« Le lumpenprolétariat, cette lie d’individus dévoyés de toutes les classes, qui établit son quartier général dans les grandes villes, est de tous les alliés possibles, le pire. Cette racaille est absolument vénale et importune. Tout chef ouvrier qui emploie ces vagabonds comme gardes du corps, ou qui s’appuie sur eux, prouve déjà par là qu’il n’est qu’un traître au mouvement »
(Friedrich Engels, La Guerre des paysans en Allemagne, Paris, Éditions sociales, 1974)
« Ils appartenaient pour la plupart au lumpenprolétariat qui, dans toutes les grandes villes, constitue une masse distincte du prolétariat industriel, pépinière de voleurs et de criminels de toute espèce, vivant des déchets de la société, individus sans métier avoué, rôdeurs, gens sans aveu et sans feu »
(Karl Marx, Les luttes de classe en France)
« Des roués désargentés aux moyens d’existence douteux, et à l’origine tout aussi douteuse, des rejetons dépravés et aventureux de la bourgeoisie, des vagabonds, des soldats limogés, des détenus libérés, des forçats évadés des galères, des escrocs, des saltimbanques, des lazzaroni, des pickpockets, des joueurs de bonneteau, des joueurs, des maquereaux, des tenanciers de bordels, des portefaix, des littérateurs, des tourneurs d’orgue, des chiffonniers, des rémouleurs, des rétameurs, des mendiants, bref, toute la masse indéterminée, dissolue, ballotée et flottante, que les Français appellent la « bohème » »
(Karl Marx, Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte)
Le colloque « L’intégration des réfugiés en France et en Europe et le rôle du secteur privé » qui a lieu ce vendredi 03 décembre est co-organisé par l’Ifri ou Institut Français des Relations Internationales, think-tank mondialiste bien connu dont le président est Thierry de Montbrial, père de l’avocat Thibault de Montbrial.
Today, we are gathered in @TheatreChaillot with corporates, non-profits and public sector actors for a conference we organize with @IFRI_ on “Refugee integration in France & Europe and the private sector’s contribution.” pic.twitter.com/zVla8zWc1T
— Fondation BNP Paribas (@FondationBNPP) December 3, 2021
La fondation BNP Paribas, placée sous l’égide de la très officielle Fondation de France, entend être un acteur de la « solidarité » à travers des « programmes en faveur de l’égalité des chances, de l’entrepreneuriat social, de la lutte contre l’exclusion et la grande précarité ». Visiblement cette solidarité est destinée en premier lieu aux immigrés, véritable prolétariat de remplacement importé par le patronat pour faire baisser les salaires et ne rien changer aux conditions de travail de la classe ouvrière autochtone.
Et dire que l’extrême-gauche pro-immigration s’assume pleinement en tant que réserve de garde-chiourmes du mondialisme…
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2 réponses à “L’immigration n’enrichit que les patrons. Quand le secteur privé disserte sur l’importation de lupenprolétariat”
Avec la limite basse du salaire légalement imposée les immigrés n’ont jamais fait baisser le moindre salaire surtout que ces gens à la fois non formés et culturellement non consciencieux n’ont jamais été en concurrence avec les salariés de souche.
Actuellement l’importation des bledards par les marxistes-progressistes n’est pas destinée à un lumpen prolétariat mais à un lumpen électorat, ne pas voir cet aspect dénote un parfait aveuglement volontaire ou non
et la gôche caviar a changé de prolétariat,