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Réchauffement climatique. Il répond aux arguments de Jean-Pierre Bardinet sur la « propagande réchauffiste »

Nous avons publié récemment une tribune de Jean-Pierre Bardinet, au sujet du réchauffement climatique, tribune qui qualifiait le réchauffement climatique de « propagande réchauffiste ». La tribune a fait réagir, beaucoup s’interrogeant sur la légitimité d’un ingénieur en électricité et en mécanique à évoquer le phénomène climatique. Un de nos lecteurs, M. Edel qui avait déjà démoli l’argument de Philippe Herlin, qui affirmait qu’il y’a « un consensus scientifique et médiatique, mais pas de preuve sur le réchauffement climatique » a récidivé, en reprenant point par point l’argumentaire de M. Bardinet.

Jean-Pierre Bardinet (JPB) nous rappelle l’adage « un mensonge répété 1000 fois devient une vérité ». Sans rentrer dans une caricature de la société, le mécanisme de répétition peut tout à fait générer des biais cognitifs comme le présente D. KAHNEMAN dans son ouvrage « Think Fast Think Slow ». Toutefois il n’est pas nécessaire d’appeler systématiquement à la propagande dès lors qu’il y a répétition d’un même discours. Ce qui caractérise un acte de propagande est l’intention de persuasion et d’influencer par différentes méthodes, et non la méthode en soi.

Au vu du caractère péjoratif du mot propagande, est-il nécessaire d’appeler propagande tout discours cherchant à persuader ? Doit-on appeler propagande le discours répété d’un parent à son enfant cherchant à le persuader de ne pas manger excessivement de sucrerie ? Doit-on appeler propagande l’acte de faire prendre conscience de certaines réalités à un individu ?

Il est évident que la réponse est non. L’influence n’est pas maligne en soi, elle porte les valeurs morales de l’individu qui s’en saisit.

Cet écrit de JPB n’échappe pas non plus à l’usage d’influence, que nous pourrons notamment retrouver dans le champ lexical qu’il emploie pour décrire les informations sur le réchauffement climatique. Nous n’entrerons pas dans le jeu de la caricature en qualifiant son écrit de propagande.

Il serait toutefois intéressant de savoir quelles valeurs morales cherchent à porter JPB à travers ses explications ; mais cela, il s’en cache bien.

Critiques

Température moyenne annuelle globale

JPB souhaite nous expliquer qu’il n’y a pas de réchauffement climatique. Pour ce faire il nous il nous recommande de ne pas tenir compte de l’évolution de la température moyenne annuelle globale depuis 1850, certainement pour deux raisons.
Celle qu’il nous donne : « cela masque le plateau de température depuis environ 20 ans ». Celle qu’il ne nous donne pas, mais qu’il masque : il y a une évolution de TMAG depuis 1850.

Il faut noter l’ironie du discours. JPB appelle désinformation le fait de présenter des données depuis 1850 puisqu’elles masqueraient une interprétation qui lui tient à cœur ; mais la solution qu’il nous propose est de masquer les données depuis 1850.

Avant de revenir sur les interprétations de JPB, ce qu’il nous dit n’est pas totalement impertinent. Les différentes données statistiques peuvent s’interpréter de différentes manières (non nécessairement opposables) en fonction du choix de présentation qui en est fait.
Il peut alors être intéressant de changer le choix de présentation pour entrevoir ou proposer des analyses complémentaires (non nécessairement contraires).

Nous pouvons alors féliciter JPB pour l’énergie qu’il met à proposer des analyses complémentaires de la situation.

Par contre, ce que JPB fait à tort, c’est qu’il choisit de remplacer (et non complété) la première série de données large par sa série de données tronquée — pour influencer sa cause. C’est quelque chose qui doit lui être reproché.

Autrement dit ce que nous laisse comprendre JPB, c’est que les données depuis 1850 montre un réchauffement du TMAG, mais que depuis les années 2000 ce réchauffement n’est plus visible (nous y reviendrons puisque cela est faux – mais il est nécessaire à la fois de déconstruire un discours et ses données).

JPB choisit alors de ne pas prendre en compte les données précédant les années 2000 et de construire son argumentaire exclusivement sur les données après 2000. Pour nous dire quoi ? Pour pouvoir écrire : « Depuis le début des années 2000, il n’y a plus de réchauffement global ». (Nous reviendrons sur cette information erronée)

Ce qui est difficile avec ce type d’écrit comme je le présentais en introduction, c’est que JPB ne présente pas son positionnement moral. Il ne fait que tenter de décrédibiliser un certain discours. Quand bien même il existerait un plateau de TMAG depuis les années 2000, sachant qu’il y a un réchauffement climatique depuis 1850, doit-on fonder nos décisions politiques sur un temps court pour continuer de prendre des décisions à court terme ?

