Depuis deux ans, une bonne partie de la planète vit au rythme du COVID et de ses rebondissements successifs. Le vaccin, apparaissant comme la solution définitive à cette épidémie, ne semble pas avoir rempli les espoirs qui étaient mis en lui.
De plus en plus de gens commencent à se poser des questions sur son efficacité réelle et, plus grave encore, sur sa finalité. Une vidéo récente, Hold On, suite réactualisée de « Hold Up » montre un certain nombres d’effets secondaires liés à cette vaccination.
Pour le commun des mortels, dont je pense faire partie, se pose alors la question lancinante : « A qui devons-nous, et surtout, pouvons-nous, faire confiance ? »
Deux visions partagent l’opinion publique
La première est celle du « tout vaccin ». L’humanité toute entière doit être vaccinée et ce n’est qu’à ce prix que le virus sera terrassé. Dans cette conception, les « effets secondaires », même s’ils ne sont pas niés, deviennent une sorte de contre-partie assez modeste dont nous devons nous acquitter.
La seconde, qualifiée par les premiers de « complotisme », considère que le Covid fait partie d’un plan plus général appelé « great reset » et que la pandémie n’est là que pour servir à injecter dans les populations des produits expérimentaux dont la teneur n’est pas divulguée et baptisés « vaccins » pour faciliter leur acceptation.
Médiatiquement, la première l’emporte sur la seconde, mais le temps travaille plutôt pour cette dernière. Le vaccin, malgré les discours louangeurs, n’a pas tenu ses promesses en matière d’innocuité et de transmission et la perspective de doses récurrentes à intervalles réduits pour continuer à bénéficier du passe sanitaire commence à « refroidir » beaucoup de gens qui aimeraient connaître leur dosage en anti-corps avant de subir une nouvelle injection.
L’apparition d’un nouveau variant venu d’Afrique du Sud participe aussi de ce doute dans l’efficacité du vaccin dont nul ne peut dire aujourd’hui quelle est sa capacité à traiter ce nouveau-venu.
Comment les départager ?
Le cas idéal serait de tomber sur une impossibilité matérielle. Par exemple, si on pouvait démontrer qu’en l’état, il est totalement impossible de « fabriquer » un virus et que seule la nature dispose de ce pouvoir. On serait alors bien obligé d’admettre que cette pandémie ne doit rien à l’Homme et la théorie du complot serait ruinée.
Que disent les virologues ?
Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour ses travaux sur le SIDA, apporte une réponse :
« Avec son ami de trente ans, le mathématicien Jean-Claude Perez, il affirme que le virus Sars-CoV-2 (responsable de l’épidémie de Covid-19) a été fabriqué artificiellement en injectant des fragments du virus VIH dans un coronavirus dans un laboratoire de Wuhan, et pourquoi pas dans le fameux P4 qui fait tant couler d’encre. »
On ne peut donc écarter cette hypothèse. En admettant cette hypothèse, se pose le problème de la contamination. Elle peut résulter d’un « accident de laboratoire » qui laisse échapper le virus qui va se répandre dans la population avoisinante. Elle peut aussi résulter d’un acte volontaire que rien aujourd’hui ne permet d’exclure.
Que disent, là-encore, les spécialistes ?
Pour Peter Embarek, cette hypothèse de la fuite semble probable. Toutefois, il ne peut évidemment pas se prononcer sur le coté « intentionnel » de celle-ci : « Dans un documentaire intitulé « Le mystère du virus », un Danois à la recherche de la vérité en Chine » diffusé jeudi sur la chaîne danoise, le scientifique s’est montré très critique envers Pékin. Selon lui, il a été difficile pour son équipe de discuter de cette théorie avec les scientifiques chinois. »
Or, le laboratoire de Wuhan est classé P4, en ce qui concerne son niveau de sécurité.
Qu’en est-il de ces laboratoires ?
« Les laboratoires P4 de sécurité maximale présentent deux grandes spécificités : ils sont totalement hermétiques et constitués de plusieurs sas de décontaminations et de portes étanches et disposent aussi de sécurités anti-incendie (on prive l’incendie de son comburant oxygène en injectant un gaz inerte) couplées à des détecteurs de fumées.
Ces laboratoires assurent une protection optimale des chercheurs travaillant dans leurs enceintes. Pour y pénétrer, il faut montrer carte blanche, prendre une douche, revêtir un scaphandre (sous pression positive de telle sorte qu’en cas de déchirure accidentelle de la combinaison scaphandre, l’air sortira du scaphandre, plutôt que d’y rentrer, évitant ainsi toute contamination) relié à l’une des prises fournissant de l’air dont le renouvellement est totalement indépendant de l’atmosphère du laboratoire ; quand elles sortent du laboratoire, elles prennent une douche au phénol revêtues de leurs scaphandres. Des caméras surveillent continuellement l’activité du laboratoire ; le personnel ne rentre jamais seul à l’intérieur du laboratoire. » (Midi libre avril 2020)
Ces précautions semblent peu compatibles avec un simple accident de labo et ne permettent pas d’écarter l’intention volontaire.
L’origine des vaccins
Là encore, tout dépend de l’hypothèse de départ retenue. Il paraît impensable que, dans le cadre d’une recherche sur un virus aussi hautement pathogène, il n’y ait pas eu une recherche simultanée de l’antidote. Cela pourrait expliquer la raison de la rapidité d’apparition des vaccins sur les marchés.
