Depuis plus de quinze ans, Pierre Hillard étudie l’idéologie mondialiste, il en a identifié les origines, les acteurs et les objectifs. Fort de cette expertise unique, il « décode » l’actualité dans une série de chroniques couvrant la période allant de 2010 à 2020 où la grille d’analyse qu’il a forgée permet de démontrer la progression implacable, dans les faits et au quotidien, du projet mondialiste.
Auparavant dans un long avant-propos, il aura, en s’appuyant sur la tradition de l’église catholique, exprimé sa conviction profonde quant à la nature du combat qu’il nous invite à livrer. Oui, ce sont bien les « puissances des ténèbres » qui sont à l’œuvre et que l’humanité tout entière devra affronter en s’appuyant sur une foi retrouvée.
Cette nouvelle édition est enrichie d’un rapport sur le mondialisme de 40 pages, de treize chroniques supplémentaires, de nombreuses annexes et surtout d’une longue et inédite conclusion de l’auteur dont l’objectif est de faire un bilan de cette décennie décisive dans la progression du mondialisme et de son triomphe apparent…
Une nouvelle édition parue aux éditions Cultures et racines , à commander ici
Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?
Intéressé depuis toujours par l’histoire en lien avec d’autres aspects (religion, armée, philosophie, …), j’ai fait des études de sciences politiques achevées par un doctorat. Ma thèse portait sur la vision qu’à l’Allemagne de l’Europe parallèlement à la colonisation germanique dans tout l’est de l’Europe. C’est une étude qui commence au Moyen-Âge jusqu’à la Seconde guerre mondiale dans une première partie tandis que la seconde traite de la politique allemande dans le cadre de l’Union européenne. À partir de ce travail, j’en ai fait un livre intitulé Minorités et régionalismes.
Breizh-info.com : Vos chroniques du mondialisme ressortent, actualisées jusqu’à 2020. Parlez nous de cet ouvrage…
Ce livre est constitué de plus de 60 chapitres de quelques pages traitant d’une manière synthétique un sujet précis (construction européenne, Chine, démographie, Brexit, gouvernance mondiale, sionisme, etc) accompagnant 18 annexes (cartes, tableaux, distinctions honorifiques révélatrices d’un tour d’esprit, …). Outre l’ajout d’une dizaine de chapitres et de plusieurs annexes inédites, ce livre actualisé s’achève par une très importante conclusion qui fait le bilan d’un très long processus propre au mondialisme.
La Covid-19 avec ses répercussions politiques, économiques, sociales et sanitaires n’est que l’outil, comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, pour parachever un idéal ancien d’unité planétaire doublée d’une spiritualité bien définie.
Pour expliquer cette dernière ligne droite, j’ai rassemblé les morceaux d’un puzzle (documents politiques, économiques et spirituels) dont la finalité est d’aboutir à ce fameux saut qualitatif. Il n’empêche que la finalisation du projet se heurte à de multiples problèmes à la fois matériel mais aussi spirituel en référence à un idéal messianique approuvé par certains et rejeté par d’autres.
En effet, il s’agit pour les tenants du mondialisme d’harmoniser et de concilier les intérêts financiers, économiques et géostratégiques entre une multitude de factions anglo-saxonnes, russes, chinoises, allemandes, israéliennes, turques, anglaises, françaises etc au sein d’une gouvernance ou directoire mondial marqué par une spiritualité détruisant le principe de la Révélation.
Le partage du gâteau, dans son aspect matériel, doit se faire dans le cadre d’une grande réinitialisation au profit d’une étape supérieure (le fameux Ordo ab chao) mettant à bas le système politico-économique né en 1944 à la suite des Accords de Bretton Woods établissant le dollar comme monnaie de référence. Toute la question est de savoir si les différentes factions sauront s’entendre pour finaliser ce projet babélien.
Breizh-info.com : Qui sont les acteurs principaux du mondialisme que vous décrivez dans votre ouvrage ? Est-on dans une logique de complot dirigé par une petite oligarchie pour contrôler les masses, ou est-ce plus compliqué que cela ?
Depuis que le monde est monde, ce sont toujours les minorités qui imposent leur loi en bien comme en mal. Dans la situation actuelle, il faut s’intéresser aux cénacles discrets qui réunissent une élite même si des dissensions existent dans ce milieu. Sans pouvoir tous les nommer, il faut étudier le curriculum vitae des personnes siégeant dans ces instituts élitistes politiques, financiers, pharmaceutiques, etc : Council on Foreign Relations Chatham House, francechinafoundation, Rand Corporation, BlackRock, Vanguard Group, l’Institut Mérieux le Transatlantic Policy Network ou encore des groupes chinois comme Everbright, Alibab Group, Cogobuy Group, idem côté russe, israélien, allemand (Cf. mon livre La Fondation Bertelsmann seul ouvrage en français sur le sujet) etc. La liste est très longue.
