Un prêtre a été tué lundi 9 août à Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée) dans les locaux où résidait sa communauté. Un rwandais de 40 ans s’est rendu à la gendarmerie dans la matinée et s’accuse du meurtre de l’homme d’Eglise. Une enquête a été ouverte pour « homicide volontaire ». Le suspect, Emmanuel Abayisenga, avait déjà été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de l’affaire de l’incendie de la cathédrale de Nantes en juillet 2020.
Quelques heures après son placement en garde à vue, cette dernière a été levée pour raisons psychiatriques (rappelons que le suspect était sous le coup de 3 OQTF, obligations de quitter le territoire français, cassées à chaque fois par un juge du tribunal administratif de Nantes). Cette dernière présentait en effet une « incompatibilité avec son état de santé » selon l’AFP.
Nous vous proposons ci-dessous les réactions d’un riverain venu accueillir Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, ainsi que l’interview de Guillaume Jean, vice-président du conseil départemental 85.
L’accueil de Darmanin hier à Saint-Laurent sur Sèvre.
La réaction de Guillaume Jean
La réaction d’un riverain en colère
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3 réponses à “Meurtre à Saint-Laurent sur Sèvre. « On m’oblige à porter un masque pour prendre un café, mais un immigré délinquant en situation irrégulière, aucun problème…» [Vidéo]”
Pendant des années, cet assassin a été considéré comme un brave type qui ne demandait qu’à bien faire. On voit le résultat. En presque neuf ans de présence en France, il ne s’est pas intégré, au contraire : il est devenu fou. Il suffit de se promener dans le centre de Nantes pour se dire qu’il n’est sûrement pas le seul.
Combien avons-nous aujourd’hui en Bretagne de braves types qui ne demandent qu’à bien faire ? (Avec un bémol : ils ne sont pas prêts à respecter la loi si on leur délivre une OQTF. Respecter la loi, c’est bien. Sauf quand on préfère pas.)
Cette ordure n’est ni rwandaise, ni Chrétienne, mais somalienne et musulmane.
Tout est mensonge chez ce déchet marron.
On pourrait déjà se poser les trois questions suivantes :
1) Quelqu’un pourrait-il dire ici si les évêques peuvent faire l’objet d’une enquête canonique pour des faits des cette nature ?
2) Il serait intéressant par ailleurs d’avoir le point de vue du ministre de l’Intérieur donnant des instructions au Parquet, afin de savoir si l’enquête pénale ne peut pas faire une jonction entre l’incendie criminel de la cathédrale de Nantes et ce meurtre dont dans l’un est l’autre cas, l’auteur est le même ; cette enquête pénale pourrait-elle mettre en cause les deux évêchés concernés “employeurs” du même meurtrier et incendiaire ?
3) Enfin, des associations de fidèles compétentes en cette matière ne pourraient-elles pas se porter partie civile ou écrire au nonce pour demander l’enquête canonique (deux points de cette alternative à vérifier sur le plan juridique). ?
Et, réflexion faite, puisque l’on rend, sans recul, un hommage au prêtre montfortain, assassiné, qui avait accueilli le coupable déjà connu comme l’auteur de l’incendie de la cathédrale de Nantes, on pourrait ajouter ceci : il est trop facile de qualifier cette victime de martyr. On ne saurait confondre en effet le martyre, acte surnaturel, avec l’inconscience ou le masochisme, comportements qui n’ont rien de surnaturel, surtout si l’on songe que ce montfortain, en accueillant son futur meurtrier connaissait déjà ses antécédents ?