En l’espace d’un an, les Sleeping Giants ont réussi à convaincre plus de 100 annonceurs de retirer leurs investissements publicitaires de titres comme Valeurs Actuelles, CNews, Boulevard Voltaire et de nombreux autres sites accusés d’être de droite ou « mal-pensant » ou encore dissidents.
Une véritable campagne de terrorisme économique visant à assécher les ressources et donc, à tuer ces médias.
D’où la naissance d’une initiative pour lutter contre ce terrorisme. Les Corsaires.
« Face à cette atteinte grave à la liberté d’expression, nous constituons les Corsaires, chargés historiquement de s’interposer entre les vaisseaux pirates et les navires de la marine marchande. Nous entendons jouer le même rôle : Nous allons recruter via notre site une armada de 10 000 corsaires. Dès qu’une nouvelle entreprise sera invectivée, ils recevront sur leur mail ou leur portable les visuels et les arguments pour écrire immédiatement un post dissuadant la marque de céder aux Sleeping Giants. Le but est que la marque se ravise devant cette déferlante de message la dissuadant de céder » indiquent les instigateurs de la riposte aux Sleeping Giants.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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6 réponses à “Face au terrorisme économique, les Corsaires partent en guerre contre les Sleeping Giants”
Les corsaires, à leur tour, doivent contacter les publicitaires des médias de gauche pour leur demander « gentiment » de suspendre leurs annonces dans ces parutions .
bravo !!!!!!!
Belle initiative !
Noble Combat pour ces nouveaux Corsaires contre l’obscurantisme de la mafia mondialiste mère porteuse d’un progressisme de crapules et d’un humanisme criminel.
Il serait bon que des grands titres comme Valeurs Actuelles, mais aussi tous les autres media victimes publient la liste des marques qui les tiennent à l’écart. Leurs lecteurs et auditeurs sauront traiter cette information.
j’étais fidèle à une marque de lunettiers qui boycottait cnews lorsqu’ils ont engagé eric zemmour
lorsqu’il m’ont envoyé une relance , je leur ai dit pourquoi je les boycotterait ; depuis j’ai changé d’opticien