Le journal Le Télégramme publiait cette semaine un article intitulé « Le harcèlement de rue, cette violence ordinaire qui empoisonne leur quotidien », évoquant la montée d’un fléau auquel les Bretons n’étaient pas ou peu confrontés jusqu’ici.
Problème, à défaut d’une enquête sur les auteurs principaux de ce harcèlement de rue, l’article ne relève que de vagues témoignages sur du vécu quotidien de jeunes femmes, à Lorient, Brest, Saint-Brieuc et Rennes. On est dans le déni du réel, parfaitement illustré par la photo en tête d’article, tirée d’une affiche de sensibilisation au harcèlement de rue, dont la crédibilité interroge sérieusement, tout comme la photo choisie par le journaliste du Télégramme.
Les Bretons changent. pic.twitter.com/1bivzCZcab
— Damien Rieu (@DamienRieu) July 8, 2021
« On veut les noms » dirait sans doute Jean-Yves Le Gallou, de Polémia, en lisant cet article.
La réalité est pourtant flagrante : un million de femmes subissent, chaque année, des situations de harcèlement dans l’espace public, selon l’enquête Virage publiée par l’Ined (Institut national d’études démographiques) en 2017. Dans les grandes villes, 40 % des 20-24 ans ont déclaré avoir subi un fait de harcèlement au cours des douze mois ayant précédé l’enquête. Pour prendre à bras le corps ce phénomène, le délit d’outrage sexiste a été crée, avec un bilan de 3000 verbalisations dressées depuis trois ans (les amendes peuvent monter jusqu’à 1500€ en cas de récidive et sont de 90€ en cas de paiement immédiat, ce qui implique que les faits constatés le soient en flagrant délit par les forces de l’ordre, ce qui enlève bien évidemment une large majorité des cas de harcèlement, par définition très souvent faits de manière pernicieuse.
Dans l’enquête du Télégramme, les femmes qui témoignent évoquent des frotteurs, des colleurs, des personnes qui invectivent, des agresseurs verbaux. Mais sans jamais n’employer de qualificatifs autre que celui « d’hommes », pour dénoncer ce fléau. Un peu facile tout de même.
Il y a quelques années, la présidente du RN Marine Le Pen avait condamné le harcèlement rue qui était le fait selon elle « d’immigrés qui importent une culture de « non respect des femmes ». « Le harcèlement de rue est en immense majorité le fait de ressortissants de l’immigration qui importent une culture qui est une culture de non respect des femmes, de soumission des femmes et même l’expression, pour beaucoup, d’un mépris à l’égard de Françaises ».
Le collectif féministe Némésis, avait réalisé une vidéo en caméra cachée à l’occasion de la journée mondiale de la jupe, pour montrer qui étaient, principalement, les harceleurs de rue. Le résultat est flagrant
https://www.youtube.com/watch?v=U4s_C7gVV_Q
Alice, porte-parole du collectif, indiquait alors à Valeurs actuelles que « c’est souvent dans des quartiers issus de l’immigration » que les femmes sont victimes de propos déplacés voire d’agressions tout en dénonçant les autres associations féministes qui font le travail « à moitié » notamment lors de campagne contre les violences sexistes et sexuelles : « On voit souvent représenter des hommes ‘en trois-pièces’ en tant qu’auteur du harcèlement », développe Alice. Pourtant, ce sont « toujours les mêmes personnes » qui ont ce type de comportement, « harcèlement de rue = personnes issues de l’immigration, de l’Afrique du nord et subsaharienne », dénonce la militante qui assume ne pas avoir flouté les visages pour rendre la vidéo plus « authentique ». Elle poursuit : « Il est temps d’attraper le problème à bras-le-corps. » Ces individus verraient « les femmes européennes comme des objets », indique Alice. « On sent qu’on est l’animation de la rue. Voilà pourquoi certaines jeunes femmes ne veulent plus aller dans certains quartiers. »
Sur le harcèlement de rue, la journaliste belge Sofie Peeters avait également réalisé une vidéo, qui se passe de commentaire.
Pour revenir à la Bretagne, début 2021, nous nous faisons écho d’un article de France Bleu évoquant « A Brest, des attroupements « pas très rassurants » place de la Liberté » avec un journaliste qui décrivait la situation ainsi la situation : « C’est un tunnel sombre où résonnent souvent éclats de voix et musique à fond. Sous le passage Jean-Monnet, qui permet de rejoindre la rue de Siam depuis la place de la Liberté en plein cœur de Brest, quinze jeunes hommes africains sont posés, cet après-midi-là. Ils proposent ouvertement de la drogue, dévisageant celles et ceux qui osent s’aventurer dans leur antre. Un attroupement pas franchement engageant pour les passants »
Nous avions aussi recueilli ce témoignage en 2017 de jeunes femmes qui, à Rennes, expliquaient clairement que le harcèlement de rue qu’elles subissaient n’étaient pas le fait de jeunes européens.
