Le scénario est lunaire, mais en dit long sur l’imprégnation gauchiste et laxiste d’une partie de la magistrature nantaise. Alors que le préfet de Maine-et-Loire avait ordonné en avril l’expulsion immédiate d’un Soudanais de 21 ans, venu avec sa famille en France en 2012, et depuis bénéficiaire du statut de réfugié, le tribunal de Nantes a suspendu cette arrêté d’expulsion.
Pourtant, le migrant soudanais n’est pas vraiment ce que l’on peut appeler un homme intégré : 10 condamnations au casier judiciaire (n’aurait-il pas dû gagner son billet d’avion pour le Soudan dès la première ?), des histoires de stupéfiants et de trafics…mais un avocat de l’accusé, Me Hamid Kaddouri, qui explique, comme le rapporte Ouest-France, « que cette mesure d’expulsion est une décision extrême et disproportionnée, alors qu’il ne s’agit que de répondre à des difficultés de droit commun »
Le tribunal a donné raison à Maitre Kaddouri expliquant que l’individu en question ne constituerait pas une grave menace pour l’ordre public (combien de condamnations faut-il ?) légitimant une expulsion, cette dernière étant une « atteinte au droit de mener une vie familiale normale, protégé par la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme, et alors même que toute la famille du garçon vit désormais en France »
Les autochtones ne sont de facto plus maîtres chez eux puisqu’une partie de la magistrature ne rend plus la Justice au nom du peuple. Jusqu’à ce qu’une personnalité politique nouvelle se décide à nettoyer les écuries d’Augias ?
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Une réponse à “Nantes. Malgré 10 condamnations, l’expulsion d’un migrant délinquant soudanais suspendue par un magistrat”
Il y a désormais deux catégories de français: les immigrés qui ont tous les droits et les Français de souches qui ont tous les devoirs en particulier de se soumettre à une justice qui réprime toute contestation de ces différences de traitement. Avant la révolution nous avions la noblesse le clergé et le tiers état soumis à des règles différentes. Aujourd’hui nous avons des français catholiques ou assimilés, qui subissent toutes les lois, des Juifs protégés par les lois mémorielles ad hoc et les musulmans protégés par les « droits de l’homme ». Ces communautés ne se mélangent guère et obtiennent de l’état de plus en plus de lois communautaires.