Qui s’intéresse, par exemple, à Jack Ma le fondateur d’Alibab Group membre du Comité stratégique de la francechinafoundation ou encore à Yan Lan de Lazard Chine ? Prenons l’exemple de cette Fondation France/Chine dont on trouve une pléthore d’anciens Premiers ministres français (Fabius, Raffarin, …) mais aussi la crème d’instituts comme Axa, l’institut Mérieux, Bouygues, l’Oréal sans oublier de grands groupes chinois. Cette Fondation recrute chaque année des Young Leaders français et chinois comme Édouard Philippe (2013), Olivier Véran (2019) et sa compagne, Coralie Dubost (2017) députée à l’Assemblée dite nationale ou Chang Jian (2018) travaillant au sein du ministère des Affaires étrangères chinois.
J’invite les lecteurs à éplucher année après année les personnes Young Leaders de cette Fondation ainsi qu’à étudier leurs activités professionnelles.
J’invite même Breizh Info à présenter et à diffuser au maximum des informations sur cette Fondation pour, enfin, se poser la question suivante : le peuple souverain, selon la vulgate républicaine, a-t-il son mot à dire dans tout cela ? Et je pourrais évoquer cette autre Fondation dont j’ai dénoncé, il y a plusieurs années, une influence certaine, la French American Foundation. Parmi les Young Leaders, on peut nommer François Hollande, Édouard Philippe, Emmanuel Marcron etc. J’ai publié la liste des « heureux » élus de 1981 à 2018 dans Atlas du mondialisme à partir de la 2è édition et la liste des noms, pour la période 2019 et 2020, dans Chroniques du mondialisme. Au moins, il y aura un trace papier même si ces informations disparaissent d’internet.
Breizh-info.com : On vous connaît également en tant qu’opposant à ce que vous appelez « l’Europe des régions », dans lesquelles les minorités feraient le jeu du mondialisme. N’est-ce pas plutôt la République française, jacobine, droit de l’hommiste, qui porte en elle les germes du mondialisme dans son essence ?
Bien entendu, je suis contre la République jacobine (girondine et autres) issue des principes messianiques de 1789. En tant que catholique traditionnel, je suis immunisé contre ces principes.
Je vous invite à lire mon livre Minorités et régionalismes mais aussi l’Atlas du mondialisme et Archives du mondialisme afin de mieux comprendre mon opposition à l’Europe des régions. Tout d’abord, il faut rappeler que le socle de la civilisation française repose sur le baptême de Clovis sous l’égide de l’évêque saint Rémi, situation qui perdure jusqu’à Louis XVI soit 1300 ans. L’autorité royale préservait la diversité culturelle des différents peuples constituant la nation française. Quand Louis XIV s’exprimait, il disait « à mes peuples » et non « Français, Françaises ». Le concept classique français est culturel et non racialiste.
À titre personnel, je suis pour une France des provinces (le terme « région » est technocratique) dont les caractéristiques culturelles sont préservées sous l’égide d’un roi de France, sacré à Reims, Père de la nation. En 2020, il est difficile de faire comprendre certains thèmes en raison de la déchristianisation qui fait des ravages dans les esprits conduisant à un affaiblissement des défenses naturelles spirituelles au profit d’autres pensées religieuses mâtinées, à des degrés divers, de gnose, de Kabbale, de New-Age, de déisme ou, tout simplement, d’athéisme. Cette évolution des pensées détruisant le classicisme ne permet plus de comprendre l’esprit d’autrefois. Il faut rappeler un élément fondamental qui a disparu des esprits essorés par le modernisme. Le point de départ à la source de votre question repose sur l’annonce dans l’Ancien Testament du rôle essentiel du peuple hébreu pour donner naissance au Messie via l’Incarnation. Ce dernier est issu de la tribu de Juda et, plus précisément, de la famille royale de David avec une descendance assurée quoiqu’il arrive comme cela a été annoncé à de multiples reprises (par exemple, Psaume 89, Cf. Bible Crampon).
La non-reconnaissance du caractère messianique du Christ par les élites juives (sauf exception évidemment) a conduit ce peuple à se positionner en porte-à-faux avec la création du Talmud entre 100 et 500 ap. J-C, violemment anti-catholique, en lien avec la Kabbale. En raison de ce retournement, nous assistons à une passation de pouvoir avec « l’Israël du Nouveau Testament » qui est la France, première nation marquée spirituellement dans le domaine politique en 496. Cette bascule se fait sous la direction de l’évêque saint Rémi qui, dans son fameux Testament, évoque ce passage de témoin de la royauté davidique vers la nouvelle monarchie en la personne de Clovis. Cette passation se fait, point capital, par l’intermédiaire de l’Incarnation.
