Les Corsaires et leur armada numérique montent à l’abordage des Sleeping Giants, ces ayatollahs de la pensée woke qui veulent importer en France leur idéologie puritaine américaine en censurant les médias qui ont le mauvais goût de ne pas penser comme eux. Face à ces nouveaux censeurs, les Corsaires ne font « pas de quartier » et dupliquent les méthodes des Sleeping Giants pour les neutraliser.
C’est le principe du judo. Utiliser les forces de l’adversaire pour le mettre au tapis. Face aux Sleeping Giants, qui usent de l’intimidation et des menaces pour contraindre les annonceurs à retirer leurs budgets publicitaires des médias qu’ils ont censurés, les Corsaires de France contre-attaquent sur le même registre. Partant du principe que l’idéologie woke est ultra-minoritaire en France et que les marques cèdent aux pressions par une peur irrationnelle du « bad buzz », les Corsaires souhaitent établir un nouveau rapport de force.
L’idée est donc de faire autant de bruit que possible autour de l’ensemble des marques et entreprises qui ont jusqu’ici plié sous le diktat des Sleeping Giants, pour en informer l’opinion publique, et en premier lieu leurs clients. Des clients dont la très grande majorité est hostile aux campagnes de boycott, à la censure des médias, et qui considèrent que la liberté de la presse est un principe fondamental de notre société.
Jusqu’à présent, les marques boycotteuses communiquaient avec les Sleeping Giants sur Twitter, au sein d’un microcosme essentiellement composé de CSP+ de grandes villes où tout le monde pense à peu près la même chose, sans que la majorité silencieuse n’en soit jamais informée. C’est cet état de fait que les Corsaires sont en train de modifier. Et cela est diablement efficace.
Les entreprises et les marques n’ont pas vocation à se trouver mêlées à des controverses sans fin autour de thématiques touchant à la fabrique même de notre démocratie. Pourquoi un constructeur de voiture ou un vendeur de pâte à tartiner serait-il juge des limites à imposer à la liberté de la presse ? Est-ce le rôle de magasins de sport de définir quel média est d’extrême-droite ? Une fois posées, on a répondu à ces questions.
C’est tout l’intérêt du contre-activisme des Corsaires. Face aux petits caïds qui prospèrent sur la peur qu’ils inspirent, la meilleure arme est toujours de se tenir debout et de les confronter droit dans les yeux. Une fois que la peur disparait ou qu’elle change de camp, ils se retrouvent désarmés. C’est exactement le sort que les Corsaires sont en train de faire aux Sleeping Giants.
Et ce n’est pas un hasard si le mouvement activiste Made In USA est en pleine perte de vitesse. Une fois que quelqu’un leur tient tête et montre que leur petit chantage sera stérile, ils n’ont plus aucun argument à faire valoir. La lutte contre le fascisme et « les discours de haine » est un cache-sexe risible pour ne pas parler de censure et de volonté de limiter le débat public aux seules idées acceptables par la populace woke et progressiste.
Tout ce qui ne rentre pas dans leur champ de vision politique est par définition dangereux et doit être éradiqué par tous les moyens. C’est la définition même d’une idéologie totalitaire. Une idéologie totalitaire qui, heureusement, n’est portée que par une poignée de trolls sur Twitter, et que les Corsaires sont en train de faire exploser en vol.
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2 réponses à “Les Corsaires à l’abordage des Sleeping Giants, nouveaux cyber-ayatollahs”
Bravo aux « corsaires » ! il faut faire un maximum de publicité à cette veulerie des marques, petites ou grandes, collabos des ayatollahs du politiquement conforme, adeptes de la moraline dégoulinante qui se répand comme un chancre nauséabond !
Vous vous couchez devant les injonctions des minorités agissantes, eh bien , on va vous afficher dans votre position d’esclaves consentants ! Plus un achat pour ces larves !
nous avons décidé se boycotter certaines entreprises qui suivent ces gens là, la liste s’allonge ! on a commencé avec celles qui ont boycotté cnews quand zemmour a créé son émission, on pense que les petits ruisseaux forment les grandes rivières, même si ça ne se voit pas