Races et intelligence. Censure et violence contre les chercheurs et les scientifiques….

La recherche sur l’intelligence, sujet sensible par excellence, est émaillée de nombreuses attaques d’individus voyant ces informations comme menaçantes pour leur idéologie égalitaire.

Un grand nombre de journalistes, sans trop s’y connaitre, prennent également parti contre les chercheurs qui travaillent sur ces questions. La diabolisation est systématique, généralement associée de diffamations, pressions sociales ou financières voire d’agressions physiques. La censure est directe ou prend la forme d’une auto-censure rendue obligatoire par les pressions sociales, médiatiques ou légales.

C’est en réalité toute la Woke-culture et plus largement l’idéologie de gauche (« La gauche c’est l’égalité » Laurent Joffrin) qui auront tendance à nier les variations génétiques entre les individus. Pour ce mouvement majoritaire dans les médias, les Hommes sont des unités biologiques identiques, interchangeables : hommes, femmes, Européens, Africains, Arabes, Ashkénazes… auraient un cerveau strictement identique. C’est scientifiquement inexact.

A partir de là, les variations sociales observées en termes d’éducation, de choix de vie, d’aspiration, de tempérament, de niveau de violence… sont entièrement expliquées par des variations environnementales externes (effort fourni, enfance, culture, milieu social…).

Prenons deux exemples éloquents.

1. Pendant longtemps l’autisme a été expliqué par « la présence d’une mère froide » ou par « un style parental particulier ». On sait aujourd’hui que la cause est essentiellement génétique. Comme l’explique Karl Popper, l’explication biologique est première. C’est un des critères de causalité de Bradford Hill. A partir du moment où les causes génétiques de l’autisme ont été mises en évidence, les explications « environnementales » ont été balayées.

2. Il en va de même pour les ulcères d’estomac que l’on mettait typiquement sur le compte du stress et d’une nourriture épicée… En 1982 J. Robin Warren et Barry J. Marshall montrent que la plupart des ulcères stomacaux et gastriques sont causés par une infection à Helicobacter Pilori, et non par le stress ou la nourriture épicée. Cette découverte leur valut le prix Nobel de physiologie ou médecine 2005. Là encore, les croyances environnementales, qui étaient des explications ad-hoc, ont cédé leur place lorsque la causalité biologique a été mise en évidence.

Il en va de même pour la sociologie : on sait aujourd’hui que les variations socio-économiques entre les individus et entre les populations sont hautement génétiques. Les individus et populations avec une plus haute fréquence de gènes augmentant l’efficacité cérébrale (impliqués dans la neurogenèse, la plasticité cérébrale, l’arborisation neuronale…) réussissent mieux socio-économiquement en vertu d’un cerveau plus efficient. Pourtant cela n’empêche pas les médias, les journalistes ou les politiciens de continuer à expliquer ces différences par « la discrimination », « le racisme » et plus globalement par un ensemble d’arguments pseudo-scientifiques de type Woke.

Un jour il faudra que ces sociologues upgradent leur logiciel mental : les Hommes ne sont pas identiques biologiquement. Malheureusement il semble que les avancées scientifiques dans ce domaine se traduisent par une surenchère environnementaliste.

Cette causalité biologique des variations est évidemment perçue comme une menace directe par les égalitaristes qui font tout pour maintenir ces informations dans un placard verrouillé. Espérons que l’arbre du fanatisme ne cache plus trop longtemps la forêt scientifique…

1. Censure sur Wikipédia: suppression d’articles entiers

2. Rational-wiki

3. Censure d’études dérangeantes

4. Attaques personnelles, verbales ou physiques

5. Fraudes scientifiques pour contrecarrer les réalités inégalitaires dérangeantes

6. Les médias qui prennent parti, dépeignant souvent une fausse réalité

7. Pression sociale et licenciement.

8. Le système pénal de nombreux pays européens

9. Les expertes de l’intelligence et les gens informés… qui savent mais se protègent de 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8.