N’est-il pas pertinent d’appréhender l’évolution des pratiques humaines sur Terre depuis plusieurs décennies pour comprendre l’impact de nos conditions de vie sur la biosphère ?

Bref, JPB nous présente un argumentaire délétère puisqu’il ne vise qu’à décrédibiliser un discours sans montrer patte blanche en nous présentant lui-même ses intérêts.

Après cette parenthèse sur la construction du discours de JPB, revenons à son principal argument : la TMAG depuis les années 2000. Nous aussi, reprenons les données de Hadcrut4 que JPB semble décrier : https://crudata.uea.ac.uk/cru/data/temperature/

Téléchargeons alors les données pour le Hadcrut4 « Ensemble medians and uncertainties » pour les données globales (Globale [NH + SH/2]) et annuelles (annual) : https://www.metoffice.gov.uk/hadobs/hadcrut4/data/current/time_series/ HadCRUT.4.6.0.0.annual_ns_avg.txt

Et ici l’explication des données du tableau :

https://www.metoffice.gov.uk/hadobs/hadcrut4/data/current/series_format.html

Les données qui nous intéresseront ce sont donc les données des deux premières colonnes : l’année et la médiane des températures. Par honnêteté intellectuelle, JPB nous parlait d’un effet d’écrasement en regardant les températures depuis 1850, sélectionnons alors exclusivement les données depuis les années 2000 dans le tableau.

Ici mon tableur et graphique avec les données depuis 2020 :

JPB nous disait que les températures n’évoluaient plus et étaient stables depuis les années 2000. Ces données et ce graphique nous présentent le contraire. La moyenne de ses données est 0,548. Lorsque JPB nous parle d’un plateau, cela veut dire que les données se stabilisent autour de 0,548.

Ce qui n’est pas le cas :

La moyenne des 5 premières années est de 0,437 ; la moyenne des 5 années centrale est de 0,471 ; la moyenne des 5 dernières années est de 0,715 ; une évolution à la hausse est donc constatée depuis les années 2000.

Dans le lien que nous a fourni JPB, les données utilisées sont les données mensuelles et non annuelles comme celles présentes sur mon graphique, ce qui explique de plus amples variations, mais complexifie l’interprétation. Toutefois bien que JPB nous dit qu’il n’y a pas d’évolution depuis les années 2000, il s’est permis de prendre les données seulement depuis les années 2002 (pour masque les données de 2000 et 2001 qui sont plus basses encore).

Si on prend également les données mois par mois (et depuis 2000 et non 2002 comme JPB) présentes dans le deuxième lien que j’ai données plus haut, nous arrivons à ce graphique :

De la même manière, nous continuons de remarquer une hausse entre l’année 2000 et 2020, davantage marquée par une croissance suite aux années 2010.

Nous avons donc pu voir ensemble à la fois que l’argumentaire de JPB était fallacieux puisqu’il nous invitait à avoir une vision restreinte du réel et que l’interprétation qu’il fait des données n’est pas juste.

Temps de séjour du CO2 dans l’atmosphère

Dans cette partie, JPB présente une approche en deux parties : dans un premier temps il va selon lui exposer une contre-vérité émise pas Petteri Taalas, pour ensuite exposer selon lui toujours, un mensonge du GIEC.

Concernant la contre-vérité, je ne suis pas sûr de très bien comprendre ce qu’avance JPB quand il reprend le mot « important ». Celui-ci a plusieurs définitions et dans la phrase de Petterie Taalas je comprends que le mot « important » désignant le CO2 concerne son importance sur le réchauffement climatique et non son importance en termes de volume.

Mais passons, la suite est certainement plus intéressante.

JPB nous dit que les gaz à effet de serre (GES) n’ont pas de longue durée de vie dans l’atmosphère, et nous présente comme argument un tableau non sourcé qui ne traite que du CO2 (les principaux GES étant : H2O, CO2, MH4, N2O, O3).

Curieusement c’était JPB qui voulait nous expliquer que le CO2 n’était pas le gaz le plus important, pourtant il fonde son argument exclusivement sur celui-ci. Mais peu importe les confusions dans le discours de JPB, restons concentré sur ce qui nous semble effectivement important, et c’est bien 1er CO2 comme gaz à effet de serre.

En essayant de remonter à la source du tableau de JPB, nous finissons par arriver à un livre écrit par Lawrence Solomon et publié en 2008. Le fait que JPB n’ait pas fourni la source du tableau m’interroge tout de même. La connaissait-il ? Si oui pourquoi ne l’a-t-il pas renseigné comme il l’avait fait pour sa seule source tout à l’heure ?

