À Lorient, un migrant Afghan de 24 ans vient d’être condamné pour le viol d’un adolescent de 14 ans. Du côté de Brest, c’est cette fois un Tunisien qui a été appréhendé pour avoir menacé de décapitation un policier…
L’Afghan avait violé un mineur à Lorient
L’immigration extra-européenne n’a vraiment rien d’une chance pour la Bretagne. Et l’actualité judiciaire est là pour le rappeler ! Le tribunal correctionnel de Lorient a jugé une affaire particulièrement sordide lundi 16 novembre, puisque comparaissait un migrant afghan âgé de 24 ans et arrivé en France en 2016 pour des faits de viol requalifiés en agression sexuelle sur mineur.
Les faits en question remontent au 14 novembre 2017. Tandis que l’Afghan, présenté comme étant un « réfugié », héberge chez lui pour une nuit un adolescent de 14 ans ayant fugué depuis quatre jours de sa famille d’accueil, ce dernier va y subir un viol. C’est grâce au signalement de son éducatrice quelques jours plus tard que la trace du prévenu sera retrouvée par les enquêteurs, qui l’interpelleront puis le mettront en examen.
Des relevés génétiques effectués par la suite sur un sous-vêtement de la victime vont venir confirmer les suspicions pesant sur l’immigré extra-européen, Qareeb Molakhel à l’état civil. Qui, malgré ses dénégations devant le tribunal de Lorient, a finalement été condamné pour le viol de l’adolescent à une peine de cinq ans de prison ferme assortie d’un suivi sociojudiciaire d’une même durée. L’Afghan étant déjà incarcéré depuis deux ans. Il a en outre l’interdiction de paraître dans le Morbihan à l’issue de sa peine et l’obligation de verser 10 000 € de dommages et intérêts à la victime.
« Je vais te décapiter » : un Tunisien menace un policier à Brest
Autre fait toujours résultant de l’immigration incontrôlée qui déferle sur la France, à Brest cette fois, le 13 novembre dernier un individu de nationalité tunisienne a été contrôlé par une patrouille de police. Un contrôle visiblement peu apprécié par le migrant qui, bien que ne parlant que très peu français, a tout de même trouvé les mots pour menacer l’un des agents : « Je vais te décapiter », lui a-t-il asséné, entre autres outrages.
Le Tunisien, âgé d’une trentaine d’années, a été présenté devant le tribunal de Brest le 16 novembre. Du côté de la justice, le procureur a déclaré que la menace de décapitation suscitait « une inquiétude majeure ». Tandis que son procès a été finalement fixé au 22 décembre prochain, le migrant a été placé en détention provisoire. Une décision du tribunal motivée par ses propos sur la décapitation. Des menaces qu’il est désormais grand temps de prendre au sérieux, l’actualité française de cet automne nous le rappelant…
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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2 réponses à “Immigration. Un Tunisien menace de décapiter un policier à Brest, un Afghan condamné pour viol sur un mineur à Lorient”
Marrant non ???? Au moins que ces « muzz » laissent tranquilles les pauvres FRANCAIS victimes du psychopathe et nous débarrassent de ces vermines .
Qu’on balance tout ce « beau monde » au milieu de l’Océan Indien ou Pacifique ! Mais même les requins n’en voudraient pas par crainte d’une indigestion !