Pour l’infortuné contribuable breton qui subit de plein fouet « l’enrichissement culturel » dû à l’immigration-invasion, avec son cortège de viols, vols, rapines et autres déprédations qui rendent invivable le centre ancien de Rennes le soir et la nuit, il est bon de savoir qu’il doit son infortune non seulement à l’Etat, mais aussi au « volontarisme » de la mairie qui loge à ses frais 800 migrants, et bientôt plus encore.
Le collectif rennais de soutien aux sans-papiers, qui demande, ni plus ni moins que la régularisation de tous les sans-papiers, et est constitué de 15 à 20 militants actifs d’après ses comptes-rendus d’AG, multiplie cet été les occupations de lieux publics, complaisamment relayées par la presse mainstream locale, pour demander toujours plus au contribuable. Le 8 juillet, de 16 à 18h, c’était le hall d’entrée de la DRAC, le 9 juillet vers 17h, le hall de l’opéra de Rennes, le 12 juillet, le hall d’entrée de l’Hôtel-Dieu – en plein Covid, ce n’est pas très « respect des gestes barrières », mais la police avait certainement autre chose à faire, d’autant que 7 migrants ont dormi sur place, le 14 juillet, la basilique Saint-Sauveur de Rennes.
L’archevêque Mgr d’Ornellas, que l’on a connu bien plus dur pour ses propres fidèles, leur a offert ainsi qu’aux militants d’extrême-gauche qui les accompagnent, une salle paroissiale rue Saint-Yves pour 48 heures. On apprend qu’ils sont toujours logés par l’évêché jusqu’au 15 août – cela concerne cinq familles avec enfants (qui devraient être en théorie logées par le 115) et une dizaine de célibataires dont, selon nos informations, plusieurs déboutés du droit d’asile, qui devraient être expulsés du territoire national.
Deux jours avant leur départ prévu, une vingtaine de militants du collectif sans-papiers de Rennes et quelques migrants se sont rassemblés devant la mairie. Celle-ci précise qu’elle loge déjà à ses frais 800 migrants dans des hôtels de Rennes , et qu’elle va faire plus. « Il y a un mois, on a ouvert un bâtiment hébergeant 60 personnes au Bois Perrin, permettant de mettre à l’abri des familles avec enfants. D’ici fin 2020, le centre d’hébergement d’urgence d’Estrémadure accueillera 100 nouvelles personnes », explique Nadège Noisette, élue de la Ville, à nos confrères d’Ouest-France. Ce nouveau centre d’hébergement est situé sur l’ancien site de l’hôpital Guillaume Régnier, son ouverture avait été annoncée au collectif en juillet dernier.
Les membres du collectif de soutien aux sans-papiers de Rennes ne se dévoilent guère dans la presse. On arrive cependant à retrouver quelques noms de militants. Par exemple Gabrielle Jarrier, titulaire d’une maîtrise en art du spectacle et administratrice de théâtre, Fanch Cadiou, adjoint à la mairie de Saint-Jacques de la Landes et enseignant, âgé de 32 ans, ou encore Xavier Dunezat, « historique de la lutte pour les droits des sans-papiers » qui prend souvent la parole dans les médias. Ce dernier est sociologue, professeur de sciences économiques et sociales, et « militant hyperactif » féministe et pour la régularisation des migrants.
Louis Moulin
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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