Le problème, c’est que face à cette violence, y compris verbale – mais également physique et qui monte chaque année, les autorités refusent de mettre les mots sur les maux. Tout comme les associations féministes (et en l’occurence ici, les journalistes qui écrivent des articles aveuglés par leur propre idéologie) qui au final, mettent en danger les femmes et les jeunes femmes qui subissent cette violence quotidienne sur laquelle pèse un tabou, une forme d’interdit idéologique.
Pour compléter avec quelques chiffres qui vont au delà du harcèlement de rue, rappelons que le ministère de l’Intérieur italien estimait à 42% en 2019 le nombre de viols commis par des migrants, un chiffre exponentiel eu égard de la proportion de migrants dans ce pays par rapport à la population italienne. En France, près de deux tiers des agressions sexuelles dans les transports en commun en Île-de-France sont commises par des étrangers selon un rapport paru le 17 décembre 2020, et signé du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) rapport intitulé « les vols et violences dans les réseaux de transports en commun en 2019 ». Ces chiffres se basent d’ailleurs uniquement sur les nationalités, mais il serait intéressant, à l’heure où l’ONU réclame la mise en place de statistiques ethniques « pour lutter contre le racisme systémique », de les avoir également pour les agressions sexuelles et les auteurs d’agressions sexuelles, histoire de connaitre la proportion réelle d’extra-européens parmi les harceleurs, les agresseurs et les délinquants sexuels.
Pour combien de temps encore allons nous fermer les yeux ?
YV
Crédit photo : DR
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12 réponses à “Harcèlement de rue en Bretagne. Omerta du Télégramme autour des causes de ce fléau importé”
C’est clairement une pratique qui est importée par les migrants.
En Egypte par exemple, c’est un phénomène tellement massif que c’est la cause de la généralisation du voile intégral dans les dernières décennies.
Aujourd’hui, même en tenue islamique complète, les Egyptiennes se font harceler sur la voie publique.
Ou enfermées à la maison, ou considérées comme des prostituées, elles n’ont plus que cette alternative.
Bientôt, la Bretagne n’ aura plus de breton que le nom, mais bon, les électeurs bretons sont majeurs !!!
Avec près de 70% d’abstentions aux dernières élections , je ne pense pas que que ce soit une preuve de majorité !!! Quant à ma petite cité de Ploërmel bien tranquille jusqu’à présent , elle bouge depuis quelques temps mais pas de façon positive !!!
Le quotidien LE TELEGRAMME comme son concurrent OUEST-FRANCE sont les principaux relais de propagande de l’Etat dit « français », dans sa politique d’éradication de l’identité bretonne. Dès lors, tant que ces entreprises de presse collaborationnistes n’auront pas été restituées à leurs légitimes propriétaires ( la nation bretonne) spoliés par le hold-up opéré lors de la prétendue « Libération », nous subirons le joug de leurs mensonges et trahisons.
Harcèlement de rue… Ah, oui ?
Alors installez-vous dans une rue passante, et observez le nombre de « harcèlements » qui s’y déroulent !
Souvenez-vous aussi du nombre de fois où vous êtes déplacé dans les rues de votre commune, et le nombre de harcèlements dont vous avez été témoin
Vous verrez peut-être que la réalité est très différente de ce qu’on voudrait vous faire croire.
tu veux dire qu’il n’y a pas de harcelements ?? tu débarques de quelle galaxie ?pointes toi a rennes ou a nantes le soir tu vas vite les observer !
Qu’est ce que tu racontes ? Viens faire un tour à Vannes ou à Lorient, je te montrerai une dizaine de coins où ta femme se ferait insulter ou agresser et où tu risquerais de passer un sale quart d’heure.
Tu viens de passer les dix dernières années en Patagonie?
Les journaux bretons, Le Télégramme et l’Ouest France, reflètent bien la sensibilité politique des bretons : collabo- islamo-gauchiste!
Des journaux beurtons, Oued-Fronce, le Taleg Haram, et Paresse-Hassan à Nantes.
problème en bretagne, et dans toute la france
voile pudique par tous les médias aux ordres
mais comme les français ne votent plus, ils acquiescent !
Je le répète et je l’affirme (pas pour Louis ou Erwan, qui s’appellent peut-être Magali ou Léa ) installez-vous dans une rue et regardez !
Observez pas vos yeux et non par la propagande médiatique initiée de Georges Soros (qui souhaite rendre les hommes coupables de tous les maux de la terre).
Il s’agit, comme la propagande autour du Covid, d’une action planifiée par les mêmes milliardaires.
Que Soros (par le biais de ses assos) ait importé des criminels dans nos pays, ne change rien au fait qu’il ne s’agit que de criminels importés, et certainement pas des 99,9 % des hommes de ce pays.
Renvoyons ces criminels chez eux.
Quoi qu’il en soit, regardez ! Vous ne verrez quasiment jamais une femme se faire agresser sexuellement en pleine rue !
Et renvoyons Soros, ses bateaux et sa haine des hommes dans son ranch !
La photo est celle d’une affiche publiée à Bordeaux !
Bien sûr, les harceleurs : des blancs !
Les autres affiches sont du même tabac !
Pas de problème pour STIGMATISER les blancs, leur mettre sur le dos les méfaits des autres…