regardez certaines émissions.
      Je pense que si la race blanche peut être préservée – pour sauver la civilisation occidentale et les identités nationales qui ont participé à son histoire et préserver sa mémoire – il faut les autochtones occidentaux, à l’instar de certains peuples, comme les juifs, les roms, les Kanaks se constituent en groupe et revendiquent le statut de peuple autochtone auprès de l’ONU : solution proposée par Antonin Campana. En dehors de cette possibilité qui permettrait d’éviter des guerres dissymétriques entre autochtones et allochtones, il n’y a pas d’autre solution légale.

  2. cendu dit :

    Les allocations familiales ont permis le baby boom en compensant, sans condition de ressources, la baisse de niveau de vie des gens qui ont des enfants.
    Elles sont payées par les entreprises, à l’origine pour qu’elles puissent avoir de futurs employés.
    Aujourd’hui, le peu de ce qui reste est sous condition de ressources, et la grosse partie va à l’immigration sous forme de diverses aides qui n’ont plus rien à voir avec les buts d’origine.
    Je laisse le lecteur conclure.

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