1. Censure sur Wikipédia: suppression d’articles entiers

De nombreux articles de Wikipédia se voient supprimer suite à des demandes répétées de groupes de pression. Deux exemples récents et très éloquents permettent de mieux comprendre:

(1) la suppression de l’article “Ashkenazy Jewish Intelligence” qui était en ligne depuis des années. La présence d’un groupe à haut QI (Ashkénazes) sur-performant dans tous les domaines intellectuels, chiffres à l’appui, allait évidemment à l’encontre de l’égalitarisme racial. C’est la raison pour laquelle l’article, pourtant abondamment sourcé par de nombreux journaux scientifiques internationaux, a été tout simplement supprimé. Les éléments démontrant la causalité hautement génétique de l’intelligence ashkénaze (haute fréquence de myopie congénitale, un trait corrélé positivement à l’intelligence et tout récemment les plus hauts scores polygéniques GWAS d’intelligence montrant que les ashkénazes avaient la plus haute fréquence d’allèles augmentant l’efficacité cérébrale) étaient probablement le plus problématique car il n’était plus possible pour les égalitaristes d’affirmer que ces différences d’intelligence étaient entièrement environnementales, ce qu’ils avaient l’habitude de faire. Par ailleurs si certains groupes plus intelligents sur-performent en vertu de leur plus haut QI, il est logique de penser que des groupes moins intelligents vont, spontanément, moins bien performer. Ces informations entrant en collision frontale avec l’idéologie antiraciste ont tout simplement été supprimées de Wikipédia.

(2) Un second article qui a subi des pressions considérables est “Human Genetic Clustering” qui a récemment été renommé ‘Human genetic diversity” (pour éviter le terme clustering!). L’analyse génétique permet en effet facilement de faire émerger des grands clusters de population, ce qu’on appelle communément “race” dans le règne animal dont nous faisons partie. Le problème est justement là: la possibilité de clusteriser, de diviser en groupes génétiques distincts l’espèce homo sapiens est insupportable pour de nombreux idéologues antiracistes.  L’article “Human Races” de Wikipédia est hautement surveillé et il y est affirmé que la subdivision raciale est une “tentative hasardeuse”. Bien sûr en se penchant ensuite sur l’article “Human genetic clustering” n’importe qui pouvait se rendre compte que cela n’avait rien d’hasardeux (une race est simplement un cluster génétique!).

2. Rational-wiki

Un autre angle d’attaque de la psychologie différentielle a été, pour les égalitaristes insatisfaits de Wikipédia, (qui pourtant est complaisant comme on l’a vu ci-dessus) de créer une variante d’encyclopédie en ligne idéologiquement beaucoup plus à gauche, c’est ainsi qu’est née “Rational-Wiki”. Contrairement à son nom, rational wiki est hautement idéologique. Les meilleurs chercheurs du monde sont dépeints comme des “néo-nazis pédophiles”. Le grand Robert Plomin de l’University College London est décrit comme un “pseudo-scientifique”, de même qu’Hans Eysenck (le psychologue le plus cité dans la monde), Richard Lynn, Linda Gottfredson et tous les grands noms de la recherche en intelligence ou génétique comportementale. La stratégie “rational wiki” est relativement efficace car un quidam qui se promène sur internet et désire se renseigner par exemple sur Robert Plomin va entrer son nom dans google et l’article rational-wiki, bien positionné dans les moteurs de recherche, peut facilement être confondu avec Wikipédia.

Les chercheurs commencent à prendre conscience du problème “A concerning development is the presence of a number of hamartographic pseudo-biographies (attack pages) hosted on a website called Rationalwiki.org, which by virtue of conflation with Wikipedia.org and undue prominence in search results, have the potential to inflict serious reputational harm upon intelligence researchers”6

3. Censure d’études dérangeantes

Des études dérangeantes car contrevenant aux préceptes du clergé égalitariste sont parfois tout simplement censurées. Cela a été le cas de plusieurs études de Rushton récemment (des études datant pourtant de 2012) qui montraient que dans l’ensemble du règne animal une pigmentation cutanée plus fonçée était associée à une plus haute agressivité et à une sexualité plus active, ce qui se retrouve évidemment également dans l’espèce homo sapiens…  “Do pigmentation and the melanocortin system modulate aggression and sexuality in humans as they do in other animals?”
Richard Lynn explique également comment le journal de Mensa International lui a finalement refusé une page de présentation sur son ouvrage “Race Differences in Intelligence, an Evolutionary Analyse”5   (Richard Lynn qui a pourtant gagné 3 années les US mensa awards pour son travail sur l’intelligence ! Il ne s’agissait pas d’une désapprobation de son travail par Mensa mais plutôt d’une auto-censure pour éviter les réactions négatives).

4. Attaques personnelles, verbales ou physiques

Quand on veut battre un chien, on trouve toujours un bâton. La méthode la plus simple pour invalider des études problématiques reste de s’en prendre à leur auteur pour décrédibiliser le messager. C’est ce que fait rational-wiki tout comme un grand nombre de personnes qui ne supportent pas ces réalités différentielles. (en général presque tous les socialistes et communistes pour qui l’égalité est plus importante que la réalité scientifique). Le journal “Mankind Quarterly” qui publie de nombreuses études sur les différences raciales est ainsi l’objet d’attaques particulièrement virulentes, mais les journaux Intelligence ou Personality and Individual Differences ont également été attaqués.