Une hypothèse interdite ?
Mais on peut également évoquer une autre hypothèse, que rien ne permet d’écarter, si ce n’est qu’on ne peut qu’espérer qu’elle soit fausse.
Supposons que cette pandémie, dont la létalité n’est pas des plus farouches, comparée à certaines précédentes, ait permis, par calcul ou par opportunisme, après avoir écarté tout traitement possible, d’imposer un vaccin créé pour la circonstance. On ne connaît, du reste, pas grand-chose de ces vaccins, si ce n’est que leurs résultats ont été inférieurs à ceux annoncés. Rappelons que ces médicaments sont toujours en phase expérimentale et qu’ils ne peuvent être administrés qu’en l’absence de tout traitement. En tous cas, on sait aujourd’hui que les doses vont être récurrentes, et cela peut ressembler à une sorte de rente pour ceux qui les fabriquent. Retrouverait-on le vieil adage policier : « A qui le crime profite-t-il ? »
Naturellement, ceci relève de la pure fiction car personne, au nom de la morale élémentaire, n’oserait se risquer dans une telle entreprise, même si techniquement, rien ne semble s’y opposer.
Jean Goychman
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8 réponses à “Covid. À qui faire confiance ?”
La conclusion de ce remarquable article qui s’impose tient dans la réponse à la question initiale. A qui peut on faire confiance ? A personne.
A noter qu’il est plus que troublant que, comme il y est d’ailleurs fait allusion, depuis deux ans qu’on nous serine « hors le vaccin point de salut », l’intérêt pour la recherche et la découverte de traitements est pour le moins limité.
Si des sages dans le passé, n’avaient pris soin de poser des garde-fous tels que le Serment d’Hippocrate, le code de déontologie de la médecine, ou tout simplement les droits de l’homme, où en serions-nous aujourd’hui ?
Vu que même le droit le plus élémentaire et le bon sens, ont été piétiné par le rouleau compresseur des pouvoirs en place.
Sur quoi, reposerait notre indignation ?
Avec la Covid 19, nous ne sommes plus dans de la médecine, nous avons basculé dans autre chose….
L’obstruction aux traitements qui fonctionnent dans les pays qui ne vaccinnent pas (Cameroun, côte d’Ivoire, pour ceux que que je connais personnellement), apparaît clairement motivée par des raisons mercantiles et donc criminelles
a qui faire confiance ? quand on voit la censure pratiquée envers ceux qui on un discours différent de la doxa , le déchainement des médias contre ceux dont la parole n’est pas conforme à la pensée officielle , des sommités du monde médicale mises au banc , etc…quand on voit les mensonges répétés depuis deux ans , et les faits qui invalides les affirmations d’hier …..certainement pas confiance , donc , dans le camp des vaccinolâtres….
mais bon… avec notre système médiatique actuel , la messe du 20 h bue par les retraités peureux ( pas tous ..) et ceux qui rentrent du boulot crevés qui n’ont pas envie de chercher ailleurs des « infos », les confiants ne risques pas d’avoir de doutes….
si les Français faisaient des provisions et déclaraient que, au regard de la dangerosité du virus covid, ils restent tous chez eux du 10 au 31 décembre, vous verriez, comme par enchantement, la disparition de cette fausse pandémie.
il est quand même bizarre qu’au début 2020, la carte des pays touchés par cette pandémie se calquait sur celle des pays du G20.
de là à penser à une entente internationale lors de la réunion du G20 de juin 2019, il n’y a qu’un pas de virus à faire.
de plus, si vous suivez des voyageurs autour du monde, vous vous rendez vite compte que seuls les pays ayant accès au pseudos vaccins sont infestés par ce virus. des pays comme le Kenya, le Mozambique, la Namibie, la Tanzanie ou la Zambie pour ne citer qu’eux ne sont pas vaccinés et n’ont pas de covid.
autre question, sur les premiers 100 000 morts annoncés par les médias, le rapport de l’ARS ne mentionnait que 12 000 du covid, 23 000 de comorbidités, le reste, soit 65 000 n’avaient pas d’acte de décès, donc inventés par les services de l’État.
un bel oubli également, c’est le nombre des victimes des essais des vaccins, morts ou handicapés, qui serait 6 à 8 fois plus nombreux, mais tenus secret.
ils ont tellement menti avec tant d’assurance…
Tout à fait d’accord.
Pourquoi le continent Africain qui se distingue régulièrement par des hécatombes dues à des pandémies telles que le Sida ou le virus Ebola, ne semble pas être plus que nous, inquiété par la Covid 19 et ses variants ?
La médecine et l’hygiène approximatives de ces contrées devraient favoriser une explosion de mortalités dû au Covid.
Peut-être dû au fait que ses habitants prennent depuis des lustres des traitements antipaludéen contre la malaria, tels la célèbre Quinine, qui est apparentée à la non moins célèbre hydroxychloroquine du Professeur RAOULT.
Et pourquoi serions-nous absolument obligés de choisir entre deux positions extrêmes ? Ce vaccin à une certaine efficacité contre les formes graves même si elle diminue rapidement avec le temps. Il semble peu ou pas efficace sur la transmission du virus. Proposons le aux gens âgés et fragiles qui risquent de faire des formes graves et ne le donnons pas aux autres et surtout pas aux jeunes qui auront une bien meilleure immunité avec la maladie et qui de toute façon ne feront pas, ou exceptionnellement, des formes graves.