Invité sur VA+ (entité vidéo du journal Valeurs actuelles) pour évoquer la procédure de dissolution visant l’Alvarium, son porte-parole Jean-Eudes Gannat rappelle en une vingtaine de minutes le caractère absurde de cette volonté du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin de vouloir mettre fin aux activités de cette association enracinée à Angers.
Un dossier de dissolution « très léger » selon Jean-Eudes Gannat
Quant au dossier de dissolution en question, Jean-Eudes Gannat le décrit comme « très léger », et pour cause ! Dans l’entretien ci-dessous, il reprend point par point les faits mentionnés dans le document par Gérald Darmanin. Ainsi, autant le dire, pour le porte-parole de l’Alvarium comme pour tous les observateurs un tant soit peu lucides de la vie politique française, cette procédure de dissolution ressemble davantage à un coup de communication politique qu’à une procédure judiciaire réellement motivée.
Ce qui dérangerait surtout le ministre de l’Intérieur, c’est le fait que les militants identitaires angevins aient pointé du doigt le lien entre immigration et insécurité en France via une série de tweets. Un lien qui, pour être nié par certains, nécessite toutefois une dose de mauvaise foi particulièrement élevée…
Une pétition en ligne contre la dissolution de l’Alvarium
En ce qui concerne la procédure, la dissolution de l’Alvarium devrait dans un premier temps être discutée en Conseil des ministres mais les militants ne comptent pas subir la situation et irons au contentieux devant le Conseil d’État et, si nécessaire, devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme, bien que, comme le concède Jean-Eudes Gannat, les membres de son association ont des espoirs « assez mitigés » parce que sachant « comment ça se passe ». En attendant, l’Alvarium « utilise toutes les armes que le système daigne [lui] donner ».
Il ajoute : « Quand on voit le dossier, quand on voit quel point il est vide, on sent bien que tout cela n’est que politique. Et qu’il n’y a aucun fondement légal ».
Par ailleurs, une pétition de soutien contre la dissolution de l’Alvarium a été lancée il y a quelques jours.
Intitulée synthétiquement « Critiquer l’immigration est un droit, soutenir les pauvres n’est pas un crime », elle est accessible sur le site de l’association angevine.
Crédit photo : capture YouTube (photo d’illustration)
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2 réponses à “Dissolution de l’Alvarium (Angers) : un dossier « très léger » selon Jean-Eudes Gannat [Vidéo]”
IMMIGRATION
« J’ai quitté mon pays, j’ai quitté ma maison.
Ma vie, ma triste vie, se traîne sans raison. »
A mon avis, la plus grave conséquence du phénomène d’immigration massive, est qu’elle provoquera elle aussi à terme, une certaine inversion des valeurs :
Les gens vont devenir égoïstes car le peu de charité qu’ils ont envers leur prochain, sera mis à rude épreuve par l’arrivée toujours plus croissante d’indigents.
Les restos du cœur créés par Coluche en 1985, ne devaient durer que la mauvaise saison. Cet illustre personnage ne se doutait pas (sait-on ?), du fait que 35 ans plus tard, le problème ne serait pas réglé, mais aurait empiré.
Cela ressemble à s’y méprendre à l’appel de l’hiver 54 du célébrissime et prophétique abbé Pierre (Emmaüs), qui connaissait bien Coluche.
L’état n’a véritablement pas pris toute la mesure du problème, bien que fut importé des états-unis entre-temps, les banques alimentaires (1984), et que fut créé, il y a dizaine d’années, le concept des épiceries-solidaires.
Si dans 35 ans (je suis très large), l’immigration ne s’est pas tarie, la solidarité et la charité n’existeront plus dans ce pays. Le mouvement a déjà commencé dans la mesure où, de nombreux Français baissant les bras, décident de ne plus s’intéresser aux étrangers, et retournent au fondamental exprimé si bien par l’adage : « Charité bien ordonnée, commence par soi-même ».
Non seulement, cette overdose d’immigration, va provoquer de la xénophobie (tiens, tiens), mais aussi une haine envers ceux qui s’obstinent à les aider, contre vents et marrées, en particulier le petit reste de Chrétiens. Là aussi on prêche une chose, afin d’obtenir l’effet inverse : CQFD
une association de défense de la france et des français, voilà une bonne et unique raison pour la dissoudre!
que les gaulois et les celtes réfractaires s’en souviennent en allant voter