Le ministère des Armées ne déroge pas à la constante du gouvernement actuel, à savoir de se dédire sans vergogne sur le sujet des restrictions sanitaires et obligations d’injection des thérapies expérimentales à ARNm (appelées par abus de langage vaccins).
En mars 2021, un lanceur d’alerte avait dénoncé l’arrivée de l’obligation vaccinale pour tous les militaires désignés pour partir en opération. Interrogé par les journalistes, le ministre des Armées avait répondu que c’était une « fake news » et que les militaires, jeunes et en bonne santé, n’étaient pas une population à risque, et donc n’étaient pas concernés par cette « vaccination » obligatoire. Les médias s’alignaient docilement sur cette réponse pour « débunker les fake news ».
Revirement en mai : Une note impose l’injection aux militaires désignés pour partir en mission, complétée par une autre note en août qui impose l’injection à tous les jeunes engagés, à tous les centres de formations et écoles, à tous les militaires engagés en opération intérieure ou extérieure, ainsi qu’à tous les pompiers militaires et les membres du service de santé des armées(SSA). Pour ceux qui connaissent l’Armée, cela revient, à quelques rares exceptions près, à l’obligation vaccinale pour tous.
Interrogé sur ce revirement, le cabinet du Ministre justifie que pour la note du mois de mai, le contexte a changé avec un nombre de doses disponibles largement supérieur, et donc qu’on peut s’offrir le luxe de vacciner de manière préventive les militaires. Pour la note du mois d’août, l’alignement sur les lois nationales pourrait s’entendre concernant les pompiers et le SSA, mais aucunement pour le reste. Les médias s’alignent sur cette réponse « juste et équilibrée ».
Quoi qu’il en soit, et comme partout ou l’injection expérimentale est imposée, de nombreuses voix s’élèvent contre cet ordre considéré comme illégal et contre-productif. Une procédure est donc lancée par un collectif de gendarmes et de militaires d’actives auprès de maître Guyon, avocat au barreau de Montpellier, pour s’opposer aux sanctions subies par des militaires ayant refusé cette injection.
Car, si la majorité des militaires est aujourd’hui vaccinée, c’est pour une large partie d’entre eux sous la contrainte et à contre cœur. Car, outre l’interdiction de partir en mission, qui est le fondement de leur engagement, ils s’exposent à de lourdes sanctions disciplinaires, assorties de mutations dans des placards dans le meilleur des cas, et à des radiations dans le pire des cas. Ils s’exposent même pour certains (pompiers et SSA) à une suspension de leur activité et de leur solde sans pour autant être libérés du statut de militaire. Ils ne peuvent donc pas rechercher un travail ailleurs !
Certains, malgré tout, résistent face à cette pression démesurée pour des jeunes engagés ou des chefs de familles parfois nombreuses. On ne peut pas les taxer d’antivaccins, car ils sont déjà multi-vaccinés depuis leur engagement. Mais cette nouvelle injection expérimentale est bien trop problématique éthiquement, médicalement, juridiquement et politiquement pour être considérée de la même manière. Sûrs de leur bon droit en refusant d’appliquer un ordre illégal, ils estiment mieux servir la France en refusant l’injection, obligeant ainsi leurs chefs à se poser la question morale qu’ils éludent par facilité.
Face à un grave problème d’effectif déjà en amont de la crise, les Armées vont-elles encore aggraver leur cas pour de vaines politiques pseudo-sanitaires en refusant des volontaires à l’engagement et en écartant des personnels sains, qualifiés et pour beaucoup aux états de service exemplaires ? Sans parler des effets secondaires nombreux qui subissent l’OMERTA du SSA. Un militaire faisait une remarque pertinente sur l’aspect grotesque de la situation :
« On nous reproche de nous rendre volontairement inapte au service en refusant l’injection expérimentale. Mais c’est le contraire ! Ce sont eux qui nous mettent volontairement inaptes au service alors qu’on est apte. Et leur injection dont les risques sont supérieurs aux avantages pour les jeunes peuvent réellement nous rendre inaptes ! Aujourd’hui, un militaire qui se laisse aller physiquement mais vacciné (potentiellement porteur du COVID) est apte alors qu’un jeune sportif non vacciné est inapte. C’est complètement délirant ! »
Par ailleurs, dans la gendarmerie, un recours a été lancé suite à une sanction contre un gendarme qui avait critiqué l’obligation vaccinale dans un mail privé à ses collègues et dénoncé par l’un d’eux. La critique de l’obligation vaccinale est en effet interdite par une note interne de la gendarmerie, ce qui ne surprend plus mais qui n’est pas forcément légal. Des listes de personnels non-vaccinés sont demandées par certains échelons de commandement, hors de toute légalité également. Des pressions énormes sont exercées depuis mars pour certaines unités, hors de tout texte réglementaire. Le travail de maître Guyon vise à combattre ces abus inacceptables.
On en est là…
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2 réponses à “Vaccin. L’injection obligatoire pose problème chez les militaires”
cela pose d’autant plus de problèmes pour les militaires, qu’on a constaté une augmentation significative des myocardites chez les personnes vaccinées, et /ou ayant eu le codi, comme indiqué ce matin 2 septembre par. Cnws par la spécialiste médicale à l’émission de 8h30 -9heures, une gros exercice sportif pratiqué par une personne atteinte d’une myocardite, pouvant avoir
des conséquences facheuses…. plusieurs cas de morts subites n’ont-elles pas été signalées et survenues dans des conditions analogues mérieterait un minimum de prudence…..
Si vous n’avez pas encore compris qu’ils veulent vous esclavager , vous rendre complètement ramollis du cerveau et en fin de compte vous « tuer » c’est que vous êtes de vrais moutons ( de Panurge )