Au programme de cette édition, retour sur l’opération vaccin en France. Une semaine après l’injection de Mauricette, seules quelques centaines de personnes ont été vaccinées dans le pays. De nombreux médecins montent au créneau…
Du côté de l’Elysée, c‘est le flottement. Egalement dans cette édition : il est la bête noire du gouvernement, l’avocat de Didier Raoult, spécialiste des questions de Santé, Fabrice di Vizio, se lance dans de nouvelles batailles. Il nous expliquera en exclusivité les motifs de sa colère. Retour également sur les violences qui ont émaillé la nuit de la Saint Sylvestre.
Alors que tous les regards médiatiques étaient tournés vers les fêtes clandestines, les violences dans les cités ont été largement passées sous silence.
Et puis nous partirons aux Etats-Unis où les cruciales élections sénatoriales sont dans les starting blocks. De ces résultats, découlera la politique du président préféré des Médias, Joe Biden. Des médias qui continuent leurs opérations de dénigrement contre Donald Trump.
https://www.youtube.com/watch?v=N52ZwFaKK2Q
https://www.youtube.com/watch?v=N52ZwFaKK2Q
4 réponses à “Vaccins : Sommes-nous les cobayes de la Macronie ?”
Commencer une campagne de recrutement universelle par les résidents des EHPAD est une absurdité (une de plus) de la part du gouvernement. Ces personnes sont très âgées et fragiles. Inévitablement, quelques-unes mourront dans les semaines suivant la vaccination. D’autre chose, probablement, mais le doute sera là. Le message « le vaccin a tué mémé » circulera en boucle sur les réseaux sociaux. Vous parlez d’une publicité en faveur de la vaccination !
Je vous rejoins totalement ! Mais quand vous avancez ce type de raisonnement, vous faites partie des complotistes…J’ajouterai que compte tenu des comptes des caisses de retraite, une hécatombe les arrangerai bien !!!
Complotiste ? Non, je ne pense pas. Je ne crois pas que le gouvernement cherche à dissuader les Français de se faire vacciner, au contraire. Mais pourquoi alors commencer par les maisons de retraites, ce qui est contre-productif, on le voit bien ? Parce que ce choix est dicté au gouvernement par la situation de l’hôpital public. Rigide dans ses structures et ses méthodes, fragilisé par les restrictions budgétaires et plus encore par un taux de syndicalisation élevé et une ambiance délétère parmi le personnel, il n’est pas en mesure d’accueillir des afflux importants en réanimation. Or les personnes âgées représentent la grande majorité des admissions en réa. Depuis le début de l’épidémie, le gouvernement a toujours eu cet objectif prioritaire : ne pas en demander trop à l’hôpital public.
Pour moi, cette apparente lenteur est voulue. Cela permet d’organiser la campagne médiatique où tous les médias et tous les intervenants réclament une accélération voir une obligation du vaccin.
De cette façon, aux yeux du public, ce n’est pas le gouvernement qui impose, c’est la société qui le réclame.
Alors, qu’en fait, ces médias et ces intervenants médiatiques et politiques sont dès le départ aux ordres des labos.
Une belle opération de manipulation de l’opinion publique.