Où ne la connaissait-il pas ? Et l’a-t-il alors récupéré lors de ses différentes navigations sur internet sans jamais chercher à vérifier ces informations ni connaître leur provenance ? Chacun se fera sa propre opinion.

Concernant ce tableau, il m’est difficile de remonter chacune des 37 sources, et n’étant pas climatologue, il me serait également difficile d’appréhender en profondeur chacun des articles. Toutefois il est possible de dire plusieurs choses sur ce tableau.

Parmi les 36 publications, elles proviennent de seulement 24 chercheurs différents ; il n’est pas possible de savoir si ce tableau est exhaustif ou si l’auteur a sélectionné certaines études en particulier ; les 36 publications sont antérieures à 1992, elles ont donc plus de 30 ans et la plus vieille remonte à l’année 1957 soit plus de 60 ans. Des études plus récentes arriveraient-elles aux mêmes conclusions ?

L’argumentaire de JPB se base un document sur lequel je ne suis pas capable d’avoir une opinion. Nous pouvons peut-être alors essayer de nous renseigner davantage sur le livre duquel provient ce tableau (à savoir qu’un livre, comme celui d’où provient ce tableau, n’est pas soumis au peer-review, il n’est donc pas vérifié par d’autres chercheurs).

Si l’on se réfère à la page Wikipédia du livre en question, celui-ci a reçu différentes critiques :

  • Il présente des citations tronquées ou sélectives des différents chercheurs, pour permettre le scepticisme ;
  • Les chercheurs cités ne nient pas le réchauffement climatique, les citations témoignent malgré eux ;

Étant un citoyen quelconque je ne suis pas en mesure de vérifier la qualité et la pertinence de tous les contenus produits autour du réchauffement climatique, et je dois également me référer à la réception et les critiques des articles et livres par d’autres individus.
À titre personnel dans le cas présent, je préfère faire le choix de ne pas donner de crédit à cette source, celle-ci étant décriée.

Cela ne veut pas dire que je pense qu’elle soit fausse, elle peut être vraie, mais je ne suis pas en mesure de la vérifier, et d’autres personnes référentes font état du caractère fallacieux du livre. Nous n’avons donc pas d’élément pour recevoir avec certitude l’argument de JPB concernant le temps de séjour de CO2 dans l’atmosphère, il est donc préférable de ne pas retenir cet argument.

Le temps est important pour chacun d’entre nous, et tout un chacun a également le loisir de pouvoir s’exprimer sur certains sujets publiquement.

Toutefois, ce qui est écrit ne doit pas nécessairement être lu. L’exercice d’écriture se devrait d’être conjoint d’une certaine honnêteté intellectuelle. Et lorsque ce n’est pas le cas, il ne faut pas hésiter, il y a tant d’autre chose à lire.

M. Edel

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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15 réponses à “Réchauffement climatique. Il répond aux arguments de Jean-Pierre Bardinet sur la « propagande réchauffiste »”

  1. duprez dit :

    L’argument sur la propagande est évident.
    Quand tous les grands médiats , la télé , l’école te rabâche sans arrêt cette histoire et que tout discours qui ne va pas dans ce sens est banni , traité de complotiste , viré de son emploi.
    C’est de la propagande.
    Quand on se sais que ceux qui nous raconte cette histoire de réchauffement tronque les donnée (climategate).
    Pourquoi croire des menteurs et des tricheurs.
    Et que cela ne sert qu’a taxer encore plus les occidentaux; mais pas la chine bien sur.
    On peux chercher à qui profite le crime.
    Et on tombe sur tous les industriels des énergie renouvelable, de la voiture électrique.
    Un peu triste de voir ici la propagande mondialiste.

    • Jean Claude Richard dit :

      Bonjour Monsieur Duprez ! Je suis entierement d’accord avec votre réponse ! Les discours du GIEC ainsi que du monde politique et des groupuscules verdatres sont allés tellement loin dans le mensonge qu’il faut etre vraiment naif ou complice pour ne pas se rendre compte de la supercherie .Comment faire confiance a des gens qui nous font des prévisions fausses depuis des années ? Bien cordialement!

  2. Freddy dit :

    Il faut regarder les vidéos de Jean Marc Jancovici pour se convaincre de la réalité du réchauffement climatique et de ses conséquences effroyables. Ce qui est terrifiant, c’est que le combattre suppose des mesures autant drastiques que dantesques qu’aucun gouvernement n’aura le courage d’entreprendre.

    • Jean-Pierre Bardinet dit :

      JMJ présente deux visages.

      Le premier est celui d’un ardent défenseur des thèses du GIEC, car son activité professionnelle, c’est consultant des entreprises pour la réduction de leurs émissions de CO2. Il ne va quand même pas scier la branche sur laquelle il est assis.

