Un homme de 33 ans de nationalité algérienne a été condamné à dix ans de réclusion criminelle en appel par la cour d’assises du Morbihan. Le verdict est identique à celui de la cour criminelle de Loire-Atlantique, en octobre 2020 – une juridiction expérimentale, composée de cinq magistrats professionnels, créée pour alléger les cours d’assises et ne juger que les crimes passibles de vingt ans maximum de réclusion criminelle.
L’homme comparaissait pour deux viols sur voie publique commis à Nantes fin 2017 – l’avocat général avait requis douze ans de réclusion criminelle. A la fin de sa peine il sera par ailleurs expulsé et interdit du territoire français. Il avait violé une femme devant son immeuble tôt le matin, et agressé une autre chez elle en pleine nuit après avoir brisé sa fenêtre. L’accusé a été confondu par son ADN.
Autre affaire, moins grave celle-là : un clandestin qui se dit âgé de 17 ans a été arrêté par la police municipale ce mercredi 7 juillet à Nantes alors qu’il vendait des cigarettes à la sauvette à la pointe de l’ile Feydeau. Il avait sur lui 32 paquets de cigarettes. Il a été remis à la police municipale et placé en garde à vue.
Louis Moulin
Photo d’illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Une réponse à “Vannes. Dix ans de réclusion en appel pour un violeur de nationalité algérienne”
deux viols ça fait cher !
le gars sortira dans 5 ans maximum
les femmes pourront continuer à avoir peur