Noah Carl et Michael Woodley ont fait une compilation des attaques subies par les chercheurs en intelligence. Comme on peut le voir Arthur Jensen, le prix Nobel William Shokley et Hans Eysenck ont été les plus fréquemment visés. Eysenck a été physiquement agressé lors d’une conférence sur les différences raciales de QI.

Dénonciation, suspension, pétitions, protestations, menaces, attaques physiques et verbales… l’étude de l’intelligence et des différences raciales suscitent chez certains une grande animosité.

5. Fraudes scientifiques pour contrecarrer les réalités inégalitaires dérangeantes

Nyborg décrit de façon exhaustive les fraudes massives disséminées parfois jusque dans de grands journaux pour tenter d’invalider les réalités différentielles dérangeantes. Une excellente publication à lire pour comprendre la corruption idéologique qui règne aujourd’hui en anthropologie et dans plusieurs autres disciplines.

“The Greatest Collective Scientific Fraud of the 20th Century: The Demolition of Differential Psychology and Eugenics” Nyborg, 2011.

« Les attaques viennent de la gauche académique (GA), dont les membres croient que l’évolution peut fonctionner sans différence génétique inter-individuelle. On trouve également des universitaires religieux avec des individus guidés par un édifice idéologique interne qui génère de l’indignation morale vis-à-vis de ce qui s’y oppose.

Le deuxième groupe de critiques est un mix de professionnels, semi-professionnels, laïcs, féministes et idéologues politiques, tous unis par l’idée d’égalité – la croyance erronée que les gens seraient égaux sur le plan génétique et/ou phénotypique. Ce n’est pas tant une indignation morale ou religieuse, simplement perçoivent-ils l’existence de différences génétiques tenaces, qui génèrent des inégalités dans la société, dans les résultats scolaires et professionnels, comme un danger pour l’égalité.

Ils souhaitent éliminer les différences individuelles actuelles dans les domaines éducatifs et professionnels car ils les considèrent comme le résultat d’une discrimination injuste. La recherche sur l’intelligence et les variations inter-individuelles et raciales vient invalider les explications sociales. On sait par exemple que lorsqu’on contrôle pour le QI le salaire moyen aux USA est identique quelle que soit la race.

Ils prônent des changements sociétaux radicaux et trouvent tout à fait justifié d’exiger l’égalité de résultats pour tous dans tous les domaines de la société. Ils soutiennent chaleureusement les programmes internationaux d’harmonisation et de mondialisation, et recrutent des sympathisants AL (libéraux universitaires) qui croient en une société idéale où la bonne culture fait le bon citoyen, comme dans l’ex-Union soviétique. Ils soutiennent activement les futurs chercheurs en sciences sociales qui ne sont pas prêts à accepter un monde inégal « tel quel » et qui cherchent des solutions rapides pour changer le monde en un monde bien meilleur qui « devrait être ». Ils soutiennent sans réserve les programmes d’égalité dans les universités et exigent des systèmes de quotas raciaux et sexuels prédéfinis politiquement.

Beaucoup d’universitaires et de publicistes de ce groupe font carrière en disant à des gens bien intentionnés, honnêtes, mais mal informés ce qu’ils veulent entendre. Il y a lieu de rappeler que les premiers eugénistes ont promu l’égalité des chances (par exemple Crew, Darlington, Haldane, et al. (1939), mais que leur méthode pour atteindre l’égalité des résultats, à savoir une réduction de la prévalence des gènes nocifs, est complètement au-delà de l’horizon de planification des ingénieurs sociaux opportunistes d’aujourd’hui…

Plus les critiques égalitaristes sont exposés à des preuves des restrictions génétiques et évolutives sur l’égalité éducative, professionnelle, sexuelle, raciale et mondiale, plus ils attaqueront les notions de restriction, généralement sous la forme d’attaques ad hominem rarement utilisées par les partisans des causes génétiques des différences individuelles.

La littérature largement dispersée a finalement indiqué que « les moralistes sensibles », « les religieux disposés » et «les opportunistes pragmatiques» sont également prêts à utiliser des outils scientifiquement inacceptables pour intensifier leur destruction délibérée de DP et E. Cette observation a conduit à une caractérisation globale de la nature phénotypique de la démolition : La disparition de DP et E est le produit final d’une fraude scientifique éducative, religieuse et politique à multiples facettes, globale, collective, morale ou opportuniste. L’intensité de la démolition semble augmenter de façon exponentielle à mesure que les preuves scientifiques en faveur des restrictions biologiques s’accumulent. Les découvertes scientifiques provoquent la défensive et l’agressivité chez les protagonistes des idéologies non scientifiques de la même manière que la critique provoque la défensive et l’agressivité chez un employé ou un politicien incompétent chez qui on pointerait .

