Le 23 janvier dernier, deux départs de feu volontaires ont été déclenchés vers 22h00 dans deux tours de la place de Monténégro à Rennes, dans le quartier du Blosne. Selon nos sources, l’auteur présumé des faits, Wisdom N, un immigré clandestin nigérian débouté du droit d’asile, a avoué. Le RN, par la voie de sa nouvelle responsable rennaise, Nadine Desprez, réclame son expulsion.
Initialement, il s’agissait de feux de détritus, qui se sont étendus dans deux immeubles du Blosne le 23 janvier. Un homme avait été rapidement placé en garde à vue, tandis que 150 habitants avaient été évacués et que 9 personnes avaient été hospitalisées, tandis que de nombreux pompiers avaient été mobilisés sur place.
« L’auteur de ces incendies a été interpellé et il est passé aux aveux. Il s’agit d’un immigré clandestin nigérian. En tant que demandeur d’asile, il a été intégralement pris en charge aux frais du contribuable dans un foyer géré par l’association Coallia. Débouté du droit d’asile, il s’est vu notifier une obligation de quitter le territoire et aurait dû être expulsé…depuis le 22 janvier 2020 ! » indique le Rassemblement national dans un communiqué adressé à la presse.
Un communiqué qui réclame l’expulsion du pyromane et dénonce la complicité des élus « de droite comme de gauche qui soutiennent la submersion migratoire ainsi que les associations grassement subventionnées qui la mettent en œuvre, nuisent gravement à la sécurité des Français »
A noter que du côté des autorités, comme de la presse mainstream, c’est silence radio sur cette affaire. A l’heure actuelle, nous n’avons pas d’information concernant le lieu où se trouve l’individu, qui avait été amené au départ dans une unité psychiatrique.
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Une réponse à “Incendie au Blosne par un immigré clandestin débouté du droit d’asile : le RN demande son expulsion”
Après quinze longues années au Blosne, j’ai beaucoup plus de considération pour les racailles allogènes que pour les saloperies de gauchiasses associatives qui viennent assouvir leur irrépressible besoin de supériorité morale dans notre quartier, aux heures de bureau et à nos frais : une gauchiasse, c’est une salope qui se bat la coulpe sur la poitrine des autres …