Les déboires des vaccins occidentaux contre le coronavirus inspirent.. . en Géorgie, dans le Caucase, où les fabricants de tchatcha, un alcool distillé à l’alambic, rivalisent d’imagination sur les étiquettes. « AlcoZeneca », « Pfizer Alco vaccine » ou carrément des étiquettes floquées « Moderna » et « Pfizer » se vendent un peu partout et se retrouvent sur les tablées.
On ignore si ces « vaccins » provoquent des effets secondaires autres que de solides maux de crâne après des dégustations de crus plus ou moins bien distillés – certains disent que la meilleure recette, c’est trois sacs de patate et vingt kilos de sciure, mais il a fallu arrêter la fabrication, les clients devenaient aveugles.
En revanche, cela doit être certainement très efficace contre le confidentiel variant breton du coronavirus (9 cas), réputé indétectable – quoique. Des malades avec des bonnets rouges, ça ne passe pourtant pas inaperçu. En soirée – interdite – ou lors d’un carnaval illégal, que les autorités laissent faire pour mieux tenter de culpabiliser la population ensuite, comme ce samedi à Rezé ou Marseille, n’oubliez pas votre alco-vaccin.
LM
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