MAJ : 28 octobre 2021. Le Rassemblement national a envoyé un communiqué à la presse suite à cette tribune. Le voici ci-dessous :
Suite à l’évacuation du campement des Gayeulles où s’entassait une centaine d’immigrés clandestins, 33 maires de la métropole rennaise, dont la maire socialiste de Rennes Nathalie Appéré, viennent de cosigner une tribune demandant à l’Etat de régulariser les clandestins.
Alors que ces migrants sont essentiellement déboutés du droit d’asile et doivent donc logiquement être expulsés, la prise de position de ces élus est à la fois scandaleuse et irresponsable !
Comme d’habitude, la gauche sait être généreuse avec l’argent des autres, l’argent des Français qui ne veulent plus de cette folle politique d’immigration.
Comme d’habitude, la gauche nous sert la jolie ritournelle pseudo « humaniste » en disant agir au nom de « valeurs », de la « tradition d’accueil » et taxe d’inhumains ceux qui sont lucides sur la situation.
Mais qui a permis que ces clandestins se retrouvent dans un campement misérable ? Qui incite toujours plus de migrants à faire des milliers de kilomètres, à tenter la traversée de la Méditerranée au péril de leur vie en leur faisant miroiter qu’ils ont un avenir ici (alors que le gouvernement est incapable de s’occuper dignement des plus démunis d’entre nous) ?
Qui est responsable de l’appel d’air et se rend complice de fait des mafias de passeurs et d’esclavagistes ?
La réponse est simple : ce sont ces élus de gauche comme de droite et ces associations subventionnées qui encouragent l’immigration depuis des décennies !
C’est ça leur « humanité » ?
Fin de l’immigration massive, expulsion immédiate des déboutés et délinquants étrangers, priorité nationale dans les logements sociaux, les aides sociales et l’accès à l’emploi…en 2022, Marine Le Pen agira avec fermeté et dignité au service des Français d’abord !
Alors que les sondages, comme les intentions de vote, témoignent chaque jour d’un souhait majoritaire des Français d’en finir avec l’immigration, qui transforme profondément la société française (et progressivement la société bretonne), 33 maires de Rennes Métropole, tous de gauche et soumis à Nathalie Appéré qui règne en maître sur son territoire, signent une tribune pour réclamer la prise en charge des migrants aux frais du contribuable, et notamment de la centaine de migrants qui vivent dans des conditions lamentables au Parc des Gayeulles.
En effet, l’Etat a prévu de réquisitionner un bâtiment de la ville de Rennes pour loger ces individus. A aucun moment comme d’habitude, il n’est question de mettre en place un pont aérien vers les pays d’origine pour que ces migrants repartent dans leurs pays, et dans le calme.
Nous vous laissons lire la tribune, lunaire, signe d’un décalage de plus en plus marqué entre une petite caste d’élus des métropoles, qui ne se rendent peut être même pas compte qu’ils oeuvrent pour l’immigration, et une partie de la population qui n’en veut plus, comme en témoignent la position centrale d’une Marine Le Pen ou l’ascension d’un Zemmour sur la scène politique.
« Depuis de trop nombreuses années, la question de l’accueil, de la mise à l’abri et du traitement de la situation administrative et sociale des migrants sur le territoire de la métropole rennaise, comme ailleurs dans notre pays, heurte nos principes humanistes. Les récents événements autour du campement des Gayeulles à Rennes ou du centre de loisirs des Éclaireurs à Thorigné-Fouillard sont malheureusement une nouvelle illustration d’une situation intenable.
Dans nos communes, avec ou en appui des associations, nous avons mis à l’abri de nombreuses familles. Bien que cela relève des compétences exclusives de l’État, nous avons agi au nom de nos valeurs humanistes, de la fraternité qui fait le socle de notre République, et de la tradition d’accueil et d’ouverture de notre pays et de la Bretagne. Les personnes logées dans nos communes ne sont pas des « migrants rennais » ou des « migrants bretons », ce sont des personnes dont l’État ne traite pas les dossiers.
Cette situation n’est pas acceptable et l’État doit prendre ses responsabilités. Certaines familles sont présentes dans les dispositifs d’hébergement dits « d’urgence », mis en place par les communes, depuis plus d’une décennie. Ces dispositifs sont saturés. L’État doit traiter les demandes de régularisation.
Progressivement s’est installée pour ces personnes une situation provisoire qui dure, dans laquelle hommes, femmes et enfants qui pourraient être éligibles à une demande de logement dans le droit commun et à un véritable parcours d’intégration si leur situation administrative était régularisée, restent bloqués, à leurs corps défendant, dans des solutions officiellement temporaires. Les enfants vont à l’école, leurs parents s’insèrent dans la vie sociale, mais ils ne peuvent pas travailler alors que, dans le même temps, les acteurs de la vie économique nous signalent de plus en plus régulièrement des difficultés de recrutement. C’est un non-sens humain et un non-sens économique.
