Négrobsession. Disney+ et Star invitent à « célébrer les héros de la communauté noire »

On imagine le scandale si une chaine de télévision invitait à célébrer les héros de la communauté blanche. Mais quand il s’agit de négrophilie, de négrobsession devrait-on dire, tout passe comme une lettre à la Poste. Ainsi, la nouvelle chaine de Disney +, Star, invite ses téléspectateurs à « célébrer les héros de la communauté noire » à travers une sélection de films .

Après Netflix et sa sélection « Black Lives Matter », voici donc que Disney+ via sa chaine Star s’assume en chaine faisant l’apologie de l’idolâtrie raciale.  Walt Disney, homme blanc pas particulièrement gauchiste, doit se retourner dans sa tombe.

Parmi les films sélectionnés, certains font clairement dans ce que certains Noirs appelleraient, si c’était l’inverse, de l’appropriation culturelle : ainsi la légende de Cendrillon, film navet de 1997 avec Whitney Houston et Whoopy Goldberg. Black Panther, 24h Legacy, ou encore Mister G, avec Eddy Murphy. Pour les chefs d’oeuvre du cinéma, il faudra changer de catégorie.

Encore une fois, il y a une solution pour s’épargner cette propagande : ne pas s’abonner à ces chaines, et réclamer à ceux qui les intègrent dans des bouquets, comme Canal+, qu’ils déduisent du montant de votre abonnement cette chaine en particulier. Une fois que ces sociétés auront été impactées économiquement, elles réfléchiront peut être à deux fois avant de faire de la politique…

Crédit photo : DR
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4 réponses à “Négrobsession. Disney+ et Star invitent à « célébrer les héros de la communauté noire »”

  1. Pschitt dit :

    Sanctionner économiquement Disney+ ? Mais la démarche de Disney+ est économique, justement ! Disney est une entreprise internationale qui fait du business. Bien entendu, elle essaie de se donner le beau rôle avec des allégations « politiquement correctes » (justice pour les noirs, etc.). Mais c’est de l’affichage. Disney est là pour gagner de l’argent.
    Au début du siècle, sous l’impulsion de son ancien patron Bob Iger, l’entreprise a beaucoup misé sur le marché chinois. Puis elle s’est rendu compte que ce marché est difficile : les Chinois maîtrisent suffisamment bien les technologies pour réaliser les mêmes films qu’elle. Ils ne laissent entrer de l’Occident que ce qu’ils peuvent lui chiper. Vers quel autre grand marché se tourner ? Pas l’Inde, où Disney n’a qu’une présence limitée, car il faut y affronter une industrie cinématographique puissante. En revanche, le marché africain, en plein essor démographique, est à prendre et ne présente pas les même risques de pillage technologique que la Chine. D’où les héros de la communauté noire. On nous propose ces films parce qu’ils existent, mais ils ne sont pas faits pour nous,. Conclusion : ne les regardons pas.

  2. emile 2 dit :

    ils peuvent bien célébrer tout ce qu’ils veulent dans ce genre là , les dégénérés amerlocks….
    c’est pas moi qui vais leur faire gagner une tune

  3. louis dit :

    et omar sy dans le role de peter pan ? pauvre dysney trop avide de fric ça te retombera sur ton vilain nez de sorciere ( jouer par un blanc bien sur )

  4. Stroff dit :

    1997

    « Une blanche-Neige dans tous ses états
    Et si Blanche-Neige était africaine ? Une noble et hautaine Amazone nigériane au port altier qui avance majestueusement sur un curieux pédalier et décoche ses flèches sans crier gare… Ses nains seraient des clowns tristes, un peu sadiques, déjantés aussi, et la méchante reine une idole déchue qui ne maîtrise plus son look de première dame du royaume et se désagrège dans une déconfiture boulimique…
    C’est un curieux récit de Blanche-Neige que proposait Benoît Bradel et Zabraka au Théâtre de la Cité Internationale en décembre [1997] dernier. Benoît Bradel a choisi l’univers du cirque et son pathétique intrinsèque pour faire surgir des images incongrues, des accords dissonants qui brutalisent l’histoire et l’emportent dans les ornières de l’inconscient. Loin de ramener au ronronnement rassurant du conte, il pulvérise le récit et fait entendre l’entre-deux, le creux psychanalytique.
    La comédienne nigériane, Ese Brume, qui prêtait ses traits, sa plastique statuaire et son accent anglophone à l’héroïne était au coeur même de cette déconstruction, brisant les idées reçues et l’imagerie enfantine toute en sucre soufflé qui enrobe traditionnellement ce conte.
    Ce sont les marges qui construisent et articulent ici la mise en scène, l’en-deçà du texte, ou l’en-dessous et non son hypertrophie exubérante. Benoît Bradel ne rêve pas sur les mots, il rêve sur les couleurs et les nombres qui deviennent les notes avec lesquelles joue son  » septet cruel « . Tout se passe comme s’il avait soumis le conte à l’épreuve d’un kaléidoscope aux miroirs déformants. Les personnages se dédoublent, sont tour à tour les uns et les autres, se perdent et se retrouvent, étourdissant le spectateur de leurs harmonies grinçantes et laissant entrevoir l’abîme des cruautés refoulées qu’exacerbe le conte. »
    Sylvie Chalaye
    http://www.africultures.com/php/index.php?nav=article&no=319

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