      Le second est réaliste en ce qui concerne l’énergie : il est opposé aux EnR intermittentes et favorable au nucléaire (générations III et IV). Il reconnaît que, pour une faible puissance nominale (1-3MW) et un faible facteur de charge (22%), une éolienne consomme énormément de matières premières (acier, cuivre, terres rares-indium, néodyme- béton armé, fibre de verre, …) et que l’éolien est donc la pire manière de produire de l’électricité.

  3. PL44 dit :

    Aurait on pu combattre les glaciations ? Sans remonter aux ères secondaire ou tertiaire, d’après les paléoclimatologues, il y a huit ou dix mille ans, la température moyenne était plus élevée de deux degrés. A cette époque, le Sahara était coupé en deux, la plus grande partie était couverte de savanes comme au Kenya, il y avait des lacs et des marécages. D’où les animaux représentés sur les gravures rupestres.

  4. Michel GOSSE dit :

    A supposer que nous soyons dans une période de réchauffement, Deo gratias! Ce ne serait certainement pas une catastrophe. Il y a eu des périodes de réchauffement et de refroidissement et celles correspondant à des réchauffements étaient plus propices au bien être humain, par exemple lors de l’optimum climatique du Moyen Age.En outre, ces variations n’ont rien à voir avec l’activité humaine. Par ailleurs, la supercherie du CO2 est manifeste, grâce à ce gaz carbonique ,si je ne m’abuse, se produit la photo-synthèse de la chlorophylle qui permet d’avoir de l’oxygène dans l’air et du feuillage: sans CO2 pas de feuilles.En outre et malheureusement je ne suis pas du tout convaincu que nous soyons dans une période de réchauffement.En revanche ce dont je suis bien convaincu c’est que cet alarmisme est une arme redoutable de tous les mondialistes et de leur influence pour nous embastiller au même titre que le covid, suprême aubaine pour ceux qui rêvent d’étendre à la planète entière un régime mondialiste très semblable au régime soviétique.Cela ne veux pas dire que le covid n’existe pas, mais quelle chance pour ces apprentis sorciers , le prétexte est tellement bon qu’il est louche!

  5. Jean dit :

    Dans ma modeste conférence sur l’homme et le climat, je me garde bien d’énumérer une liste de « faits » scientifiques avec de nombreuses et surtout rebutantes sources, pour en rester sur des principes généraux qui devraient suffire pour raisonner et aboutir à une conclusion, de manière à éviter que tout devienne une affaire de spécialistes. Donc voici 3 pistes de réflexion.
    1- le mot climat vient du grec clino qui signife inclinaison, et en particulier inclinaison des rayons du soleil par rapport au sol. C’est cette inclinaison qui définit les climats.
    2- le premier principe de la thermodynamique, reconnu de manière universelle (et programmé dans tous les codes de calcul), stipule la conservation de l’énergie dans un système isolé. Comment font les pro-réchauffement climatique pour respecter ce principe ? Cette question n’est jamais évoquée.
    3- qui a calculé si l’humanité a vraiment la capacité énergétique d’augmenter durablement la température ? je n’ai trouvé personne.
    Voilà pour quelques principes généraux (il y en a d’autres). Le reste est secondaire, d’ordre deux.

  6. Jean-Pierre Bardinet dit :

    Voici mes premiers éléments de réponse à Mr Maël M (MN), qui n’a même pas le courage de fournir son nom en précisant ses compétences scientifiques éventuelles.

    Critères de désinformation
    Voici les 5 critères qui permettent d’identifier une vaste opération de désinformation
    Critère n°1 : Unanimité de tous les médias et de tous les politiques, de toutes les institutions internationales(1)
    Critère n°2 : Surinformation sur un aspect de la question, omerta sur les autres(2)
    Critère n°3 : Tous les bons d’un côté, tous les mauvais de l’autre(3)
    Critère n°4 : Acquiescement de l’opinion débouchant sur une psychose collective(4)
    Critère N°5 : Refus d’accepter les observations dérangeantes et la controverse scientifique(5)

    Le réchauffement climatique anthropique et la politique énergétique associée satisfont à ces 5 critères. Dans le domaine scientifique, l’esprit critique, le scepticisme et la controverse sont des vertus. Mais en climatologie et en production d’électricité ce sont des tares.

