Dans le cadre du cycle de conférences consacré à Charles Baudelaire, Agnès Spiquel revient sur la difficile genèse de ce recueil que Baudelaire n’acheva pas et comment il approfondit les intuitions des Fleurs du Mal, avec « plus de liberté et de raillerie », selon le poète lui-même – en particulier cette « double postulation » qui est au centre de sa perception du monde et de la vie.
Après avoir enseigné au lycée (Créteil) puis à l’université (Amiens et Valenciennes), Agnès Spiquel mène une retraite active, essentiellement consacrée à l’œuvre d’Albert Camus. Mais, avant cela, ses recherches avaient porté pendant de longues années sur Victor Hugo et sur le romantisme.
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