Enième épisode d’un « vivre ensemble » à Rennes qui ne plait qu’à la municipalité PS : le personnel des Urgences du CHU Pontchaillou, en première ligne face aux agressions qui se multiplient en son sein, réclame une protection policière.
Une demande qui en dit long sur l’état d’insécurité qui règne, aux abords du CHU, où des bandes sans aucun honneur ne craignent nullement de venir y régleur leurs comptes.
« Un an après leur agression, Anthonin et Valentin n’ont rien oublié des insultes, des crachats, les coups et des violences dont ils avaient été victimes en octobre 2019. Ces deux infirmiers travaillent aux urgences du CHU Pontchaillou, à Rennes. Pour la première fois de leur carrière, ils ont assisté au procès de leur agresseur ce mardi. Dans le calme de la salle d’audience du tribunal correctionnel, les deux hommes ont pu exprimer leur ras-le-bol face à la montée de la violence dont ils sont victimes. « Ça ne cesse d’augmenter. Il n’y a pas un jour passé sans se faire insulter, sans que l’on nous crache dessus ou que l’on nous menace de mort. C’est devenu normal aux urgences », témoigne Anthonin, qui exerce depuis seize ans comme infirmier » peut-on lire sur MSN.com
Le 15 octobre dernier, un homme est allé jusqu’à prendre en otage avec un couteau une aide-soignante.
Autre cas récent, celui de ce ressortissant afghan de 20 ans – que des associations s’évertuent à faire venir et à maintenir sur notre territoire – accusé de menaces de morts sur le personnel, et d’avoir dit vouloir revenir avec une kalachnikov.
Le personnel lui, est terrorisé – tout comme le sont les tenanciers d’établissements dans le centre rennais confronté aux exactions des faux mineurs isolés étrangers aussitôt arrêtés, aussitôt relâchés du fait du laxisme judiciaire et des traités internationaux qui priment sur la sécurité des Français.
Il y a quelque jour, une partie du personnel a tourné un clip pour dénoncer les conditions de travail actuelles :
Aujourd’hui, le CHU, comble de l’ironie dans nos sociétés dont les dirigeants ne cessent de vanter un « vivre ensemble » qui n’existe pas, est obligé de fonctionner avec huit agents de sécurité en permanence sur le site et un protocole spécifique avec la police, qui lui permet d’intervenir rapidement.
L’effondrement progressif du système de santé, comme l’effondrement rapide de la sécurité des citoyens dans ce pays, est le signe que quelque chose va très très mal dans ce pays.
Mais dormez braves gens, pendant ce temps, les gendarmes d’Ille et Vilaine reçoivent et appliquent sans broncher la consigne de faire la chasse à ceux qui ne respecteraient pas le confinement dans les gîtes de Saint-Malo…
Crédit photo : DR
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2 réponses à “Rennes. Menacé, violenté, le personnel des Urgences réclame plus de protection policière”
les « flics » ? Il préfèrent aller ponctionner (racketter) les honnêtes citoyens que de les défendre . Ils vont où ils ne risquent pas d’être la cible de « jeunes » dans les cités .Trop dangereux !
Et moi , j’aime bien quand la peur change de camp .
qui sont les auteurs de ces menaces et de ces violences ?
des blonds aux yeux bleus descendant des vikings ?
des immigrés norvégiens ?
des plombiers polonais ?