    (1) Syndrome de la Pensée Unique

    (2) Le moindre événement météo quelque peu violent est aussitôt attribué au RCA et diffusé par tous les médias avec des commentaires catastrophes. Ne sont publiées et diffusées que les paroles d’écologistes (N Hulot, Al Gore, …), de certains scientifiques donnant priorité à leur idéologie sur l’éthique scientifique, de politiques (F. Hollande, E. Macron, Mme Pompili, …) et de celles des dirigeants de l’ONU et de la Commission européenne. Bref, seulement les paroles des plus incompétents en sciences. Plus ils sont ignares, plus leur couverture médiatique est forte. Je me rappelle de François Hollande affirmant fort sérieusement que c’est le RCA qui est cause des tsunamis. Les géophysiciens en rigolent encore…. Et aucun média n’a osé dire que c’était une ânerie… mais je ne suis pas sûr qu’ils le savaient.

    (3) Voici un texte plein de sagesse du physicien et enseignant-chercheur à Polytechnique, Serge Galam, sur le renversement de la charge de la preuve, publié sur Le Monde il y a quelques années.
    « Il est plutôt surprenant que celui qui affirme détenir « la » vérité voit ses paroles prises pour argent comptant quand celui qui réclame une preuve de cette affirmation non démontrée scientifiquement doit, pour être écouté, apporter la preuve que la vérité défendue sans preuve est fausse. Les techniques, la méthodologie, toute notre approche expérimentale et nos constructions théoriques ont été inventées pour prouver l’existence de ce qui existe. En revanche, il est impossible de prouver l’inexistence de ce qui n’existe pas… La preuve ne peut porter que sur quelque chose d’existant. Dans le débat sur le climat, j’insiste sur le fait que je parle bien d’absence de preuve, et non de doute, à propos de la responsabilité humaine en matière de réchauffement. De même, à propos de la question de savoir si nous sommes dans une phase longue de réchauffement ou de refroidissement. Le doute implique une croyance. Or en termes scientifiques soit j’ai la preuve, soit je ne l’ai pas. Il n’y a pas de place pour la subjectivité dans la validité d’un résultat scientifique. Il est urgent de savoir dire : « scientifiquement, on ne sait pas ». Aujourd’hui je ne dis pas que je doute de la responsabilité humaine, je dis qu’il n’y a pas de preuve de cette responsabilité. C’est un fait, pas une opinion ».
    Ce misérable physicien, qui avait osé critiquer le dogme du RCA (réchauffement climatique anthropique) a aussitôt été aussitôt vilipendé, accusé d’incompétence, traîné dans la boue… par les médias et des incompétents notoires.

    (4) La majorité des citoyens n’a pas les compétences ou le temps pour analyser avec objectivité ce que racontent politiques et médias. Ils sont soumis au feu roulant médiatico-politique et la répétition de mille mensonges deviennent vérité. En outre, dès la petite école, les enfants sont conditionnés par des messages aussi primaires que non prouvés ou faux : le CO2 émis par les humains réchauffe la planète, les usines en rejettent de même que les voitures, les camions, les avions et les bateaux donc il faut les supprimer pour sauver la planète.

    (5) Chaque fois qu’il y a eu un dialogue public entre un scientifique de la mouvance du GIEC et un scientifique climato-réaliste, le public, au départ acquis majoritairement aux thèses du GIEC, a été complètement retourné.

    Des manipulations du GIEC
    Tout citoyen ouvert ne pourra que reconnaître que ces 5 critères s’appliquent parfaitement au dogme du réchauffement climatique anthropique et qu’il s’agit bel bien de propagande. D’autant qu’il est clair que les statuts du GIEC et son mode de fonctionnement instrumentalisent la science. Dans ses statuts, rédigés par l’UNEP, il est demandé au GIEC de travailler sur le « Réchauffement Climatique Anthropique » (RCA) : « Évaluer sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation ». Donc, avant même que le GIEC n’ait commencé ses travaux, on lui impose LA SOLUTION : il y a réchauffement ET il est anthropique. Donc, mécaniquement, les dirigeants du GIEC vont tout faire pour justifier cette solution, et ils n’ont pas hésité à utiliser de la science fausse, comme, par exemple, le modèle d’effet de serre d’Arrhénius, qui avait été réfuté par les physiciens de son époque (expérience de Wood), ou encore d’inventer un nouveau processus physique, le forçage radiatif avec rétroaction, qui a la propriété étonnante de violer la seconde loi de la thermodynamique. Une fois que le rapport scientifique est rédigé, le résumé pour les décideurs (SPM) est préparé entre les dirigeants du GIEC et les représentants des gouvernements. Il est négocié mot par mot, à la virgule près, selon les bonnes habitudes du Grand Machin Onusien. De ce fait, le SPM gomme toutes les nuances, toutes les interrogations, tous les aveux de méconnaissance que l’on peut trouver dans le rapport scientifique. Il n’a donc aucune valeur scientifique. Puis, il est publié et présenté en grande pompe aux Etats, aux institutions internationales, et aux médias du monde entier pour qu’ils relayent la bonne Parole « GIECquienne » aux peuples de toute la planète. Après ce faste clinquant et fort onéreux, les scientifiques sont priés de mettre le rapport scientifique en conformité avec le SPM, qui a force de Loi Divine, et leur rapport ainsi remis dans la Ligne du Parti est publié plusieurs mois après le SPM. Jamais la science n’avait été ainsi dévoyée (sauf avec le lyssenkisme, cousin proche du dogme du RCA) et jamais son éthique la plus élémentaire n’avait été ainsi foulée aux pieds.

