En ce jeudi 14 octobre 2021, BVA en partenariat avec Orange et RTL, lance son dispositif de suivi de la campagne présidentielle avec la publication de la 1ère vague des intentions de vote. Dans tous les scénarios présentés pour le moment, Emmanuel Macron l’emporterait haut la main au Premier tour de l’élection présidentielle, ce qui peut sembler fascinant eu égard de la politique destructrice et tyrannique menée depuis 5 ans.
Plus de sept Français sur dix déclarent s’intéresser (72%) à l’élection, dont plus de quatre sur dix « beaucoup » (41%). 70% des électeurs interrogés déclarent en effet à ce jour une intention certaine d’aller voter au premier tour de l’élection présidentielle. À ce jour, près d’1 électeur sur 2 ayant l’intention de voter n’est pas sûr de son choix, tout est donc encore ouvert, alors que la campagne n’a pas réellement commencé
- S’il était candidat à sa réélection et si celle-ci avait lieu maintenant, Emmanuel Macron arriverait en tête du premier tour quel que soit le cas de figure. Il apparaît en effet crédité de 26 à 28% des intentions de vote dans l’hypothèse d’une candidature d’Éric Zemmour et Marine Le Pen. Et il recueillerait entre 28 et 30% des suffrages exprimés dans l’hypothèse où Eric Zemmour ne serait pas candidat.
- Dans tous les cas, Emmanuel Macron ferait mieux que son résultat de 2017. S’il parvient à capitaliser sur son socle électoral (entre les deux tiers et les trois-quarts de ses électeurs au premier tour de 2017 voteraient à nouveau pour lui), il rassemblerait également derrière lui une partie des électeurs de Benoît Hamon (environ un quart) ainsi que de François Fillon (plus ou moins un tiers selon les hypothèses).
- À noter enfin que ce socle électoral semble plutôt « robuste » : entre 72% et 81% (selon les hypothèses) des électeurs ayant l’intention de vote pour le Président sortant se déclarent « sûrs de leur choix ».
- Dans l’hypothèse où Eric Zemmour ne serait pas candidat, Marine Le Pen serait assez clairement en mesure de se qualifier pour le second tour, en deuxième position derrière Emmanuel Macron, faisant mieux elle aussi que son résultat de 2017, avec 24 à 25% des intentions de vote.
- Si Eric Zemmour se porte candidat, Marine Le Pen serait en revanche mise en difficulté et recueillerait 16 à 17% des suffrages exprimés. Elle devancerait d’une courte tête le polémiste qui lui apparaît crédité de 13 à 14% des intentions de vote. Au regard des marges d’erreur, autant dire qu’ils seraient au coude à coude.
- Eric Zemmour, s’il se présentait, attirerait environ un quart des sympathisants LR, un quart des sympathisants RN (tout comme un quart des électeurs de Marine Le Pen au premier tour de 2017) et un gros tiers des sympathisants de Debout La France.
- À noter toutefois que le socle électoral de la présidente du RN apparaît aujourd’hui comme le plus solide : environ 8 de ses électeurs potentiels sur 10 sont « sûrs de leur choix », un résultat de près de 20 points supérieur à celui d’Éric Zemmour mais qui, lui, n’est pas candidat.
- Dans l’attente de son congrès qui devrait aboutir à la désignation d’un candidat LR unique, la droite traditionnelle apparaît pour le moment à la peine.
- Valérie Pécresse recueillerait 10 à 12% des voix, Michel Barnier entre 8,5 et 10%. Xavier Bertrand ferait un peu mieux avec 12 à 15% des intentions de vote, mais en l’état actuel des choses, cela ne suffirait pas pour lui permettre d’accéder au second tour.
- La gauche apparaît émiettée pour ne pas dire « en miettes ». Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot font jeu égal avec 8 à 8,5% des intentions de vote selon les hypothèses. Anne Hidalgo arriverait assez nettement derrière avec 4% d’intentions de vote, au coude à coude avec Arnaud Montebourg (4% des intentions de vote également).
- En termes de solidité du socle électoral, c’est le leader de la France Insoumise qui peut s’appuyer sur le plus robuste (entre les deux tiers et les trois-quarts de ses électeurs sont sûrs de leur choix) quand, à l’inverse, Anne Hidalgo a aujourd’hui le plus friable.
- À noter cependant : quelle que soit la configuration, Jean-Luc Mélenchon ne parvient pour le moment qu’à conserver les intentions de vote d’à peine la moitié de ses électeurs de 2017 (entre 41 et 44%).
- Toutes candidatures confondues, la gauche cumulée recueille 27% des intentions de vote, un niveau comparable à son résultat au premier tour de 2017. Si les sympathisants PS sont très partagés et voteraient à part égale en faveur d’Arnaud Montebourg, d’Anne Hidalgo ou d’Emmanuel Macron, les électeurs de Benoît Hamon sont plus nombreux à être attirés par Yannick Jadot. Signe qu’à gauche, pour le moment, aucun leader ne se détache clairement aux yeux de l’opinion
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Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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4 réponses à “Présidentielle 2022. Emmanuel Macron en tête dans tous les scénarios ?”
FAKE NEWS orchestrée par les collabos lrem et journalopes de m….e
Avec tout ce qu’il nous a fait comme mal et comme misères depuis qu’il est élu des Français pourraient encore voter pour lui ?
C’est vraiment IN-CROY-ABLE !!!!!
Les sondages ne sont que des « fake news » et devraient être interdit définitivement !!! De plus, ils influencent un nombre important d’ électeurs incultes !!!
et au 2è tour, réélu grace aux syndicats (cfdt en tête), aux « insoumis » à la gauche « républicaine » à la droite mollassonne, aux écolos et autres zopposants actuels