La délinquance causée par des extra-européens ne se limite pas à empoisonner le quotidien des habitants du centre-ville de Nantes, ou des quartiers périphériques quand ils s’adonnent aux cambriolages et aux vols roulotte, maintenant que les bars et restaurants sont fermés, et qu’il y a le couvre-feu. Parfois, ils prennent le train.
Menaces de mort
Le jeudi 4 mars la police a dû intervenir en gare d’Angers pour descendre du train deux personnes sans domicile fixe connu, d’origine extra-européenne, qui ont pris le train à Nantes. Sans billet bien sûr, ils ont refusé le contrôle et injurié les contrôleurs, puis les ont menacés de mort. Ils ne portaient pas de masque non plus.
Fortement alcoolisés, ils s’en sont aussi pris aux policiers angevins ; l’un d’eux s’est présenté comme mineur, l’autre a 21 ans. Le majeur sera jugé à Angers le 21 septembre prochain – l’on aura l’occasion de constater si la justice angevine est plus – ou moins – laxiste que les juges nantais. L’autre est convoqué devant un juge pour enfants – autant dire qu’il encourt une peine minime.
« C’est bon, vous pouvez rentrer chez vous »
Un laxisme judiciaire proverbial à Nantes, mais qui interroge. Un de nos lecteurs nous écrit : « il y a eu récemment deux poubelles brûlées non loin de chez moi, et ils ont interpellé un jeune homme du coin pour cet incendie, qui a reconnu les faits. Il est convoqué au tribunal, s’y rend tout contrit, et puis un gars lui tend une feuille en lui disant de signer en bas. Il signe, et demande quand est-ce qu’il passe en jugement. C’est bon, vous pouvez rentrer chez vous, s’entend-il répondre ». Est-ce ce qu’on appelle un rappel à la loi ?
Louis Moulin
Photo d’illustration : DR
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