Les Français ont été saisis à la gorge depuis l’obligation du port du masque. Ils ne sortiront plus, si ils ne se réveillent pas, de la spirale tyrannique imposée par les autorités républicaines du pays. Ainsi, l’entourage du Premier ministre a annoncé qu’un projet de loi pour prolonger la mise en place du pass sanitaire était « en cours d’élaboration » et serait « présenté le 13 octobre en Conseil des ministres ».
Le projet de loi pourrait prlonger aussi le régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire, qui se termine le 31 décembre. La question se pose pour le gouvernement de le proroger pour deux mois, jusqu’à fin février, fin de la session parlementaire, ou au-delà de la présidentielle…
L’application du pass, mis en place depuis le 21 juillet, devait initialement prendre fin le 15 novembre prochain. Les promesses n’engagent que ceux qui y croient.
Pourtant, face à une amélioration de la situation de l’épidémie de Covid-19 en France, le président Emmanuel Macron s’était dit prêt jeudi à « lever certaines contraintes » dans les « territoires où le virus circule moins vite », sans s’avancer plus que cela. Nous ne sommes pas loin de la torture psychologique des masses qu’évoquaient déjà certains dissidents il y a quelques mois.
Dans le même temps, les mobilisations contre le pass sanitaire s’affaiblissent mais se poursuivent, depuis deux semaines. Un affaiblissement sans doute lié à une lassitude des manifestants face à la sourde oreille des autorités. Mais aussi face à une méthode (la manifestation déclarée et pacifique) qui semble ne porter ses fruits que lorsque l’Etat se trouve face à certaines corporations organisées dont le baromètre de la contestation se résume souvent au montant inscrit sur le chèque qui est attribué à telle ou telle profession.
Telles que les choses se présentent, personne ne peut dire combien d’injections vont être recommandées, puis obligatoires, dans les prochains mois, dans les prochaines années. Ni combien d’interdictions, d’obligations, d’injonctions vont être mises en place, aujourd’hui sur la question faussement nommée sanitaire, et demain, sur l’écologie ? Sur le social ? (à noter qu’il n’est par contre jamais question du moindre « pass migratoire » qui permettrait aux Européens de vivre en sécurité sur leur continent…)
Voici ce que Lucien Cerise dit dans son interview récemment publiée sur strategika.fr et intitulée « Pass sanitaire, biopolitique et apartheid social » :
« L’effet d’hypnose et de sidération du récit de la « pandémie meurtrière » s’effrite chaque seconde un peu plus. Nous sommes dans une opération d’ingénierie sociale de type « conduite du changement », méthode de management théorisée par un certain John Kotter, visant à fabriquer le consentement au changement dans un groupe, même quand c’est inutile ou nuisible, et composée de huit étapes dont la première consiste à créer un sentiment d’urgence dans le groupe cible. (2) Le sentiment d’urgence qui doit pousser le groupe à changer peut avoir une cause réelle, mais aussi fictive ou semi-fictive, véhiculée par des paroles et des images qui supplantent le réel, tel est le mécanisme de l’hypnose. Le résultat est le même au début, mais avec le temps, avec le recul, la part de fiction commence à s’étioler, les gens se déprennent des paroles et des images hypnotiques, ils reviennent à eux-mêmes et ne croient plus qu’il est nécessaire de changer. Comme le reconnaît à demi-mots Klaus Schwab – lui-même professeur de management industriel – la fenêtre de possibilité est courte avant que le subterfuge ne soit entièrement dévoilé.
Le pouvoir est donc engagé dans une course contre la montre, d’où sa fébrilité, car chaque minute fait diminuer le sentiment d’urgence, donc le stress, donc le consentement au changement, et fait avancer la vérité et le retour du réel, en position de limite critique à la narration politico-médiatique managériale virtuelle. Nous pouvons observer autour de nous la baisse lente mais irrésistible de ce sentiment d’urgence dans l’opinion publique et les comportements. L’un des services de renseignement français, le Service d’Information du Gouvernement (SIG), mesure chaque semaine le taux d’inquiétude de la population, qui détermine son taux d’acceptation des restrictions, donc de soumission et d’obéissance au changement de société du Great Reset. (3) C’est très exactement ce levier de psychologie sociale que le pouvoir essaye de contrôler avec la phraséologie de la « crise », pour essayer de la créer avec des mots, et nous devons le concurrencer sur ce terrain rhétorique en tirant dans l’autre sens, c’est-à-dire en faisant baisser le taux d’inquiétude et le sentiment d’urgence, ce qui est plus facile car nous avons le temps et les faits avec nous, et pas seulement des éléments de langage. »
Sur le vaccin :
« Que produit la substance active des quatre vaccins autorisés et injectés en France ? Il y a deux vaccins à OGM, AstraZeneca et Janssen, et deux vaccins à ARN messager, Pfizer et Moderna. (9) On connaît la toxicité des Organismes Génétiquement Modifiés dans l’alimentation : j’ai des doutes quant au fait que cela deviendrait salvateur quand c’est injecté dans le bras. Quant aux vaccins à ARN messager, ils passent l’ordre à nos cellules de produire une molécule infectieuse du virus, la protéine de pointe, ou protéine Spike en franglais : « Les scientifiques synthétisent la séquence ARNm de production de la protéine Spike au sein d’une vésicule lipidique (sous forme de lipide, donc de sérum) appelée liposome. Une fois l’injection de cette vésicule faite dans le haut du bras, le processus de transcription et de traduction suit son cours : les ribosomes vont lire l’ARN messager, puis les cellules vont produire la protéine Spike. Le système immunitaire découvre une protéine qui n’est pas censée être là, ce qui entraîne une réponse et apprend au corps à détruire le pathogène.