Sur la question de la mise à l’abri, nous, élus locaux, assumons des dépenses qui devraient être prises en charge par l’État au titre de ses compétences. Cela représente aujourd’hui un coût de plusieurs millions d’euros par an pour nos collectivités, alors même qu’une véritable politique de régularisation et d’intégration permettrait à ces familles d’être indépendantes, de s’épanouir dans nos communes et de contribuer à la vie économique de notre territoire.
Nous ne pouvons nous substituer à l’État en matière de politique migratoire. Lui seul peut agir, mais il a choisi d’adopter une position attentiste. Pire encore, il choisit de ne pas voir ceux que l’on dénomme tristement les « ni régularisables, ni expulsables » du territoire.
Administrativement, ces personnes sont invisibles. Pourtant, elles existent, elles sont bel et bien présentes parmi nous au quotidien, accompagnées par nos collectivités locales et par des associations, dont nous saluons l’engagement exemplaire.
Depuis dix ans, nous faisons tout notre possible face à un État chaque jour un peu plus absent et défaillant sur ce sujet. Aujourd’hui nous ne pouvons que constater une situation intolérable, en même temps que les limites de notre capacité à agir en tant qu’élus locaux.
Nous demandons à l’État d’agir concrètement, rapidement et efficacement pour remédier à la situation inacceptable que vivent des centaines de personnes dans notre métropole.
Nous demandons l’application de la circulaire Valls de 2012, afin de régulariser immédiatement les personnes et familles qui vivent sur nos communes et dont nous, élus, pouvons témoigner de l’intégration dans le tissu social (écoles, associations…). D’autre part, nous appelons l’État à organiser et à prendre en charge l’hébergement d’urgence des personnes exilées, en tenant compte de leur vulnérabilité réelle, conformément aux lois de notre République.
Les signataires : Olivier Dehaese, maire d’Acigné ; Laurence Besserve, maire de Betton ; Franck Morvan, maire de Bourgbarré ; Christophe Chevance, maire de Brécé ; Philippe Salmon, maire de Bruz ; Jean-Pierre Savignac, maire de Cesson-Sévigné ; Gilles Dreuslin, maire de Chantepie ; Philippe Bonnin, maire de Chartres-de-Bretagne ; René Bouillon, maire de Chavagne ; Sandrine Vincent, maire de Chevaigné ; Jacques Ruello, maire de Cintré ; Alain Prigent, maire de Corps-Nuds ; André Chouan, maire de L’Hermitage ; Pascal Pinault, maire de La Chapelle-Chaussée ; Anne Le Floch, maire de La Chapelle-des-Fougeretz ; Régine Armand, maire de La Chapelle-Thouarault ; Françoise Louapre, maire de Laillé ; Daniel Yvanoff, maire de Langan ; Mickaël Bouloux, maire de Le Rheu ; Sylvie Galic, maire de Le Verger ; Daniel Monnier, maire de Miniac-sous-Bécherel ; Laurent Prizé, maire de Montgermont ; Jean-Marc Legagneur, maire de Nouvoitou ; Sébastien Guéret, maire de Noyal-Chatillon-sur-Seiche ; Michel Demolder, maire de Pont-Péan ; Nathalie Appéré, maire de Rennes ; Henri Daucé, maire de Romillé ; Morgane Madiot, maire de Saint-Armel ; Matthieu Pollet, maire de Saint-Erblon ; Philippe Thebault, maire de Saint-Gilles ; Marie Ducamin, maire de Saint-Jacques-de-la-Lande ; Yann Huaumé, maire de Saint-Sulpice-la-Forêt ; René-François Houssin, maire de Vezin-le-Coquet.
Traduction : ces élus veulent que vos impôts servent à accueillir, à héberger, à nourrir et à éduquer ces migrants. Et ils souhaitent également que les entreprises qui peinent à recruter, notamment parce que les salaires sont de moins en moins acceptables, embauchent ces mêmes migrants, pour les insérer dans la vie économique. Les élus renvoient la balle à l’Etat. AU final, c’est le citoyen qui paiera dans tous les cas…
Crédit photo : DR
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2 réponses à “Rennes Métropole. 33 maires de gauche qui veulent toujours plus de migrants en Bretagne et en France. Le RN réagit [MAJ]”
Vous avez votés pour ces islamos gauchistes, j’espère que vous saurez pour qui voter la prochaine fois, sauf si certains ont Alzheimer !!
on a les zélus qu’on mérite, pour lesquels on a voté
abstention piège à con !