Un migrant nigérian, ancien enfant soldat en Afrique, accusé de viol à Brest [MAJ : 8 ans de prison et expulsion]

MAJ : La cour d’assises a condamné, ce mardi, l’individu à huit ans de prison pour le viol commis en août 2019, à Brest. S’y ajoute une interdiction définitive du territoire français. A lire le portrait larmoyant dressé par Le Télégramme au sujet du criminel.

A chaque jour son « conte multiculturel » pas du tout pour enfant, mais de plus en plus fréquent en Bretagne, du fait de l’immigration et de ses conséquences qui retombent de plus en plus sur une population bretonne littéralement livrée à des exactions sauvages par l’oeuvre de bonnes consciences.

Un migrant nigérian comparait depuis lundi devant la cour d’assises du Finistère, accusé d’avoir violé une jeune femme en août 2019, à Brest, sur le parking de la préfecture maritime. Au départ, une jeune femme fait la fête avec ses amis de l’école des mousses, puis passe la soirée en discothèque. Elle vient d’avoir 18 ans, elle est ivre. Un ami la raccompagne. Elle titube. Un africain fait mine de proposer son aide au collègue pour la faire marcher.

Puis l’ami de la jeune femme se rend dans un supermarché ouvert 24/24 pour lui acheter de l’eau. En revenant, plus personne. Lui et ses amis n’apprendront que le lendemain l’horreur : la jeune femme a regagné son appartement, après avoir été violé contre un banc par le migrant prédateur sexuel.

Ce dernier sera identité via son ADN comme l’indique le Télégramme :

« Le sperme recueilli sur les vêtements permet de confondre Idrissa Moumouni Dadaou. Ce jeune Nigérian aurait été enfant soldat en Libye avant d’arriver en France. Il bénéficie d’un contrat jeune majeur. Il fait aussi l’objet d’une mesure de suivi judiciaire depuis une condamnation par le tribunal pour enfants. Il nie catégoriquement les faits, dit qu’il était à Paris. Il réfute les expertises ADN. Ce n’est qu’en septembre 2020 « qu’(il) s’en rappelle » : il raconte qu’Amélie lui a caressé les cheveux. « Elle m’a dit, viens, on va dans le parking à côté ». Les bleus sur les cuisses, les traces au niveau du cou ? « Aucune idée. Je n’ai jamais agressé une femme de toute ma vie ! »

Un autre témoignage, d’une jeune fille de 16 ans, montre toutefois que l’accusé ne semble pas être un ange. Ce dernier aurait flirté avec la jeune femme avant de la toucher de force, de l’agresser sexuellement.

Reprise des débats ce mardi.

Crédit photo : photo d’illustration (wikipedia)
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