    Un peu d’humour pour finir cette première réponse.
    Pour terminer cette première réponse, voici un échantillon à la sauce Diafoirus de ce que racontent continuellement la propagande réchauffiste, médias, politiques, écologistes politiques et quelques scientifiques
    Il fait chaud ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Il fait froid ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Il pleut ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La sécheresse ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Une tempête ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Un ouragan ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Un cyclone ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Les âneries récurrentes de la Commission européenne sur le climat et l’énergie ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La mer qui monte ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La neige ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Le manque de neige, cette chose du passé ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Du vent ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La banquise boréale qui, selon Saint Al Gore, a disparu depuis 2016, refuse de disparaître ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Manque de vent ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Trop de vent ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La disparition des îles du Pacifique et de nos îles basses bretonnes, surtout quand elle est imaginaire ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Le temps qui change ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Le beau temps ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Le mauvais temps ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    L’hérésie des climato-réalistes ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La propagande climat-énergie ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La prophétesse Sainte Greta qui veut sauver la planète ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La science dévoyée par l’idéologie et le mensonge ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La peste, la gale, la dengue, la vache folle et le choléra ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !

  7. Jean-Pierre Bardinet dit :

    Voici mes premiers éléments de réponse à Mr Maël M (MN), qui n’a même pas le courage de fournir son nom en précisant ses compétences scientifiques éventuelles.

    Critères de désinformation
    Voici les 5 critères qui permettent d’identifier une vaste opération de désinformation
    Critère n°1 : Unanimité de tous les médias et de tous les politiques, de toutes les institutions internationales(1)
    Critère n°2 : Surinformation sur un aspect de la question, omerta sur les autres(2)
    Critère n°3 : Tous les bons d’un côté, tous les mauvais de l’autre(3)
    Critère n°4 : Acquiescement de l’opinion débouchant sur une psychose collective(4)
    Critère N°5 : Refus d’accepter les observations dérangeantes et la controverse scientifique(5)
    Le réchauffement climatique anthropique et la politique énergétique associée satisfont à ces 5 critères. Dans le domaine scientifique, l’esprit critique, le scepticisme et la controverse sont des vertus. Mais en climatologie et en production d’électricité ce sont des tares.

    (1) Syndrome de la Pensée Unique

    (2) Le moindre événement météo quelque peu violent est aussitôt attribué au RCA et diffusé par tous les médias avec des commentaires catastrophes. Ne sont publiées et diffusées que les paroles d’écologistes (N Hulot, Al Gore, …), de certains scientifiques donnant priorité à leur idéologie sur l’éthique scientifique, de politiques (F. Hollande, E. Macron, Mme Pompili, …) et de celles des dirigeants de l’ONU et de la Commission européenne. Bref, seulement les paroles des plus incompétents en sciences. Plus ils sont ignares, plus leur couverture médiatique est forte. Je me rappelle de François Hollande affirmant fort sérieusement que c’est le RCA qui est cause des tsunamis. Les géophysiciens en rigolent encore…. Et aucun média n’a osé dire que c’était une ânerie… mais je ne suis pas sûr qu’ils le savaient.

    (3) Voici un texte plein de sagesse du physicien et enseignant-chercheur à Polytechnique, Serge Galam, sur le renversement de la charge de la preuve, publié sur Le Monde il y a quelques années.
    « Il est plutôt surprenant que celui qui affirme détenir « la » vérité voit ses paroles prises pour argent comptant quand celui qui réclame une preuve de cette affirmation non démontrée scientifiquement doit, pour être écouté, apporter la preuve que la vérité défendue sans preuve est fausse. Les techniques, la méthodologie, toute notre approche expérimentale et nos constructions théoriques ont été inventées pour prouver l’existence de ce qui existe. En revanche, il est impossible de prouver l’inexistence de ce qui n’existe pas… La preuve ne peut porter que sur quelque chose d’existant. Dans le débat sur le climat, j’insiste sur le fait que je parle bien d’absence de preuve, et non de doute, à propos de la responsabilité humaine en matière de réchauffement. De même, à propos de la question de savoir si nous sommes dans une phase longue de réchauffement ou de refroidissement. Le doute implique une croyance. Or en termes scientifiques soit j’ai la preuve, soit je ne l’ai pas. Il n’y a pas de place pour la subjectivité dans la validité d’un résultat scientifique. Il est urgent de savoir dire : « scientifiquement, on ne sait pas ». Aujourd’hui je ne dis pas que je doute de la responsabilité humaine, je dis qu’il n’y a pas de preuve de cette responsabilité. C’est un fait, pas une opinion ».
    Ce misérable physicien, qui avait osé critiquer le dogme du RCA (réchauffement climatique anthropique) a aussitôt été aussitôt vilipendé, accusé d’incompétence, traîné dans la boue… par les médias et des incompétents notoires.

