Quand l’Université française « efface » la culture

L’humanité traverse actuellement une phase dangereuse de son existence qui pourrait s’apparenter à une tentative de suicide.

En effet, la race caucasoïde, capable à la fois de conception ex nihilo, de réflexion et d’accomplissement de projets novateurs, perfectionnant ainsi le Logos et participant donc à l’évolution de l’homo sapiens sapiens, se consacre davantage en ce moment à démolir par elle-même les bases anthropologiques de sa survie.

Cette baisse hormonale orchestrée par des manipulateurs depuis des décennies participe à l’annihilation des philosophes, poètes, médecins, guerriers, … laissant tout le pouvoir de décision de ce « cancel culture » à des ethnies cadettes, à des malades mentaux ou à des femmes détournées de leur rôle de mère. Est ainsi décrété l’effacement de créateurs considérés à plusieurs siècles de distance comme hérétiques, et ce, avec une folie donc anachronique. Maintenant, l’acharnement suicidaire des Blancs occidentaux s’accélère et ceux qui se croyaient à l’abri de ces purges, comptant pour s’en protéger sur leur propre investissement dans l’anéantissement de la culture et par conséquent de l’humanité, sont rattrapés par des hordes de sauvages promus commissaires politiques de nos facultés, rédactions, gouvernements

Par mon total engagement civique, littéraire, scientifique et philosophique long de plus de trente ans, je propose un bref compte-rendu d’une expérience anthropologique à laquelle je m’adonne avec des penseurs charnellement liés à l’Occident mais pervertis par certains auteurs contemporains, lesquels commencent par pleurnicher d’être à leur tour maltraités par ceux qu’ils croyaient utiliser comme armes contre les puissances de l’Édom. Depuis quelques mois, l’on décide de « cancel », d’effacer, des moteurs de recherche toute mention de n’importe quel philosophe dénoncé comme « dissident » par les obscurantistes professoraux de nos facultés occidentales et je propose, en examinant mon propre exemple, de comprendre comment l’on détruit un travail doctoral soutenu devant un jury de thèse composé de six professeurs dans une université française qu’est celle de Nice-Sophia Antipolis, puis publié en diverses langues en France et à l’étranger, lequel était d’ailleurs déjà par séquences édité dans des revues académiques multilingues à travers le monde. Ma thèse sur Nabokov et Nietzsche, pourtant, a été décriée comme « infondée » et, sur cette base, l’on m’a interdit de chercher ne serait-ce qu’un poste de maître de conférences dans une université française, et ce, via le soviet national des universités ayant promu les carrières professorales des fonctionnaires qui avaient pondu ce type d’ « expertises » pendant que leurs pairs préparaient le plagiat de ma thèse de doctorat de l’autre côté de la Manche en l’expurgeant de ses conclusions politiquement incorrectes.

Le 25 août et le 5 septembre 2020, je serai convoqué devant des apparatchiks du ministère de l’enseignement supérieur pour un simulacre de « recours » où l’effacement de ma thèse de doctorat, acte immonde pour lequel les fonctionnaires universitaires français sont devenus la risée du monde entier, sera approuvé et la décision d’effacer mon Nabokov le nietzschéen sera entérinée par des pervers, bureaucrates d’une université qui est en train d’imploser et, simultanément, d’exploser la civilisation occidentale avec le silence complice des membres de l’Institut de France constamment informés des actes orduriers qui se commettent annuellement au sein des soviets « académiques » de l’Université française.

Ni les membres du système devenus soudain victimes des purges ni cette machina cosmopolite conçue en Occident en vue de démolir les ethnies blanches et leur héritage ne méritent la moindre indulgence.

Dr Anatoly Livry, Altdorf, Suisse

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