Quand Eric Zemmour parle de saint Louis sous le titre du « roi juif », il exprime à la fois une forme, je dis bien une forme, de vérité et, en même temps, une affreuse falsification. En effet, la monarchie française est l’héritière de la monarchie hébraïque initiée par le roi David, comme le rappelle l’évêque saint-Rémi lors du baptême à Reims de notre premier roi. Cependant, celle-ci n’a de valeur qu’en raison de l’Incarnation qui parachève le mosaïsme. Eric Zemmour, rebelle à cette Incarnation et partisan des principes de 1789, se garde bien de rappeler ce point capital. En parlant ainsi, il trouble les esprits et talmudise un principe alors qu’il n’a pas lieu d’être. La France, en tant que « Fille aînée de l’Église », a donc un rôle premier à jouer qui est, en liaison avec Rome, de diffuser les principes de la Révélation comme cela a été énoncé dans le Testament de saint-Rémi (Cf. mon livre Archives du mondialisme, chapitre II).
Il va de soi qu’une Europe des régions détruit le socle même des injonctions de l’évêque saint-Rémi en dissolvant la France en une multitude de régions au profit d’une autre métaphysique violemment rebelle au catholicisme né de l’Incarnation : le judaïsme talmudo-kabbalistique.
Que le lecteur de Breizh info, peu importe ses convictions religieuses, se pose la question.
Pourquoi les élites juives défendent avec passion le principe des droits de l’homme et celui des minorités comme j’ai pu le montrer, entre autres, dans le cas du Traité de Versailles en publiant l’intégralité de la thèse de Nathan Feinberg dans Archives du mondialisme décrivant le rôle des Juifs en faveur du fait minoritaire ?
Tout simplement en pulvérisant les États, et la France en priorité en tant que modèle concurrent de par les origines de son baptême, en une myriade de groupes ethniques dans un cadre territorial plus ou moins important, la synagogue aveugle peut imposer son modèle consistant à dissoudre les pays en tribus. Dans la mystique talmudo-kabbalistique, la finalité du projet consiste à faire du peuple juif le peuple prêtre intermédiaire unique entre le Dieu un (surtout pas trinitaire) et le reste de l’humanité divisée de manière tribale (et régionale) dans le cadre du noachisme (religion universelle pour les non-Juifs), cette humanité tribalisée étant rangée comme simple prosélytes de la Porte au seuil du Temple rénové.
Lisez Israël et l’humanité du rabbin Élie Benamozegh et vous comprendrez vite à quelle sauce tribale et régionale ils veulent nous « manger ».
Sinon, lisez la synthèse des écrits de ce rabbin porte-parole de ce modèle dans Atlas du mondialisme. Je rappelle aussi que le promoteur de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires s’appelle, comme par hasard, Herbert Cohn. J’ai publié son discours écrit de sa main dans Archives du mondialisme. J’ajoute enfin les Mémoires du secrétaire du Congrès juif mondial, Gerhard Riegner, intitulés Ne jamais désespérer avec un sous-titre qui résume tout : Soixante années au service du peuple juif et des droits de l’homme.
Breizh-info.com : Vous avez également récemment publié « Sionisme et mondialisme » aux éditions Nouvelle terre. Pouvez vous nous parler de cet ouvrage ? Vous y expliquez qu’il y aurait une forme de concurrence et d’adversité quasi irrémédiable entre judaïsme politique (sionisme) et catholicisme, pour quelles raisons ?