Contrairement à un vaccin traditionnel, l’entraînement est entièrement auto-généré par le corps, qui produit lui-même les protéines. » (10) Or, le corps humain ne produit pas naturellement cette protéine. On est donc véritablement « augmenté », au sens transhumaniste, car on acquiert une nouvelle capacité – qui plus est, une capacité pathogène du sars-cov-2, ce qui lance une véritable guerre civile dans le corps, qui doit se battre contre lui-même puisqu’il se met à produire lui-même synthétiquement ce que l’on reproche au virus. Nous devenons notre propre bourreau, notre propre agent contaminateur. C’est une violence inédite infligée aux cellules et au corps, et c’est ainsi que débutent les cancers, par un stress cellulaire intense. Il faut ensuite de 3 à 5 ans en moyenne entre les premières divisions cellulaires sous l’effet du stress – purement physique ou psychosomatique – et les premiers symptômes. Le groupe test des vaccinés va donc connaître une vague de cancers d’ici 5 ans, mais pas le groupe témoin, et c’est pour ça que le pouvoir veut injecter absolument tout le monde (sauf lui-même), pour qu’il n’y ait pas de groupe témoin survivant, qui permettrait d’accuser les vaccins. »
Pour conclure, n’oubliez pas ces cinq étapes: le déni, la colère, le marchandage, la dépression et l’acceptation.
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Une réponse à “Tyrannie sanitaire. Un projet de loi pour prolonger le pass sanitaire sera présenté le 13 octobre”
Imaginez une nouvelle Peste, où mieux, un généticien découvrant le secret de l’immortalité…
L’homme du moyen-âge ne s’en faisant pas tant, il allait juste se confesser.
La grippe espagnole n’a pas empêcher la bringue d’après guerre des années folles.
La grippe asiatique n’a pas impressionné De Gaulle, la tété en a à peine parlée.
« Je suis le propriétaire de ma puissance, et je le suis quand je me sais ‘Unique’. Dans l’ ‘Unique’, le possesseur retourne au Rien créateur dont il est sorti. Tout Être supérieur à moi, que ce soit Dieu ou que ce soit l’Homme, faiblit devant le sentiment de mon unicité et pâlit au soleil de cette conscience. Si je fonde ma cause sur Moi, l’ Unique, elle repose alors sur son créateur éphémère et périssable qui se consomme lui-même et je puis dire : Je n’ai fondé ma cause sur rien. » Max Stirner
Bobo l’Unique, le narcissique à vomir ultime, n’a que lui-même comme cause, fini la lignée, la cité, la nation, l’âme, les lendemains qui chantent comme œuvre qui le perpétue au delà de lui-même. N’avoir aucun surmoi à réaliser, cathédrale où pays, entreprise où idéal politique, rend bobo totalement libre… devant son auge.
Mais dans son essence libérale libertaire il y a une dialectique, une contradiction: ne baser sa cause que sur soi-même narcissiquement c’est s’en remettre à un seul servilement; aussi petit gibus Covid le muselle déjà avec un slip, le confite des mois. Imaginez la peste où la mort de la Mort. Le gôôôcho libertaire est déjà un petit caniche par peur d’une mortalité de 0,5%. Loin du pontonnier de la Bérézina où du casque d’acier.
Foucault: la prochaine dictature sera sanitaire, au nom de l’individu ironiquement. C’est la contradiction de l’essence bobo; pour être libre de polluer très vieux il appellera un Léviathan fasciste au final, en charge de bien garder la nouvelle espèce trans-humaine de sous-humains espérant l’immortalité, redevenus même pas des animaux, car au moins l’animal à l’instinct de la famille, pas le bonobobo qui ne fait plus d’enfant pollueur.
Alors l’immortelle larve aura ses gardiens drones cyborgs, son inquisition IA contrôle social, son état total bienveillant genre Meilleur des Mondes avec son soma bio pour shitteux gogochons. Et on mettra ceux qui rêvent encore de défier La Mort sur une Île (pour alpinistes)