    (4) La majorité des citoyens n’a pas les compétences ou le temps pour analyser avec objectivité ce que racontent politiques et médias. Ils sont soumis au feu roulant médiatico-politique et la répétition de mille mensonges deviennent vérité. En outre, dès la petite école, les enfants sont conditionnés par des messages aussi primaires que non prouvés ou faux : le CO2 émis par les humains réchauffe la planète, les usines en rejettent de même que les voitures, les camions, les avions et les bateaux donc il faut les supprimer pour sauver la planète.

    (5) Chaque fois qu’il y a eu un dialogue public entre un scientifique de la mouvance du GIEC et un scientifique climato-réaliste, le public, au départ acquis majoritairement aux thèses du GIEC, a été complètement retourné.

    Des manipulations du GIEC
    Tout citoyen ouvert ne pourra que reconnaître que ces 5 critères s’appliquent parfaitement au dogme du réchauffement climatique anthropique et qu’il s’agit bel bien de propagande. D’autant qu’il est clair que les statuts du GIEC et son mode de fonctionnement instrumentalisent la science. Dans ses statuts, rédigés par l’UNEP, il est demandé au GIEC de travailler sur le « Réchauffement Climatique Anthropique » (RCA) : « Évaluer sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation ». Donc, avant même que le GIEC n’ait commencé ses travaux, on lui impose LA SOLUTION : il y a réchauffement ET il est anthropique. Donc, mécaniquement, les dirigeants du GIEC vont tout faire pour justifier cette solution, et ils n’ont pas hésité à utiliser de la science fausse, comme, par exemple, le modèle d’effet de serre d’Arrhénius, qui avait été réfuté par les physiciens de son époque (expérience de Wood), ou encore d’inventer un nouveau processus physique, le forçage radiatif avec rétroaction, qui a la propriété étonnante de violer la seconde loi de la thermodynamique. Une fois que le rapport scientifique est rédigé, le résumé pour les décideurs (SPM) est préparé entre les dirigeants du GIEC et les représentants des gouvernements. Il est négocié mot par mot, à la virgule près, selon les bonnes habitudes du Grand Machin Onusien. De ce fait, le SPM gomme toutes les nuances, toutes les interrogations, tous les aveux de méconnaissance que l’on peut trouver dans le rapport scientifique. Il n’a donc aucune valeur scientifique. Puis, il est publié et présenté en grande pompe aux Etats, aux institutions internationales, et aux médias du monde entier pour qu’ils relayent la bonne Parole « GIECquienne » aux peuples de toute la planète. Après ce faste clinquant et fort onéreux, les scientifiques sont priés de mettre le rapport scientifique en conformité avec le SPM, qui a force de Loi Divine, et leur rapport ainsi remis dans la Ligne du Parti est publié plusieurs mois après le SPM. Jamais la science n’avait été ainsi dévoyée (sauf avec le lyssenkisme, cousin proche du dogme du RCA) et jamais son éthique la plus élémentaire n’avait été ainsi foulée aux pieds.

  8. Jean-Pierre Bardinet dit :

    Un peu d’humour pour finir cette première réponse.
    Pour terminer cette première réponse, voici un échantillon à la sauce Diafoirus de ce que racontent continuellement la propagande réchauffiste, médias, politiques, écologistes politiques et quelques scientifiques
    Il fait chaud ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Il fait froid ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Il pleut ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La sécheresse ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Une tempête ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Un ouragan ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Un cyclone ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Les âneries récurrentes de la Commission européenne sur le climat et l’énergie ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La mer qui monte ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La neige ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Le manque de neige, cette chose du passé ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Du vent ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La banquise boréale qui, selon Saint Al Gore, a disparu depuis 2016, refuse de disparaître ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Manque de vent ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Trop de vent ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La disparition des îles du Pacifique et de nos îles basses bretonnes, surtout quand elle est imaginaire ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Le temps qui change ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Le beau temps ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    Le mauvais temps ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    L’hérésie des climato-réalistes ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La propagande climat-énergie ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La prophétesse Sainte Greta qui veut sauver la planète ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La science dévoyée par l’idéologie et le mensonge ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !
    La peste, la gale, la dengue, la vache folle et le choléra ? Le CO2 anthropique, vous dis-je !