Ceci est une brève description de la plus grande fraude collective scientifique du 20ème siècle. D’autres ont attiré l’attention sur le problème à intervalles réguliers (par exemple Garrett, 1961 ; Eysenck, 1971 ; Rushton, 1995 ; Gottfredson, 1994, 2000 ; Nyborg, 2003) mais sans grand effet.

6. Les médias qui prennent parti, dépeignant souvent une fausse réalité

Les études montrent que 90 à 95% des journalistes sont de gauche. Beaucoup placent l’égalité comme prioritaire sur la véracité scientifique et de toute façon ils ne connaissent en général pas la littérature scientifique spécialisée. Hans Eysenck déjà il y a 50 ans (!) dénonçait des médias “qui créent des polémiques artificielles, qui prétendent que la question est débattue alors qu’elle est résolue…”. Les études d’opinion des experts de l’intelligence (individus ayant publié à plusieurs reprises sur le sujet dans des journaux scientifiques à comité de lecture) montrent qu’une “large majorité considère que le traitement médiatique et le débat public sur ces questions sont très inadéquats” et ils sont également majoritaires à être “très sceptiques sur la fiabilité des médias sur ces sujets et sur le fait qu’ils ne soient dignes de confiance ” (medias not trustworthy).
Les médias ont été jusqu’à inventer une fausse affaire de fraude pour discréditer Cyril Burt et pouvoir invalider la mise en évidence, dans les années 1970, de la haute héritabilité de l’intelligence. Les résultats de Burt sont en tous points identiques à ceux trouvés par les meilleures études scientifiques actuelles.
Les deux journalistes avaient monté de toute pièce une affaire de fraude en ayant clairement pour but de discréditer les résultats. Comme Cyril Burt venait de décéder, il n’a pas pu se défendre.

Helmuth Nyborg a été accusé de pédophilie par les médias danois. Le jeune Emile Kirkegaard, polymathe touche-à-tout qui s’intéresse particulièrement à la recherche sur l’intelligence et a à son actif plus d’une centaine d’études dans les meilleurs journaux mondiaux a eu droit à un article ignoble dans le journal suisse Le Temps « Dans le laboratoire de la fake-science ». La mise en évidence des différences raciales d’intelligence insupportait simplement la journaliste Judith Duportail.

Le journaliste communiste Julien Pain a récemment fait une émission sur la carte mondiale des QI dans laquelle il adopte une démarche tout à fait pseudo-scientifique en allant interviewer des quidams dans la rue. Il semble que sa devise « fact matter » ne s’applique pas lorsque les données contreviennent à son idéologie égalitaire.

7. Pression sociale et licenciement

Des groupes d’étudiants qui font pression pour demander le licenciement d’un professeur, des pétitions pour interdire la publication d’une étude (relayées par les médias !), des pressions pour exclure des étudiants qui traiteraient de ces sujets de façon “incorrect”… ce sont autant de difficultés qu’ont connu de nombreux chercheurs dans le domaine de l’intelligence.

8. Le système pénal de nombreux pays européens

Des lois répriment aujourd’hui l’expression des propos “racistes”. Les études sur les différences raciales tombent éventuellement sous ce qualificatif puisque, par définition, elles se penchent sur les différences entre les races. Un citoyen qui désirerait mettre en garde contre l’immigration à bas QI d’Afrique, études à l’appui, se verrait ainsi possiblement condamné. Aux USA le 1er amendement protège encore la liberté d’expression… mais des firmes privées n’hésitent pas à sanctionner les individus qui n’expriment pas une opinion convenue. Google a par exemple licencié un de ses dirigeants qui avait énoncé que “la sous-représentation des femmes dans les STEM était en partie due à des différences innées”. Le prix Nobel James Watson a été persécuté (en large part par les médias) pour ses propos sur les différences de QI entre les Africains et les Européens. Le prix Nobel William Shokley également.

9. Les experts de l’intelligence et les gens informés… qui savent mais se protègent de 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8.

