Eu égard des ravages et des conséquences terribles que j’ai pu voir sur l’interdiction totale et la pénalisation de l’IVG dans de nombreux pays du monde, la loi Veil de 1975 ne m’a jamais choqué car je pensais peut être naïvement qu’il était question de protéger, dans les premiers mois de grossesse, une petite minorité de femmes d’une erreur commise à deux avec un homme (erreur à laquelle tout le monde a droit), ou d’un terrible évènement (viol notamment).
Je me suis manifestement bien planté (ou plutôt, il semblerait que tendre vers le Juste Milieu soit impossible dans notre société tiraillée par des ayatollahs).
L’adoption la semaine dernière d’un amendement (article 20 alinéa 3 de la loi de bioéthique) permettant au nom d’une trop vague « détresse psycho-sociale », de tuer (quel autre nom employer à ce stade ?) un enfant jusqu’à la veille de sa naissance, montre que les extrémistes féministes n’ont absolument aucune limite dans leurs intentions mortifères.
Car il ne faut pas se tromper. Ce ne sont pas « les femmes », mais bien une poignée de féministes hystériques et bien trop influentes qui font la loi aujourd’hui (auxquelles obéissent y compris des « mâles blancs » qui n’ont plus le moindre respect de leur propre personne – à moins que cela ne cache d’autres fantasmes…) et qui forgent ce que sera, demain, notre société dont on peut légitimement s’interroger sur l’envie d’y vivre et d’y faire grandir ses enfants.
Ces féministes extrémistes veulent en finir par tous les moyens avec l’homme blanc.
- En empêchant à la fois le père d’avoir un rôle de père (PMA pour toutes, achat de bébés sur catalogue à venir)
- En proposant à la femme de devenir l’Inquisitrice de cet homme ( suspicion permanente de maltraitance, de violences, d’être un porc et légitimité médiatique pour le faire avant que le tribunal ne tranche quasiment tout le temps en sa faveur)
- En éduquant la femme blanche dès son plus jeune âge (par la publicité et par l’école) aux bienfaits que constitueraient le métissage et le fait de se laisser aller « en toute liberté » à de multiples partenaires d’autres ethnies, plus « cools », plus virils, plus performants que le mâle blanc à éradiquer.
Au final, l’aboutissement de cet individualisme forcené n’est autre que le rôle de bourreau accordé à la femme qui peut se dire désormais : « En tant que chef d’entreprise au bord du Burn-Out « j’ai le droit de tuer l’enfant que je porte depuis 8 mois » car je suis en détresse psycho-sociale ». Ou de se dire « Après tout, je porte un petit garçon dans mon ventre, je ne supporte pas l’idée d’avoir un homme en moi, je le tue ».
Et puis demain, certaines joueront de leurs influencent pour faire voter des lois destinées à stériliser les hommes, histoire que l’homme blanc, démographiquement remplacé, soit effacé définitivement, sexuellement cette fois-ci….
Tout ceci peut aller très loin. Et cela finira très très mal. Le nihilisme (le féminisme ?), c’est la guerre.
Julien Dir
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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