Dans la nuit de jeudi à vendredi dernier, quai de la Fosse, un extra-européen qui se dit âgé de 17 ans, en situation irrégulière, a tranché un lobe d’oreille et blessé à la jugulaire ainsi qu’au fessier un autre clandestin nord-africain âgé de 27 ans. L’auteur venait de sortir de garde à vue après avoir été interpellé la veille avec une machette et un petit Taser.
L’agresseur, un clandestin hébergé aux frais du contribuable
L’auteur qui a reconnu les faits a expliqué avoir voulu « se venger » après avoir été attaqué à coups de couteau par sa victime, ce qui l’a conduit à l’hôpital, blessé à la tête. Il est hébergé à l’hôtel par une association, Aemina, qui travaille en lien avec l’association Saint-Benoît Labre – principal sous-traitant du département de Loire-Atlantique en matière d’accueil des migrants, principalement des mineurs isolés étrangers reconnus comme tels ou en attente de tests. Il dort désormais en prison dans l’attente de son procès – toujours aux frais du contribuable, donc.
D’autres règlements de comptes entre clandestins nord-africains à Nantes
Par ailleurs, selon nos informations, ce samedi matin, un nord-africain, S., en situation irrégulière, a porté cinq coups de couteau dans le dos à un autre extra-européen de la même origine, Y, qui a été hospitalisé.
Il s’agit d’une violente dispute entre deux livrers Uber, l’auteur des coups âgé de 40 ans, déjà défavorablement connu des forces de l’ordre, et son colocataire qui a dix ans de moins, dans un pavillon proche du rond-point de Paris où ils étaient logés au rez-de-chaussée par une famille habitant à l’étage. L’auteur des coups a été interpellé non loin, alors qu’il hurlait, selon les témoins, qu’il allait tuer tout le monde. Sa victime s’était réfugiée plus loin dans le quartier et a été hospitalisée vers onze heures.
Par ailleurs ce lundi à 23h15 cours des Cinquante Otages les secours ont pris en charge un algérien âgé de 23 ans, touché de quatre coups de couteau dans le dos, les fesses et à la cuisse. Ses agresseurs, extra-européens âgés de 29, 27 et 23 ans, ont été interpellés en centre-ville vers 23 h.
« Ils sont tous armés. La présence de ces blédards fait de Nantes une poudrière à ciel ouvert »
Des affaires à répétition qui n’étonnent guère ce policier de terrain. « Ils sont tous armés. Couteau, tournevis, ciseau, cutter, c’est fou ce qu’on retrouve sur eux. Une arme blanche, c’est le minimum. Ils n’arrêtent pas d’avoir des embrouilles entre eux, souvent pour des histoires de drogue ou d’argent, et en plus ils n’hésitent pas à sortir le couteau quand ils volent ou qu’ils dépouillent les gens.
Ce n’est pas spécialement étonnant qu’on en retrouve un avec un tournevis qui s’attaque aux gens à Bouffay – la présence de tous ces blédards en ville, qui profitent manifestement de l’absence de réponse judiciaire quant à leurs méfaits quotidiens – il y en a qu’on arrête tous les jours, voire trois fois par jour, fait de Nantes une poudrière à ciel ouvert ».
Louis Moulin
Crédit photo : wikipedia (cc)
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Une réponse à “Nantes : les règlements de comptes à l’arme blanche entre clandestins maghrébins se multiplient”
tant qu’ils se surinent entre eux …
mais souvent ils s’en prennent à des gaulois , mais le gouvernement fait la sourde oreille et se met une burqa devant les yeux, ça ne l’intéresse pas