L’excellent site Jereinforme vient de faire paraitre une étude comportant les preuves du laxisme judiciaire qui sévit actuellement en France, et qui a des conséquences directes sur les citoyens de ce pays. Sans la décision criminelle d’un juge de remettre en liberté ce meurtrier et violeur d’origine européenne arrêté récemment à Nantes, jamais cette jeune fille de 15 ans ne serait morte aujourd’hui. Lisez ci-dessous, c’est édifiant.
En France, le laxisme judiciaire est une réalité incontestable. Pour le prouver, j’ai réuni dans cet article un certain nombre d’exemples d’affaires qui devraient interpeller toute personne se préoccupant plus des intérêts des victimes que des coupables en France.
En effet, cela fait plusieurs années que je suis enragé à chaque fois que je découvre qu’un crime ou un délit a été commis par un délinquant qui a déjà une cinquantaine de condamnations à son actif.
Comment peut-on imaginer une seule seconde qu’une telle personne ne va plus recourir à la délinquance ? Pensez-vous franchement que la justice a un quelconque effet sur un homme qui a déjà été condamné 50 fois ? Qui sait très bien qu’il n’a rien à craindre de la justice française ?
Le laxisme judiciaire se matérialise de 3 différentes manières :
- Des peines ridicules sont appliquées pour des incidents souvent graves.
- Les peines sont toujours allégées au bout d’un certain temps, de sorte que la peine prononcée ne soit jamais la peine appliquée.
- Les récidivistes sont non seulement relâchés sans problème, mais en plus le risque de récidive n’est quasiment pas pris en compte dans les nouvelles condamnations des récidivistes.
Pour ces raisons, nous aboutissons à des situations insupportables de laxisme judiciaire qui ne peuvent qu’abasourdir et tourmenter l’honnête Français.
Ainsi, dans ce pays de moins en moins français, si vous êtes coupable de viol, le code pénal prévoit 15 ans de prison ferme, mais en général, vous vous en tirerez avec 8 ans, et vous sortirez en réalité au bout de 4 ans. Et bien souvent, le criminel récidive avant même la fin de la peine qui était prononcée, mais pas appliquée ! Je ne grossis même pas le trait : c’est exactement ce qui se passe en France, et je le prouve dans les exemples que je mets en avant dans la suite de l’article : Elise Fauvel et Julien Tesquet ont été tués en 2015 par un Rwandais qui avait pourtant été condamné pour viol en 2011 à 8 ans de prison ferme !
La justice dite française a donc le sang d’Elise Fauvel et de Julien Tesquet sur les mains, tout comme le sang de milliers d’autres innocents agressés, volés, frappés, violés ou tués par des criminels qui ont été libérés plus tôt ou qui ont été puni à des peines ridicules au regard de leurs actes.
Dans les affaires que je liste ci-dessous, vous constaterez que de très nombreux accusés ont déjà des dizaines de condamnation à leurs actifs : “19 condamnations”, “condamné pour la 44e fois”, “73 antécédents judiciaires”, “déjà condamné 27 fois”, “40 antécédents”… Après tout, qui n’a pas le droit à une 28e chance ? Qui n’a pas le droit à une 45e chance ? Qui n’a pas le droit à une 74e chance ?
Je n’ai même pas cherché à être exhaustif ou à trouver les exemples les plus choquants : ces preuves de laxisme judiciaire ne sont que articles que j’ai vu passer au cours des derniers mois et que j’ai archivés.
La justice de notre pays se préoccupe bien plus des coupables que des victimes, puisqu’elle libère et laisse en liberté des hommes dangereux, dont les futures victimes ne semblent pas préoccuper les juges de ce pays.
L’idéologie de gauche, à l’origine du phénomène
Pour comprendre l’origine de ce laxisme judiciaire, il y a 2 points à prendre en compte. Le premier est qu’une très grande partie des magistrats en France sont de gauche, voire d’extrême-gauche, et leur idéologie imbibe leurs décisions judiciaires. Le deuxième point à prendre en compte est que la majorité des délinquants sont étrangers [preuves], au sens où ils n’ont pas de sang français, mais le plus souvent du sang africain.
Or l’idéologie dominante (de gauche) promeut très activement l’ethnomasochisme et la haine de soi au point qu’elle arrive constamment à tenir “la société” pour responsable des actes de certains immigrés délinquants voire criminels multirécidivistes.
- Votre fils s’est fait lyncher pour une cigarette refusée ? C’est parce qu’ils se sentent exclus de la société française raciste !
- Vous vous êtes fait voler votre téléphone ? C’est parce qu’ils sont issus de quartiers populaires et défavorisés !
