Le titre d’Ouest-France est lunaire (et révélateur d’une ligne éditoriale qui assume de plus en plus un parti pris en faveur de l’immigration partout en Bretagne) : « Morlaix. Une nouvelle association pour aider des personnes à se loger » titre le quotidien. On se dit qu’enfin, une association se monte à Morlaix et dans son agglomération, pour aider les familles, de plus en plus nombreuses, dans la précarité, tout comme les anciens et leurs retraites de misère. Il n’en est rien.
Dès l’introduction, le ton est donné « Afin de venir en aide à ceux qui n’ont pas obtenu le droit d’asile, une nouvelle association a vu le jour à Morlaix (Finistère). Une solution pour permettre de loger des personnes dans des lieux décents » indique le journaliste
Le Télégramme a un peu plus d’honnêteté dans son titre, tout en se livrant à un habile procédé de Novlangue : « Une nouvelle association pour l’hébergement des personnes exilées dans le Pays de Morlaix »
Il n’est plus question de migrants, ou d’immigrés désormais, mais d’exilés. La définition d’un exilé est pourtant simple : Quelqu’un qui est victime d’expulsion hors de sa patrie, avec la défense d’y rentrer. Ce qui n’est pas le cas d’une large majorité des migrants qui se lancent à l’assaut de l’Europe, pour des raisons économiques, climatiques, politiques, aussi diverses qu’il y a de nationalités qui prétendent à venir s’installer sur notre territoire.
Mais de quoi est-il question dans ces deux articles ?
Il s’agit en réalité d’un satellite (ou de la copie) d’une association existant déjà dans le Sud Finistère, 100 pour un toit, association qui n’a de cesse d’oeuvrer au maintien, sur notre territoire, de migrants pourtant déboutés du droit d’asile – et qui ont engagé des recours juridiques, usant nos lois pour faire plier les autorités concernant leurs situations, diverses.
Le constat de cette association, représentée par des retraités ? Que des migrants se retrouvent à la rue ou dans des conditions précaires, à Morlaix et dans les environs. Ils viennent donc de former une association, fédération de plusieurs associations locales sensibles pro migrants comme Pays de Morlaix solidarité migrants, la Ligue des droits de l’Homme, Action des Chrétiens pour l’abolition de la torture, Utopistes en action, Emal29 ou encore Amnesty International. Une association soutenue également par le Secours Populaire ou le Secours Catholique.
Leur objectif ? Chercher et trouver des logements vides dans toute l’Agglomération pour y loger des migrants que les autorités devraient pourtant, décision de justice oblige, expulser car déboutés du droit d’asile. Et l’association de demander l’appui des particuliers et des bailleurs sociaux pour reloger tout ce petit monde, dont le nombre grandit à Morlaix et aux alentours, même s’il est difficilement chiffrable du fait de l’opacité autour de la question de l’immigration. Les habitants de Morlaix eux, voient que les choses changent progressivement.
« Nous nous engageons d’aider toute personne à accéder à ses droits fondamentaux (se nourrir, se loger, se soigner, s’éduquer), et à construire avec elle, un projet de vie. Pour ce faire, nous avons besoin de forces nouvelles pour accompagner des personnes chez un médecin, une famille au Resto du cœur, inscrire les enfants à l’école… Il n’y a pas de petits actes. » indique l’association à Ouest France.
Le Télégramme nous apprend par ailleurs que cette association entend demander des subventions, c’est à dire l’argent du contribuable, votre argent, pour mener à bien sa mission de maintien, sur le territoire, de migrants déboutés du droit d’asile. Les décideurs politiques locaux vont-ils céder ? Nos lecteurs du Pays de Morlaix nous tiendront bien évidemment informés de la situation.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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4 réponses à “Morlaix. Priorité à l’hébergement des migrants déboutés du droit d’asile pour l’association 100 pour 1 toit”
pour l’argent pas de problèmes, les élus Bretons donnent l’argent des contribuables sans compter ! au lieu de soutenir les bretons, pour les gens qui sont dans cette association, ils n’ont qu’à en prendre chez eux, plutôt que de prendre les biens des autres par la force, je serais juge, je mettrais les gens de cette association dehors, et je mettrais à leur place les immigrés qui plutôt que défendre leur pays, viennent envahir le notre.
toujours le politiquement correct !!! on ne publie pas ce qui dérange…. il est aujourd’hui important d’appeler un chat un chat, si c’est Gérard c’est Gérard, si c’est Mohamed, c’est Mohamed ! voila pourquoi je ne soutiendrai pas votre financièrement Breiz info .
Ceux qui n’ont pas obtenu le droit d’asile, en parenthèse, normalement réservé « aux réfugiés » couvert par un status spécifique, devraient être renvoyé dans leur pays. Cela éviterait aux contribuables de payer des subventions à ce genre d’association parasite, et en France on n’en manque pas hélas.
encore tout pour les autres rien pour les notres
même si les crimes et délits enflent, ils sont bichonnés
suicide du peuple par ses zélites