Le sionisme lancé par Theodor Herzl n’est qu’une énième tentative messianique (depuis 2000 ans) sous des apparences laïques de rétablir la gloire d’Israël au dépens des nations. Dans Sionisme et mondialisme, j’ai présenté et synthétisé dans la première partie les carnets complets de Theodor Herzl. Pour compléter la réponse précédente au sujet de la destruction des nations dans le but de favoriser le fait tribal et régional dans le cadre d’une gouvernance mondiale, je rappelle les propos du fondateur du sionisme :
« Rien ne nous empêche d’être et de rester les représentants d’une humanité une tout en étant chez nous sur notre propre sol. Pour atteindre cet objectif, nous n’avons pas besoin en fait de continuer à résider parmi les nations qui nous haïssent et nous méprisent. Si nous voulons réaliser cette idée universelle d’une humanité sans frontières dans les circonstances présentes, nous aurons à combattre l’idée de patriotisme (ndla : souligné par nous) (…). »
Il va de soi qu’à la lecture de ces propos, une « Europe des régions » entre parfaitement dans le concept sioniste héritier d’une pensée revancharde propre à la synagogue aveugle. Je dis bien revancharde. En effet, outre le fait politique d’établir l’idéal d’un foyer juif (ou État juif) à la pointe d’une « humanité une » combattant le patriotisme, il m’a été possible de constater à la lecture des carnets de Herzl que le seul ennemi du sionisme, c’est le catholicisme. Il n’y a pas un paragraphe, pas une ligne contre l’islam, l’hindouisme, le bouddhisme et même le protestantisme dans les 1600 pages des écrits du fondateur du sionisme. Concernant son combat contre le catholicisme, on peut y lire des propos comme démonter « le Saint-Sépulcre pierre par pierre » ; « le conflit est à nouveau ouvert entre Jérusalem et Rome » ou encore ce passage adressé à l’ambassadeur américain Oscar Strauss :
« Je lui ai dit que je considérais uniquement Rome comme l’adversaire. (…) Rome est le frère riche qui hait son frère pauvre [le judaïsme]. »
En lisant les carnets complets de Herzl, on constate que l’élément clef qui l’oppose à Rome est la non-reconnaissance, lui comme les membres de sa communauté, du fait que le Christ est le Fils de Dieu incarné. C’est écrit d’une manière claire et nette dans ses carnets. La force de ce milieu juif est de connaître l’obstacle à abattre. En revanche, les non-Juifs sont à une écrasante majorité ignorants des pensées intimes propres à ce monde. C’est pourquoi les goyim, même antisémites, se font souvent influencer et manipuler au profit du groupe adverse. À titre d’exemple, je rappelle les propos fort profonds de la revue les Archives israélites parues de 1840 à 1935 au sujet du centenaire de l’antisémite Voltaire : « Si Voltaire nous a été funeste, le voltairianisme nous a été éminemment utile (Archives israélites, 1er juin 1878). »
Ces propos, nous pouvons les compléter par ceux de Herzl prédisant que la réussite du projet sioniste passant par un flux migratoire juif en direction de la Palestine se ferait facilement car « les antisémites s’en chargeront pour nous ». Précisons que la deuxième partie de Sionisme et mondialisme traite des relations entre nazis et sionistes de 1933 à 1941. Il m’a été possible de prouver que l’Allemagne nazie a contribué à la formation de plusieurs dizaines de milliers de Juifs germanophones aux techniques agricoles, horticoles etc constituant le noyau de l’économie israélienne lors de la création de ce pays en 1948.
Breizh-info.com : Vous avez récemment expliqué que la Covid-19 était potentiellement l’élément déclencheur pouvant déclencher une bascule vers un monde d’essence totalitaire. N’est-ce pas un peu complotiste ? Quelles formes prendrait ce nouveau monde que vous évoquez ? Les dirigeants sur toute la planète sont-ils si mal intentionnés que cela ou au contraire, cherchent-ils à protéger leurs populations ?
Complotiste ? Outre ma réponse à la question 3 au sujet d’un exemple cité avec la francechinafoundation et ses multiples liens politiques, financiers et pharmaceutiques, lisez les propos du patron du Forum économique de Davos, Klaus Schwab, au sujet du Great Reset. Comme il l’écrit lui-même : La grande réinitialisation, c’est « le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles (ndla : souligné par nous). »
ou encore : « (…) Pour obtenir de meilleurs résultats, le monde doit agir conjointement et rapidement pour repenser tous les aspects de nos sociétés et économies, de l’éducation aux contrats sociaux en passant par les conditions de travail (ndla : souligné par nous). Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. Pour faire simple, nous avons besoin d’une »Grande remise à zéro » du capitalisme (ndla : souligné par nous). »
Ces extraits viennent de la longue conclusion faite pour Chroniques du mondialisme. Il y en d’autres du même style que je laisse découvrir aux personnes curieuses. Je tiens à préciser aussi que l’aspect apparemment implacable de ce mondialisme est condamné à échouer. Pour cela, je donne une information qui permet de saisir les raisons de cet échec. Au sujet de la forme finale de ce nouveau monde collectiviste et apostat, vous avez tout le programme dans Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley.
Breizh-info.com : Hormis vos ouvrages, y’en a-t-il certains que vous aimeriez porter à la connaissance de nos lecteurs pour décrypter l’actualité et cette formidable accélération de l’histoire que nous vivons à l’heure actuelle ?
Je conseille les travaux de Valérie Bugault et de Lucien Cerise.
Propos recueillis par YV
Crédit photo : DR
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2 réponses à “Pierre Hillard : « La Covid-19 n’est que l’outil (…) pour parachever un idéal ancien d’unité planétaire doublée d’une spiritualité bien définie » [Interview]”
Les prochinois sont parmi les plus convaincus que l’épidémie accélère l’histoire :
https://humaniterouge.alloforum.com/covid-accelere-histoire-t7460-1.html
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