Une récente enquête menée par le groupe de réflexion affilié à George Soros, le Conseil européen des relations étrangères (ECFR), et portant sur 12 pays de l’Union européenne, a révélé que les Hongrois sont près de deux fois plus nombreux à se sentir libres dans leur vie quotidienne que leurs homologues allemands. Ces résultats soulèvent des contradictions gênantes pour la vision dominante de gauche diffusée par des médias partiaux et les fondations qui classent la « liberté ».
Selon les résultats de sondages réalisés par Datapraxis, YouGov, AnalitiQs, Alpha et l’institut de sondage hongrois Szondaphone, 88 % des Hongrois ont répondu qu’ils étaient partiellement ou entièrement libres (le meilleur résultat parmi les 12 pays inclus dans l’étude). En Allemagne, qui arrive en dernière position, suivie de près par l’Autriche, ce chiffre n’est que de 46 %. Par ailleurs, près de quatre fois plus de Hongrois que d’Allemands ont déclaré se sentir libres, soit 41 % contre 11 % respectivement.
Les résultats de l’enquête sont pour le moins intéressants et devraient faire réfléchir, surtout si l’on tient compte du fait que la Hongrie est dans la ligne de mire des ONG depuis des années, ces organisations étant particulièrement désireuses d’affirmer que les gens ne sont pas libres en Hongrie ou de tirer la sonnette d’alarme sur le fait que le pays se rapproche de la dictature. Par exemple :
Le fameux rapport « Freedom in the World 2020″ de Freedom House a classé l’Allemagne comme l’un des pays les plus libres du monde, lui attribuant une note de 94 sur 100. Il a donné 69 points à la Hongrie et l’a qualifiée de pays qui « n’est plus une démocratie ». Bien entendu, il faut toujours prendre avec du recul les évaluations constamment négatives de la Hongrie par Freedom House, car cette organisation s’appuie chaque année sur un cercle de pseudo experts et de contributeurs issus des mêmes cercles de gauche.
Mais il semble clair que, lorsqu’on leur pose la question directement, les citoyens des pays qui sont continuellement mal classés sur la liste de Freedom House ont tendance à avoir une opinion bien différente de celle des « experts » de l’organisation financée par Soros. Et le rapport de l’ECFR va encore plus loin. Non seulement les Hongrois se sentent plus libres que la plupart de nos voisins occidentaux, mais ils soutiennent massivement les politiques de leur gouvernement, notamment en ce qui concerne sa gestion de la pandémie de coronavirus.
Le graphique ci-dessus montre que 71 % des Hongrois ont évalué positivement la gestion du coronavirus par le gouvernement Orbán et ont déclaré que la sévérité des restrictions déployées était « à peu près correcte ». Le même chiffre en France, par exemple, n’était que de 33 %.
Mais la lutte contre le coronavirus n’est pas le seul domaine politique dans lequel une majorité massive de Hongrois soutient le gouvernement du Premier ministre Orbán, malgré les nombreuses critiques internationales et libérales. Les efforts du gouvernement hongrois pour mettre fin à l’immigration illégale, protéger l’héritage judéo-chrétien de l’Europe, soutenir les familles et empêcher les militants LGBTQ de faire la leçon aux enfants sans le consentement des parents ne sont que quelques exemples des nombreux domaines où les intentions du gouvernement correspondent étroitement à la volonté du peuple hongrois.
Photo d’illustration : DR
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