Lorsqu’on se penche sur la littérature spécialisée, soigneusement capitonnée pour éviter qu’elle ne fasse d’écho, on s’aperçoit avec éventuellement une immense surprise des données disponibles, des arguments taillés dans le roc, des manipulations d’informations…

Stephen Pinker, professeur de psychologie à Harvard, dénonçait il y a peu la censure de ces informations. “Des individus très éduqués peuvent avoir un sévère contrecoup lorsqu’ils s’aperçoivent qu’on leur a menti des années, durant tout leur cursus éventuellement, sur les différences raciales”.

Les enquêtes d’opinions montrent que plus de 90% des experts de l’intelligence (individus ayant publié à plusieurs reprises sur le sujet dans des revues à comité de lecture) considèrent que “les gènes sont au moins partiellement responsables des variations d’intelligence entre les populations”.

Jean HANSEN, biologiste et webmaster de intelligence-humaine.com (fr) et human-intelligence.org (en)

Références

“Taboo genetics” Nature, 2013. 

“Survey of expert opinion on intelligence: Intelligence research, experts’ background, controversial issues, and the media” Intelligence, 2020.

“Should Research on Race and IQ Be Banned?” Scientific American, 2013

“Dodging Darwin: Race, evolution, and the hereditarian hypothesis” Personality and individual differences, 2020

“James Watson’s most inconvenient truth: Race realism and the moralistic fallacy” 2008

“Reflections on Sixty-Eight Years of Research on Race and Intelligence“2019

“A scientometric analysis of controversies in the field of intelligence research” Intelligence, 2019

RETRACTED: Do pigmentation and the melanocortin system modulate aggression and sexuality in humans as they do in other animals?

“The Greatest Collective Scientific Fraud of the 20th Century: The Demolition of Differential Psychology and Eugenics” 2011.

Steven Pinker, professeur de psychologie à Harvard, ashkénaze, démocrate, qui a déjà fait plusieurs conférences sur les différences raciales notamment d’intelligence, considère que “gravitent autour de l’Alt-right (la droite racialiste américaine, qui a soutenu Trump et s’oppose à l’immigration hispanique à bas Q.I) des gens intelligents, éduqués scientifiquement et perspicaces sur les mensonges médiatiques”. Il poursuit “Des personnes très éduquées et intelligentes peuvent avoir un sévère contrecoup quand elles réalisent que les académies et les médias leur ont menti durant leur vie entière” (vraisemblablement: sur les variations raciales).

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine 

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4 réponses à “Races et intelligence. Censure et violence contre les chercheurs et les scientifiques….”

  1. Pschitt dit :

    La pire de la situation est probablement l’autocensure. Elle dissuade les chercheurs de travailler sur les questions d’intelligence de peur de faire des découvertes politiquement incorrectes. Un chercheur qui proposerait explicitement de travailler sur les différences raciales de QI aurait peu de chances de trouver un financement et un laboratoire. Et si même il y parvient, il mettra en danger la suite de sa carrière. Ses perspectives seraient sûrement différentes s’il proposait une recherche destinée à prouver définitivement (1) qu’il n’y a pas de races, (2) qu’il n’y a pas de différences de QI entre elles ! (Mais bizarrement, personne ne se lance…)
    Ce n’st pas nouveau. Au 17e siècle, les astronomes ne croyaient plus du tout au géocentrisme mais préféraient ne pas se prononcer afin d’échapper aux ennuis subis par Galilée (qui, il est vrai, avait fait un peu de provocation).

    • Erwan Berric dit :

      Encore plus pervers: si un « chercheur » faisait une étude bidon, sur des bases falsifiées et en inventant de toutes pièces des statistiques fantaisistes, et que ses conclusions apportaient la preuve que le Q.I. des Blancs est inférieur à celui des autres races, non seulement on ne nierait plus l’existence des races mais on accepterait, sans vérifier, ces conclusions mensongères.

  2. le sith rouge dit :

    La 1ère discrimination positive aux US a été pour les protestants et catholiques blancs contre les ashkénazes blancs aussi… venus en masse de l’Est.

    La censure progressiste a oublié l’effet Lynn, inversion de l’effet Flynn sur Wikipedia : inversion de l’augmentation du QI en Occident depuis qu’on le mesurait, que certains impies soupçonnent d’être du au glands remplacement…

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Flynn#Interpr%C3%A9tations_de_l%27arr%C3%AAt_ou_r%C3%A9gression_de_l%27effet_Flynn

    Darwin, un autre impie:
    « L’origine des espèces au moyen de la sélection naturelle ou la préservation des races favorisées dans la lutte pour la survie »

    Le destin de l’Occident est tout tracé : progressistement vers le film Idiocracy

  3. patphil dit :

    diabolisation des blancs, autoflagellation des occidentaux, déconstruction par les élites mêmes y compris l’homme

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