Gabrielle Cluzel, journaliste qui intervenait récemment sur Cnews, revenait sur ce nouveau drame de l’immigration, un de plus, qui a vu une femme se faire brûler vive par son mari qui ne supportait pas qu’elle veuille à l’occidental. Loin d’un « féminicide », nouveau mot permettant d’écarter à nouveau le débat sur l’immigration, il s’agit des conséquences d’une grave erreur judiciaire de la part d’un juge, qui, comme beaucoup d’autres avant lui, ne rendra pas de compte au peuple français.
.@GabrielleCluzel «Moi, je m’étonne… Il y a des juges qui décident de la sortie de tel ou tel. Pourquoi ils n’ont jamais à rendre de comptes ?! Pourquoi le principe de précaution n’est jamais en faveur des victimes ?» #Violences #Punchline #CNews pic.twitter.com/KhF80OSBmO
— Jerome Puig (@Je_Puig) May 10, 2021
Il serait temps que cela change. Il serait temps en effet, que comme dans toute entreprise ou toute administration, les juges rendent des comptes et soient sanctionnés. Vous avez remis en liberté avant le terme de sa peine un homme qui a ensuite tué ou violé ? Vous perdez définitivement le droit de rendre la Justice dans ce pays. Vous êtes licencié pour faute grave. Vous encourez même d’être poursuivi pour complicité de viol ou de meurtre.
Vous avez aménagé la peine d’un délinquant qui reproduit des actes, moins graves, de délinquance ? Vous êtes suspendu d’exercice de votre profession, quelques mois, quelques années.
Vous avez validé le placement en détention provisoire d’un homme qui, après un ou deux ans passés derrière les barreaux, est innocenté ? Licenciement, faute grave, indemnités dues aux victimes.
Au nom de quoi ces juges, qui appellent sans arrête à la « responsabilité » des personnes qu’ils jugent, seraient eux mêmes irresponsables, simples rouages d’une administration qu’ils contrôlent pourtant, puisqu’ils ont les quasi pleins pouvoirs de rendre la Justice comme ils l’entendent, hormis éventuellement aux Assises où le peuple, via les Jurés, est autorité à rendre la Justice ?
La simplification radicale du Code pénal, et la réforme en profondeur de la Justice, sorte de pouvoir de classe au cœur d’un pouvoir qui n’est déjà pas beaucoup partagé avec les Français, est une nécessité. Il n’est plus possible d’entendre des forces de l’ordre alerter sur le fait que des magistrats sabotent leur travail au service de la sécurité des Français. Il n’est plus possible d’entendre des magistrats donner des leçons de morale à des citoyens qui n’ont parfois rien à faire sur les bancs d’un tribunal. Il n’est pas acceptable de lire les noms de ces mêmes magistrats rendre la Justice alors qu’il y a quelques mois, quelques années, ils ont libéré des individus qui ont commis des atrocités du fait de leur liberté.
Il n y a rien de démagogique à exiger que les juges soient traités comme les autres citoyens. Et qu’ils doivent rendre des comptes, y compris judiciaires, si ils commettent des fautes graves ou lourdes. Comme tout le monde.
Au même titre qu’il faut abroger TOUTES les lois visant à restreindre la liberté d’expression et de recherches, au même titre qu’il faut réformer la constitution de manière à permettre de discriminer, c’est à dire de choisir, il faut qu’un candidat à l’élection présidentielle ait le courage de raser l’institution judiciaire. Et de la reconstruire, avec un code pénal allégé, des juges responsables, des prisons modernes et dignes de ce nom, vidées de tous ceux qui n’ont rien à y faire (présumés innocents, comme délinquants étrangers à expulser).
Sans cette table rase de la Justice, sans ce nettoyage indispensable des écuries d’Augias, il est impossible d’espérer un quelconque changement demain en France. On veut pouvoir juger les juges ! Qui osera ?
Julien Dir
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