- Votre fille s’est fait violer en sortant de la station de métro ? C’est parce qu’ils ne maîtrisent pas les codes culturels occidentaux !
J’exagère à peine le trait, car des dizaines d’affaires judiciaires témoignent de ce laxisme insupportable. La gauche, dans son retournement complet des valeurs, a bien plus de compassion pour un délinquant condamné 30 fois que pour sa prochaine victime.
Les coupables ne sont jamais responsables de rien, ils sont bons par nature, s’il y a un incident, c’est forcément la faute de la société, de l’exclusion, du racisme, des institutions, etc, etc. Ce raisonnement s’applique d’ailleurs également par la justice aux Français blancs, sauf s’ils sont d’extrême-droite bien sûr, parce que dans ce cas, ils seront sévèrement punis.
Rappelons par exemple qu’Esteban Morillo, coupable de s’être défendu face à une bande d’antifas dont l’un des membres est mort après avoir reçu un coup de poing, a été condamné à 11 ans de prison ferme, alors qu’une telle condamnation est extrêmement rare pour un homicide involontaire.
Le laxisme judiciaire en preuves
Je vous laisse maintenant lire quelques exemples représentatifs de ce laxisme judiciaire meurtrier en France, dont les responsables sont au premier chef les magistrats, et dans un second temps, tous les lâches qui se sont soumis un jour au politiquement correct, laissant par là même la gauche étendre son influence sur tous les secteurs du pouvoir en France.
Déjà condamné 19 fois, dont une pour assassinat, un homme musulman cambriole, frappe et défèque sur un vieillard de 85 ans.
Un homme musulman de 53 ans a pris 18 mois de prison ferme car il a volé, frappé et déféqué sur un vieillard de 85 ans qu’il venait de cambrioler.
Plus précisément, il est venu cambrioler ce vieil homme mais il y retourne car il a oublié ses chaussures. L’homme cambriolé avait entre temps appelé la police.
Il s’est alors fait frapper, puis déféqué dessus. Je répète : le musulman de 53 ans a déféqué sur sa victime de 85 ans avant de lui maculer le visage d’excréments.
Lorsque les policiers municipaux arrivent, le cambrioleur est encore là, et les insulte copieusement, les menace de mort et de carnage : il hurle à plusieurs reprises “Allah Akbar, je vais revenir avec une voiture, tout défoncer, faire un carnage”.
Le prévenu a déjà été condamné 19 fois, dont une pour assassinat (source).
Un Rwandais, condamné à 8 ans de prison en 2011 et interdit de territoire, tue Elise (qu’il viole) et Julien… en 2015.
L’affaire n’est malheureusement que trop représentative du laxisme judiciaire suicidaire en France. Jean-Claude Nsengumukiza est un Rwandais arrivé en France en 2002. Il multiplie alors les crimes et délits, puisqu’il est condamné 14 fois. En 2006, il s’était introduit dans un appartement où vivaient 2 cousines en escaladant la façade de l’immeuble. Il s’était dévêtu et glissé dans leur lit avant que l’une d’elles appelle la police. Deux jours plus tard, il avait abordé une femme dans la rue et la menaçait avec 2 armes de poing de l’escorter à son domicile. En 2009, il s’introduit chez une femme en passant par la fenêtre de son appartement et la viole. Il est seulement condamné à huit ans de prison pour viol en 2011, et interdit du territoire français.
Il est cependant libéré 4 ans après, à la mi-novembre 2015. Un mois plus tard, il tue Julien Tesquet puis viole Elise Fauvel avant de l’étrangler à mort elle aussi.
L’Etat dit français a le sang de ces deux personnes sur les mains (source).
Alors qu’il venait de sortir de prison pour viol, Jaouad Oubadriss a été condamné pour agression sexuelle.
Jaouad Oubadriss a violemment agressé sexuellement une jeune fille en pleine rue. Il avait été condamné en 2012 à douze ans de prison pour viol, et venait d’être libéré fin mai après sept ans de détention.
Jaouad Oubadriss, 40 ans, a violemment agressé sexuellement une jeune femme dans la rue, le 21 juillet 2019. Il était sorti de prison 2 mois plus tôt, après 7 ans de détention, alors qu’il était condamné à… 12 ans de prison ferme pour viol. L’Etat français, par son incompétence et son irresponsabilité, est donc responsable de l’agression sexuelle de cette victime âgée de 30 ans.
Le casier judiciaire de Jaouad Oubadriss comportait 12 condamnations, dont deux pour des faits à caractère sexuel. Le laxisme judiciaire encourage les coupables aux dépens des victimes (source).
Crédit photo : DR
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Une réponse à “Les preuves par l’exemple du laxisme judiciaire en France”
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