  9. Maurice dit :

    Bonjour, ce qui est surprenant dans cette affaire de climat (le casse du siècle) est la propension des réchauffistes-carbonistes à ne pas vouloir débattre. Avancez une hypothèse, il en restera toujours quelque chose, c’est ce que semble vouloir les faux écologistes-mondialistes au nom du sacro-saint climat. En tout état de cause, un effet de serre ne peut exister au niveau d’une atmosphère. C’est une expression journalistique. En revanche il y a des GAIR (Gaz absorbant les infra rouge), le 1 er GAIR (env 72 %) est la vapeur d’eau. Les escrologistes veulent-ils chasser l’humidité et les nuages (système très complexe et pas complétement appréhendé) ? D’ailleurs je ne vois toujours pas en quoi 1 °C de plus poserait un problème, sauf à avoir moins besoin d’énergie et un meilleur confort de vie pour les plus population les plus démunies. Les chasseurs de Carbone devraient être heureux de cette situation, qui justement, demande moins de consommation d’énergie donc qui génère hélas moins de C02 indispensable à notre alimentation. A ce titre, je soupçonne de plus en plus les chasseurs de Carbone d’être des ennemis, volontaires ou involontaires (pour les manipulés) de l’humanité. Souhaitent-ils le retour des grandes famines, qui rappelons-le, se déclenche à un taux inférieur à 0,03 % de C02. Nous sommes à 0,04 % dans l’air, donc nous n’avons que 0,01 point de sécurité, c’est peu. En résumé, il faudrait connaitre les véritables motivations de ces morbides activistes soi-disant verts, ne veulent-ils pas sacrifier une partie de l’humanité ? Au début de l’univers le taux de C02 était de 80 %…et il n’y avait âme qui vive. Quant à la température de la terre elle a cycliquement varié entre 12°C et 23°C, nous sommes à 15,1°C. Plus (+) de taxes, plus d’impôts, plus de malus, plus de super malus, plus de malus au poids, plus de subvention aux escroqueries éoliennes, plus d’interdiction ne feront pas refroidir ou réchauffer la terre… Il s’agit clairement de l’escroquerie du siècle. Merci Jean-Pierre Bardinet pour votre éclairage. Bien à vous. Maurice

    • Jean Claude Richard dit :

      Bonjour Maurice! Je vous félicite pour votre réponse .L’analyse de JP bardinet est excellente .le mensonge anthropique est beaucoup plus dangereux que le CO2. IL suffit de remonter toutes les décisions politiques et les lois pour s’apercevoir que ça finit toujours par des impots et taxes et énormément de millions d’euros .Bien cordialement !

  10. René Le Honzec dit :

    Cher Monsieur,, votre article semble honnête, mais partisan . Vous croyez dans le réchauffisme, libre à vous d’adhérer à la doxa. Simplement, quand vous remarquez que M. Bardinet fait état de chiffres qui l’arrangent, je me permets de faire remarquer qu’il en est de même dans votre camp. Pensez-vous réellement que l’on puisse faire état d’un « réchauffement  » de 0,6° sur l’ensemble du globe au XXème siècle, tel que affirmé-entre-autre sur le site météofrance,
    quhttp://www.meteofrance.fr/climat-passe-et-futur/le-rechauffement-observe-a-l-echelle-du-globe-et-en-francei
    précision qui me laisse sceptique sachant que la terre fait 417 000 000 de km2 et qu’il n’y avait pas de mesures sur les 3/4 du globe jusqu’aux années 60?
    D’autre part le même site sait faire référence aux années particulièrement froides 60-90(cf le titre « Freeze » de Newsweek) quand ça l’arrange pour faire mousser sa théorie du réchauffement particulier des années 2000. Enfin, il suffit d’étudier son propre graphique des
    « Anomalie de la température moyenne annuelle de l’air, en surface, par rapport à la normale de référence : température moyenne en France (l’indicateur est constitué de la moyenne des températures de 30 stations météorologiques. Le zéro correspond à la moyenne de l’indicateur sur la période 1961-1990, soit 11,8 °C). »
    pour constater SUR ce graphique le plateau et le diminution des années 2010-2020 en moyenne décennale (trait noir).
    A galon genoh,

  11. Jean Claude Richard dit :

    Je suis entierement d’accord avec le commentaire de Mr Duprez! Les discours du GIEC ainsi que du monde politique et des groupuscules verdatres sont allés tellement loin dans le mensonge qu’il faut etre vraiment naif ou complice pour ne pas se rendre compte de la supercherie .Comment faire confiance a des gens qui nous font des prévisions fausses depuis des années ? Bien cordialement!

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