Rennes : coups de couteau à la station de métro Pontchaillou
La violence ne concerne pas que l’hyper-centre à Rennes, loin de là. Si les agissements des migrants « mineurs » étrangers ont beaucoup fait parlé ces dernières semaines en ville, jusqu’à faire réagir Lénaïc Briéro, adjointe à la maire chargée de la sécurité, un autre fléau continue de sévir dans la capitale de l’Ille-et-Vilaine, à savoir les règlements de comptes entre bandes rivales.
Le dernier en date a eu lieu dans l’après-midi du 1er septembre, sur le quai de la station de métro Pontchaillou. Plusieurs adolescents, âgés de 15 à 16 ans selon une source policière, se sont alors affrontés tandis que certains étaient armés de couteaux et de battes de baseball. Ce sont des agents de sécurité du CHU situé non loin qui sont intervenus pour mettre fin à la rixe.
La bagarre a ainsi fait deux blessés, dont l’un grièvement par coups de couteau (et par ailleurs déjà très défavorablement connu des services de police). Lesquels ont ensuite été transportés par les sapeurs-pompiers vers le CHU.
Affrontements à répétition entre bandes à Rennes
Certains assaillants vont décider de s’enfuir à travers les locaux mêmes du CHU de Pontchaillou. Deux d’entre eux seront finalement arrêtés dans un service de soins de l’hôpital après une course-poursuite…
Entre temps, une équipe de policiers se rendra également sur place et procèdera à l’interpellation de deux autres individus. Au total, trois des quatre interpellés sont mineurs. Ils termineront tous leur journée en garde à vue. Une enquête a été confiée à la sûreté départementale en vue d’éclaircir les circonstances de la rixe. Est-elle liée ou non avec le trafic de stupéfiants ?
Ce n’est pas la première fois que le Centre Hospitalier Universitaire de Rennes doit faire face à des violences entre bandes. Au mois d’octobre 2019, une cinquantaine d’individus s’étaient déjà affrontés au CHU, armés de battes de baseball et de couteaux. De quoi mettre à rude épreuve les nerfs des 48 agents du service de sécurité du CHU qui s’étaient alors mis en grève à la fin de l’année dernière pour dénoncer la situation. Ils ne sont en effet pas équipés pour parer à des affrontements d’une telle ampleur, la police leur ayant stipuler de ne pas intervenir en pareille situation. Sauf que ces bagarres menacent directement la sécurité des patients, des soignants et des visiteurs du CHU…
L’insécurité est bien en passe de devenir le problème numéro un à Rennes.
AK
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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3 réponses à “Rennes. Le CHU pris en otage par les rixes entre bandes ?”
Désolé mais je ne plaindrai pas les Rennais. Depuis plus de quarante ils ont toujours votez à gauche. Ville volontairement aveugle. J y étais étudiant en 91 venant du sud de la France j essayais de leur expliquer ce qu il se passer dans villes du Sud la racaille commençant à dominer certains quartiers.Resultat on me traiter de fachos. Et aujourd hui tout ce qui hélas état prévu est arrivé. Les Rennais ont peur pour leur filles leur épouses dans les rues, peur d être tabasse pour 2 euro par ces mêmes migrants qu à travers leur vote ils ont contribué à protéger à être au dessus des lois.
En Corse ou je vis aujourd’ hui avec mon épouse Bretonne nous sommes en sécurité car ici la racaille sait qu en cas d attaque la réplique sera celle des Corses pas de la justice laxiste Francaise
Bien vu l’analyse , j’adhère entièrement , même constat catastrophique à Nantes , ville de gauche depuis des décennies….du changement mais je n’y crois plus , bonne journée.???☕
Confirmation , j’habite à Nantes , ville de gauche depuis des lustres , le laxisme total des racailles et autres individus malsains , connus des services de police , arrêter et … relâcher , pauvre France , je pense que les Français vont fréquenter les armureries et je les comprends , nous sommes livrés à nous même , et on paye des impôts..!